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3,29

sur 209 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Ahhh... Dean Koontz, auteur que j'apprécie de plus en plus, certainement pas autant que Stephen King mais certains de ses romans valent vraiment le détour.
"Les Yeux des Ténèbres" malgré que sur l'édition que je possède qui a un bandeau un peu racoleur disant "Le thriller qui a enflammé les réseaux sociaux", sans trop spoiler, c'est un parallèle un peu tiré par les cheveux entre le bouquin et la pandémie de 2020.

Christina Evans plus connue sous son diminutif Tina, vit tant bien que mal la mort de son fils Danny mort à l'âge de dix ans.
Femme divorcée et femme entrepreneur qui s'est fait malgré tout une place dans le monde du strass et des paillettes de Las Vegas, la vie recommence à lui sourire.
Mais petit à petit, il va se passer de plus en plus de choses étranges dans sa vie qui vont la ramener aux vieux démons de la mort de son fils...

Beaucoup de personnes qualifient Dean Koontz d'être un écrivain de série B ayant connu quelques succès.
Alors je suis loin d'avoir tout lu de Koontz, surtout qu'il y a un paquet de ses bouquins qui n'ont jamais été traduits en France, mais perso, j'apprécie ses livres pour le moment.
Il faudrait que je relise "La Cache du Diable". Premier livre de Koontz que j'ai lu quand j'étais môme et je me souviens que j'avais moyennement aimé. Pourquoi pas retenter.

En tout cas pour ce qui est de celui-ci, il est bon, ce n'est pas un chef-d'oeuvre c'est sûr mais il est vraiment pas mal.
Ce qui lui a porté préjudice peut-être c'est tout le tatouin qu'il y a eu dans les médias aux États-Unis au moment de la pandémie de coronavirus. Mais pour ça il faut lire le livre. C'est un bon thriller, un bon roman de science-fiction et d'épouvante. Il ne faut surtout pas faire de raccourcis un peu trop faciles et téléphonés dans toute cette hystérie collective qu'il y a eu pendant le covid.
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Dean Koontz fait partie de ces auteurs que je suis depuis des décennies, et qui ont tâté un peu de tous les genres, horreur, thriller, un peu de SF, fantastique... Comme pour tout écrivain prolifique, il y a à boire et à manger dans ses écrits, et si j'ai vraiment aimé les premiers livres parus en France sous son nom, ainsi que plus récemment sa série Jane Hawk (en tout cas les trois premiers tomes), j'avoue en avoir sans doute trop attendu avec cette réédition de "Les yeux des ténèbres", que j'avais lu début des années 90, dans sa première version. Il faut dire que les médias l'ont présenté de façon très trompeuse comme le livre qui avait prédit 40 ans à l'avance l'épidémie que nous subissons actuellement.
Mais que nenni ! Oui, il y a bien une histoire d'épidémie là-dedans, mais qui n'a pas grand-chose à voir avec le covid, si ce n'est l'origine du virus (Wuhan), et encore, à l'origine il était russe. Mais l'Histoire (avec un grand H) a fait qu'il était plus pertinent de délocaliser la bestiole, la guerre froide n'étant plus très vendeuse...
L'essentiel de l'histoire est centré sur Tina, organisatrice de revues à Las Vegas, dont le fils Danny est décédé deux ans auparavant lors d'une sortie avec les scouts. Leur bus s'est écrasé dans un ravi en pleine montagne, pas de survivants, et les corps étaient trop abîmés pour qu'on puisse les montrer aux malheureux parents avant l'enterrement. Or voici que Tina est réveillée chaque nuit par des bruits en provenance de la chambre de Danny, et que de mystérieux messages lui sont adressés sur le tableau noir de son fils. Perturbée, elle convainc son nouvel amant, Michael, un riche avocat, ancien des Services Secrets, de l'aider à trouver la provenance de ces manifestations.
Une intrigue assez simpliste, mais efficace, il est juste dommage qu'elle soit diluée avec une romance sirupeuse qui n'était pas vraiment nécessaire. du coup, comme l'on noté nombre d'autres lecteurs, le dénouement est vraiment bâclé, comme si l'auteur s'était brusquement aperçu qu'il ne lui restait que 20 pages pour boucler son histoire. Il y a un gros coup d'accélérateur dans la toute dernière partie, et certains détails sont vraiment à la limite de l'invraisemblance; Je ne me souviens plus si c'était déjà le cas dans la première version...
Les aficionados de Koontz aimeront quand même, mais se diront sans doute comme moi que c'est loin d'être une de ses meilleures productions.
Vite lu, mais qui ne figurera certainement pas dans mes "lectures de l'année". Et surtout ne l'achetez pas pour l'argument marketing du "visionnaire du covid" !
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Vous avez peut-être déjà vu passer ce livre depuis le début de la crise sanitaire que nous connaissons encore aujourd'hui car il a fait le buzz sur les réseaux sociaux. Pourquoi, me direz-vous? Peut-être pour le regard visionnaire que l'auteur, Dean Koontz, a eu sur la pandémie mondiale de coronavirus, sans le savoir et ce, il y a plus de quatre décennies !

