Millénium, tome 5 : La fille qui rendait coup pour coup

Je ne partage bien évidemment pas les avis positifs sur ce Millénium 5. Tout d'abord en terme d'intrigue. La fin du 4, laissait entrevoir l'entrée en lice de Camilla, soeur de Lisbeth et je m'attendais à ce que ce cinquième opus approfondisse cette relation. J'ai vite déchanté même si j'espérai que Camilla allait faire son entrée en cours, mais cette attente était déçue. Ensuite les personnages de Mickael et de Lisbeth sont enfermés dans une caricature d'eux mêmes et n'évoluent plus vraiment. Autant j'étais vraiment content de les retrouver avec le 4 ; autant sur cet opus je les ai trouvé vraiment fades. Quant aux personnages seconds, ils ne présentent que peu d'intérêts et les "méchants" étaient caricaturaux et insipides. L'auteur aurait vraiment pu se servir de Camilla pour donner du relief au roman. Quant à l'intrigue je l'ai trouvé sans relief, très capilotracté, et elle ne m'a absolument pas embarqué. Je n'ai tellement pas été touché par cet opus que j'ai lu en diagonale la fin pour le finir mais sans vraiment m'y intéressé. Personnellement je laisserai de côté le tome 6.

A dévorer, comme toutes les histoires de cette série. Hyper documenté et intrigues fouillées. On sent moins que c'est un auteur différent (D. LAGERCRANTZ au lieu de S. LARSSON) que dans le numéro 4, dont le déroulement était beaucoup plus linéaire. Cependant les histoires liées aux personnages sont plus simples que dans les trois premiers tomes, elles sont moins bien intégrées à l'intrigue générale, même si on dévore le livre.

Lisbeth est incarcérée. Elle doit faire face à Benito, une détenue déterminée, coriace et violente qui bat régulièrement une autre prisonnière, Faria Kazi. Lisbeth qui déteste l'injustice va s'en mêler.
Dans le même temps, son tuteur a trouvé quelque chose d'important sur son enfance.

Peut-être nous lassons-nous au fur et à mesure que nous lisons une série, ou peut-être que la première (et très agréable) surprise de rencontrer des personnages forts et atypiques a disparu, il me semble que l'intrigue est moins puissante que dans la première trilogie.
Millenium 5 reste un livre qui se lit avec plaisir, en plus de celui de retrouver Lisbeth Salander et Mikael Blomkvist.


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de plus en plus médiocre , même si il va y avoir d'autre tome, c'est ma dernière lecture de cette série. un livre que j'étais pressée de finir mais pas au bon sens, je me suis ennuyée tout au long de la lecture, on sent que c'est plus Stieg Larsson qui écrit. Ce livre n'a aucun rapport ni l'histoire ni le style avec les trois premiers. bref une pure perte de temps....................................

Dans cette nouvelle suite, nous apprenons encore un peu plus de choses
sur l'enfance de Lisbeth Salander à travers une autre histoire.
En effet, l'auteur a été nous chercher une histoire avec des jumeaux séparés
assez étonnante et qui nous donne envie de suivre cette lecture.
Dans ce roman, c'est aussi plusieurs histoires et c'est toute la richesse
de l'auteur, on ne peut pas s'ennuyer !
Le tome 6 ne devrait pas tarder à arriver dans ma PAL !

Passionnant. Une fois commencé, ce livre se dévore. Très agréable à lire

Je ressens le phénomène des séries : c'est-à-dire un plaisir à retrouver ses personnages et un roman que je lis tranquillement sans le côté addictif qu'avait les 2 premiers tomes.

