-Tu me plais beaucoup, trop sûrement. Avec toi, je suis différent, je suis quelqu’un d’autre. Mais j’ai peur que mes excès, ma vie, mon passé, te fassent fuir. Ça fait un bon bout de temps que je n’ai pas eu de constance, pas vraiment de limites non plus… Tu es mon tourment, Rose.
Tu es la plus belle contradiction que j'ai jamais vue.
Je pose ma tête contre son dos. Je n'ai jamais été aussi bien de toute ma vie, jamais aussi bien que quand je suis avec lui et que je le suis dans ses folies.
« C’est ma plus grande peur. Je ne l’avouerai jamais à personne, mais depuis que je l’ai rencontré, c’est ce qui m’effraie le plus… le perdre, ne plus sentir ce regard qu’il pose sur moi, ne plus voir son merveilleux sourire, sa petite fossette quand il m’observe du coin de l’œil, ne plus pouvoir toucher sa peau divinement douce… »
Qui pourrait avoir envie de rester avec toi en sachant que tu es abîmée à ce point
-Il m’insultait la plupart du temps, il prenait plaisir à me mettre la honte peu importe où l’on était, jusqu’au jour où il a commencé à me frapper… C’est quand je me suis retrouvée à l’hôpital avec deux côtes cassées et une fracture du crâne que je l’ai quitté. Sauf qu’il ne s’est pas arrêté là…
Numéro inconnu : Rendez-vous ce soir au Saphir pour que je te rende l’otage en main propre. Pas de rançon exigée.
Moi : Ok pour ce soir. J’espère que tu n’es pas une espèce de sadique! Je te prévis, je ne serai pas seule!
Numéro inconnu : J’aurais préféré que tu sois seule, mais je dois me rendre à l’évidence : je suis un sadique qui détient une chaussure en otage, doublé d’une espère de connard, donc je me soumets à ta volonté sans discussion. À plus Cendrillon!
Rêve comme si tu allais vivre éternellement. Vis comme si tu allais mourir aujourd’hui. James Dean.