En effet, la première édition de ce livre date déjà de 1981! Elle était alors parue sous le pseudonyme de Leigh Nichols. Dean Koontz l'a sortie révisée sous son vrai nom en 1996. La première traduction française date – elle – de 1990. Quarante ans avant ce que nous connaissons maintenant depuis presque deux ans, Dean Koontz avait imaginé un virus dangereux et mortel créé dans des laboratoires chinois situés près de la ville de …. Wuhan! Cela ne vous dit-il pas quelque chose ???

Petite remarque, cette présence de la Chine et en particulier de Wuhan est apparue dans la version révisée. En effet, dans la première version, le pays concerné était la Russie. Vu la fin de la Guerre Froide entre cette dernière et les États-Unis, il ne fallait peut-être plus trop froissé les anciens ennemis. Donc, ici, c'est bien la version revisitée que j'ai pu découvrir grâce à la traduction française offerte par les Editions de L'Archipel.

Toutefois, je veux attirer votre attention qu'il ne faut pas cantonner ce livre et cette histoire à ce seul virus car vous vous en trouveriez alors déçu car ce n'est qu'un détail sur la totalité du récit.

Malgré que ce livre date donc du début des années 1980, je n'ai pas trouvé qu'il avait mal vieilli dans sa substance. Parfois, c'est vrai certains dialogues peuvent sembler un brin « niais » mais l'écriture reste très actuelle même si, bien entendu, les technologies actuelles ne sont forcément pas présentes dans l'histoire. Se déroulant sur seulement 4 jours entre le 30 décembre et 2 janvier, le livre est découpé sur ces quatre journées.

Le seul grief que je pourrais trouver est que la fin arrive de façon un peu trop brusque et abrupte par rapport au reste du récit. Alors que, durant près de 300 pages, se déroule tranquillement l'intrigue, tout vient à se clore en très peu de temps et en un nombre limité de pages. Je trouve que l'équilibre entre l'intrigue et le final n'est pas très respecté pour que le lecteur n'en perde pas de la saveur. Dès lors que le début se déroule assez lentement, la fin est donc passée plus vite que ce que je n'aurais aimé.

Malgré ce petit anicroche, cela a été une assez bonne lecture qui m'a donné envie de redécouvrir les livres de Dean Koontz et notamment, ses parutions les plus récentes pour son regard un tantinet visionnaire de notre monde contemporain !
Lien : https://www.musemaniasbooks...
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Cela faisait un moment que je n'avais pas lu un "Dean Koontz" et cela m'a fait extrêmement plaisir de retrouver son écriture et sa capacité à créer une histoire tordue mais néanmoins complètement crédible. Enfin, pour moi du moins...
J'ai tout de suite été immergée dans cette aventure avec les 2 protagonistes et j'ai avancé pas à pas avec eux. Un vrai régal.
Par contre, j'ai été déçue par la fin que j'ai trouvé trop abrupte et un peu trop facile. J'aurais aussi aimé un épilogue, mais non. Un peu comme si l'auteur avait hate d'en finir avec ce livre.
Cela reste néanmoins une très bonne lecture.