J'ai vu pas mal de mauvaises critiques sur ce titre mais pour ma part, j'ai encore passé un très bon moment avec la saga Millénium. J'aime retrouvé Lisbeth, Michael et sa soeur avocate.
Alors après lecture de beaucoup de commentaires, oui Lisbeth est différente, oui elle a évolué, oui ce n'est pas le même auteur mais je trouve que David Lagercrantz, malgré l'ampleur du défi relevé s'en sort plutôt bien et que s'il n'avait pas fait évoluer Lisbeth on le lui aurait reproché.
Après tout, dans la trilogie de Larsson Lisbeth était sous tutelle, injustement jugée, méfiante et écorchée vive. Depuis elle a acquis sa liberté, rencontré des gens en qui elle a appris à faire confiance, fait fortune, a su trouvé de l'aide et s'attacher... son évolution ne me semble donc pas si choquante même si évidemment son ultra résistance n'est toujours pas crédible mais tellement badass!!!!
Dans ce tome, on continue à explorer son passé et à avancer dans sa vengeance avec en parallèle l'histoire de Faria Khazi, une détenue dont Lisbeth prend la défense.

Reprendre une saga abandonnée depuis la mort de son auteur n'est pas un pari facile. Malgré de réelles appréhensions, David Lacercrantz, journaliste et auteur réputé, s'en sort plutôt haut la main avec un cinquième tome, qui n'a pas à blêmir si on le compare aux volumes précédents. L'occasion de retrouver Lisbeth Salander, la fille au tatouage de dragon, qui n'a rien perdu de sa détermination et qui végète derrière les barreaux, condamnée pour mise en danger de la vie d'autrui. Lorsque son tuteur vient prendre de ses nouvelles au parloir, il lui apprend qu'il se trouve en possession de documents susceptibles de mettre en lumière certains pans de son passé. Très vite, les souvenirs affleurent dans les pensées de la jeune femme et elle décide d'investiguer pour calmer la fureur qui l'habite. S'est-on joué d'elle lorsqu'elle était enfant et pourquoi l'a-t-on séparée de sa mère ? Elle prend conscience qu'elle n'est pas l'unique victime de cette histoire et ses pas l'amènent à enquêter sur de curieuses officines gouvernementales, dont tout le monde préfère taire l'existence. Elle découvre que des recherches génétiques étaient financées, au détriment de certains cobayes. L'auteur signe ici une suite glauque, avec des rebondissements extrêmes. « La fille qui rendait coup pour coup » nous vaut des séquences d'une froideur extrême, qui s'apparentent à une descente aux enfers avec, en filigrane, une mordante description de notre monde où tout est permis et où l'homme n'a jamais cessé d'être un loup pour ses semblables. A ne pas lire si on est sujet à des crises d'angoisse ou à des cauchemars fréquents !

Lisbeth est en prison. Ne me demandez pas pourquoi, je ne la pensais pas en si mauvaise posture, rien ne le laissait présager à la fin du tome précédent. Mais bon, les prisons, cela donne l'occasion de placer quelques éléments de violence bien cinématographiques qui n'auraient pas de sens ailleurs.
Curieux tome que celui-ci : j'ai l'impression que l'auteur a navigué à vue. Lisbeth se révélant être un formidable matériau d'auteur, ses fêlures sont ici exploitées à l'envie : par un procédé qui m'a semblé artificiel, elle tombe sur de nouveaux éléments ayant trait à son passé. Mikaël va enquêter pour elle, le temps de remonter la piste d'une expérience, éthiquement très discutable, lancée sur des enfants . Evidemment, Lisbeth y a été mêlée. Lorsqu'on relit à la suite tous les tomes de la série, on se dit que cela fait beaucoup… Et on se demande si David Lagercrantz a pris soin de rebalayer l'enfance de Lisbeth avant d'en inventer un nouveau pan Une enfance massacrée par un père psychopathe mais néanmoins protégé par le gouvernement, et maintenant ce projet de séparation de jumeaux… . Bref, dans ce tome les actions et valeurs boursières décrochent les unes après les autres et … moi de même.
Comme je suis une personne de devoir (et que j'ai acheté le sixième tome), je continue quand même.