Pioche d'Avril 2023 choisie par Sflagg
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J'aime beaucoup les romans de sciences-fictions et pourtant, je n'avais encore jamais pris le temps de découvrir cet auteur. C'est maintenant chose faite avec ce livre en 1981 sous un pseudonyme. Et réédité dans une version révisée sous le nom de Dean Koontz en 2008. C'est là que le virus, le Gorki-400, originellement russe, est devenu chinois, le wuhan-400 certainement parce que la guerre froide était une histoire ancienne.
L'intrigue se déroule au début des années 80, à Las Vegas : un an après la mort de son fils, Dany, Tina essaie de se remettre de cette tragédie. Alors qu'elle pensait avoir traversé le plus dur, l'étrange s'invite à la maison, et aux confins de ses rêves.
L'horreur sert de point d'ancrage à cette histoire où le thriller rencontre l'espionnage et croise le chemin du fantastique et du paranormal.
La construction narrative alterne entre les points de vue des personnages permettant une montée en puissance du suspens tout le long du récit. La plume est très visuelle, cinématographique, rythmée surtout dans les scènes de courses-poursuites.

Il y a un côté désuet que l'on retrouve dans les dialogues, dans la manière dont Tina et Eliott se tournent autour, le tout mâtiné de respect et de sensualité. La trame suggère et laisse le lecteur s'approprier l'intrigue, grâce à son imagination. J'ai apprécié ce côté, non prémâché que l'on trouve trop souvent aujourd'hui. Ce que j'apprécie dans le cinéma des années 80, je l'ai retrouvé entre les lignes de ce roman.
Je ne reviendrais pas sur le déchaînement des passions que ce livre a suscité, prêtant à l'auteur des dons de voyance, car il y fait référence à un virus, le wuhan-400. Je trouve dommage de cantonner ce livre à ce virus qui n'est que peu développé dans le livre et n'en est pas le sujet principal.
Une coïncidence qu'il convient de considérer comme cela au regard de la situation historique de l'époque, marquée par la guerre froide et l'inquiétude sur le devenir de l'humanité. L'auteur ne fait que mettre des mots sur les préoccupations encore plus profondes aujourd'hui. La réédition de cet opus, a bénéficié de circonstances exceptionnelles qui n'ont rien de prophétiques.
Lien : https://julitlesmots.com/202..
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Tina Evans est chargée de monter une revue à Las Vegas, qui s'annonce sous les meilleurs auspices. Deux ans auparavant, elle a perdu son fils de dix ans, Danny dans un accident de bus. Il était parti avec sa troupe de scouts en montagne, mais malheureusement le véhicule est tombé dans un ravin et il n'y a pas eu de survivant. Comme le corps était très abimé, le cercueil a été fermé sans que les parents puissent le voir, ce qui rend le deuil presque impossible, son couple n'y a d'ailleurs pas survécu. Au bout de deux ans, elle pense voir enfin le bout du tunnel avec le succès annoncé de son spectacle et sa rencontre avec Eliott, un riche avocat et ancien agent secret. Toutefois des phénomènes étranges se produisent dans la chambre de Danny que sa mère n'a pas encore eu le courage de débarrasser. Elle pense qu'on veut l'effrayer, se met à douter de la mort de l'enfant et demande à Eliott de l'aider à le faire exhumer. Les services secrets s'en mêlent, le surnaturel s'emballe et le fameux virus chinois qui fait la renommée du livre apparaît à la toute fin.

Il s'agit d'un roman d'espionnage, mâtiné de thriller ésotérique et de romance, c'est un livre sympathique et nettement plus intéressant que la série en cours consacrée à Jane Hawks, même si on y retrouve des points communs, mais certainement pas la prédiction de la pandémie actuelle. Les éditeurs ont relooké le virus d'origine, russe, en virus chinois, car le contexte de la guerre froide n'est plus assez actuel. Mais tout le battage fait autour de cette pseudo-prédiction est largement exagérée. On retrouve un complot scientifique, une organisation secrète et beaucoup de surnaturel dans ce roman écrit en 1981.

La part de la romance est trop importante, c'est le point le plus négatif du livre à mon avis, il y a un petit côté « Harlequin » fort déplaisant, mais pour le reste c'est un thriller sympathique, vite lu et un bon moment. La thématique du deuil est bien traitée. La détresse de Tina, sa culpabilité est très bien décrite. C'est elle qui a accepté que Danny participe à ce voyage et son ex-mari estime qu'elle est responsable du drame.

Koontz nous interroge aussi sur le fonctionnement des démocraties, jusqu'où les gouvernements peuvent-ils aller pour défendre leurs principes ? Finalement ils n'hésitent pas à sacrifier les individus à la raison d'Etat et l'un des scientifiques se demande si au fond les autorités américaines ne sont pas capables de faire comme les Chinois ou les Russes pour ne pas se laisser dépasser dans la course aux armements. le manuscrit original a été relooké, mais on sent bien le contexte des années quatre-vingt dans ce roman.

Un thriller agréable à lire, même s'il ne correspond à ce qu'en ont dit les réseaux sociaux. Je suis contente de m'être réconciliée avec cet auteur après La porte interdite que je n'ai vraiment pas aimé. Merci à Mylène de L'Archipel et à Netgalley pour cette lecture.

#Lesyeuxdesténèbres #NetGalleyFrance !
Lien : https://patpolar48361071.wor..
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Dévastée par la perte de son fils dans un accident, Christina, après un ans, commence à se remettre du terrible drame. Mais, voilà que des évènements lui font penser que son fils est peut-être encore vivant. Elle décide de prendre les grands moyens et de faire exhumer son fils pour en avoir le coeur net et à ce moment-là...sa vie bascule.

Un thriller qui commence avec un contexte plutôt fantastique avec des cauchemars, des évènements inexplicables et une atmosphère bizarre pour ensuite basculer dans un contexte de science-fiction plutôt bancal.
Ah oui ! et un peu d'amour comme ingrédient spécial.

Pour ma part, j'ai beaucoup aimé la première partie avec son ambiance fantastique qui nous fait entrevoir un monde au delà du miroir. le passage en mode science-fiction m'a moins plu et est beaucoup moins convaincant.

J'ai apprécié ma lecture, car Koontz sait comment ficeler une histoire. J'ai hésité à lui donner entre bon (3 étoiles) et très bon (4 étoiles); finalement, j'ai été généreux même si cela n'est pas un de ses meilleurs romans.
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Un grand merci à Mylène des Editions Archipel et Netgalley pour ce livre.

Christina n'arrive pas à oublier le décès de son fils Danny, divorcée et seule, elle met en place un spectacle qui lui fait rencontrer Elliot. le coup de foudre est immédiat mais comment pourra t'elle dire à Elliot que son fils décédé se manifeste en écrivant sur son tableau "PAS MORT". ? Tout s'enchaîne très vite, Elliot est agressé, Tina reçoit la visite d'un chauffagiste un jour férié. Ils doivent fuir, mais Christina arrive à convaincre Elliot que son fils n'est pas mort. Et c'est lui seul qui va les aider à le retrouver.
Entre grands secrets d'Etat et actions, Dean Koontz nous emporte dans les arcanes nébuleuses des gouvernements. La série sur Netflix "STRANGER THINGS" a bien du lire ce livre car j'avais l'impression de la revoir.
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Je n'avais pas lu cet auteur depuis mon adolescence. A l'époque il côtoyait dans ma bibliothèque S. King, P. Straub et G.Masterton. A mon sens Dean Koontz n'est jamais parvenu à égaler Stephen King, ni dans le style, ni dans le contenu, mais j'ai toutefois beaucoup apprécié de retrouver sa plume de conteur, et je remercie pour cela Net Galley et les Editions de l'Archipel qui m'ont permis de lire ce livre.

L'histoire se situe au début des années 80, à Las Vegas : Tina Evans se remet difficilement de la mort de son fils Danny, décédé un an plus tôt dans un accident de bus. Alors qu'elle pense de nouveau pouvoir sourire à la vie et profiter du succès d'un spectacle qu'elle a mis en scène, d'horribles cauchemars récurrents viennent hanter ses nuits. Puis des événements étranges perturbent son foyer… Des phénomènes inexplicables pour lesquels Tina, la cartésienne, refuse dans un premier temps toute explication illogique. Quelqu'un assurément lui joue de mauvais tours, mais qui lui en voudrait au point de raviver le souvenir douloureux de la mort de son fils ? Tina doute, se questionne puis les faits s'enchaînent: la menace existe bel et bien et avec l'aide de son ami et amant Eliott, ancien espion devenu avocat, l'affaire va s'éclaircir peu à peu. Entre action et vérité, la réalité, inattendue, sera pire que ce que l'on croit…

J'ai apprécié ce récit que je qualifierai de « rétro » : un retour aux années 80, dans un style très cinématographique. Je ressens cette impression notamment au niveau des dialogues, des échanges dans le couple Tina/ Eliott, emprunts de respects et de sensualité, ce qui n'est pas sans me rappeler les premiers James Bond et j'imagine d'ailleurs facilement le gentleman Eliott sous les traits de Sean Connery… le calme de certains passages alterne avec des scènes d'action qui ont un peu vieillies, évolution technologique oblige, mais l'ensemble possède un certain charme plaisant. Par curiosité, je serai intéressée de lire un titre récent de l'auteur pour voir l'évolution de son style…

Alors oui, vous avez bien lu la couverture: l'éditeur annonce « Coronavirus, le roman prophétique » mais je vous parle de phénomènes étranges et de toute autre chose que de virus… Que vient donc faire notre coronavirus dans cette intrigue où le paranormal tient une place si prépondérante ? Il faudra être bien patient pour le comprendre ou pour les lecteurs angoissés en raison du contexte se réjouir que ce sujet ne soit pas plus développé… Alors moi qui m'attendais à un thriller scientifique dans le style de Pandemia de Franck Thilliez, je suis retournée voir la couverture pour vérifier et me suis à plusieurs reprises demandé s'il y avait une erreur quelque part… Car effectivement, le retournement se passe dans les toutes dernières pages… je n'en dit pas plus, hormis que je ne pense pas que Dean Koontz soit le cousin de Nostradamus. Une coïncidence simplement, le roman évoque une angoisse déjà présente il y a 40 ans sur le futur de notre planète, et notre situation actuelle offre juste l'opportunité de relancer un titre… Ce fut pour moi une lecture détente agréable, loin de la frénésie médiatique et éditoriale que ce livre a déclenché…
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Merci à Mylène des éditions @editions_archipel et @netgalleyfrance pour la découverte de ce livre. Une agréable lecture !

Je ne suis pas attirée en générale par les romans de sciences fictions; et pourtant Dean Koontz m'a séduite et je me suis laissée emporter par l'histoire de Tina et de son fils. Ce roman est rythmé, captivant. Les premiers chapitres sont trompeurs. L'auteur nous emmène et nous balade. L'alternance entre les points de vu narratif amène un suspens qui monte crescendo tout au long du roman.

On suit Tina dans sa course contre la montre, sa quête de vérité où le thriller rencontre les sciences occultes.

Seul bémol à mon goût, j'aurais aimé une théorie plus poussée encore, plonger d'avantage dans les arcanes du pouvoir et ses déviances. Cependant le livre est parfaitement écrit, et l'intrigue bien ficelée pour nous amener à tourner les pages avec plaisir et envie.

Mais que se cache-t-il derrière ces faits étranges ? Nos dirigeants peuvent-ils sciemment nous mettre en danger ? Voilà les questions qui résonnent en nous au fil des pages.

Cet ouvrage est paru en 1981 la première fois semble trouver sa place dans notre actualité. Les théories de complotisme y résonnent sensiblement. Ce roman sortira à nouveau en version numérique le 9 Avril 2020. Une édition physique est prévue, à ce jour, pour le 20 Mai 2020 aux éditions l'Archipel.

Je vous conseille ce livre disponible dès aujourd'hui en eBook !
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