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4,11

sur 619 notes
Avis
Je voulais depuis un moment tenter l'autrice car elle était catalogué comme l'Autrice de Fantasy incontournable.

Bon bah vous l'avez compris, ce fût un échec cuisant. Pourtant ça partait bien !!

Dans le Livre I, on suit Duny, qui devient Ged quand il commence son apprentissage auprès d'un mage. C'était sympa, le gamin qui apprend la magie, qui combat des dragons (même si c'est très rapide), se fait des copains qui ont aussi des pouvoirs… mais la fin est ennuyeuse à souhait.. heureusement, le livre ne fait que 300p

Le livre II est consacré à Artha qui est une jeune prêtresse. Hormis passer sa vie dans les souterrains, elle ne fait pas grand chose et malgré les seulement 250 petites pages, j'ai abandonné en cours de route.

Et bien évidemment, je n'ai laissé aucune chance au livre III qui concernait Ged (enfin je suppose 😅)

En bref, une lecture trop jeunesse. Soit je n'ai pas commencé par le bon livre, soit tout ce qu'elle fait est jeunesse et là, aucun regret !
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Découverte de Ursula K. Le Guin renommée dans le domaine de Sciences- Fiction.

Jeune chevrier, Ged semble montrer des aptitudes pour la sorcellerie. Pris en charge par sa tante, il développe rapidement son don mais il est très vite bridé par les limites de son initiatrice. le mage Ogion le prend en charge jusqu'à ce que Ged demande à partir sur l'île de Roke pour entrer à l'école des Sorciers. Lors de son initiation, il libère une ombre qui ne cherche qu'à l'anéantir…

Ce premier tome m'a embarqué immédiatement sans doute grâce à une lecture limpide. Les caractères des 4 personnages principaux sont bien campés.
Ged est impétueux et orgueilleux, Ogion est sage et taiseux, Jaspe est malicieux enfin Vesce est calme et sera un vrai soutien pour Ged.

Belle découverte. J'attaque rapidement le deuxième opus.
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J'adore, bien plus que Robbin Hobb, avec tout le respect que je dois à R HOBB.
Chaque écrivain a le mérite ne nous sortir du risque de régression.
Ursula K le GUIN a écrit dans la version intégrale (au moins), une critique magnifique sur ces romans ou il faut un combat, un gagnant, un perdant.
le cléziot en a parlé dans l'émission la grande librairie, sur ces histoires, montés en PLOT, ou il faut un coupable !

C'est intro est importante, pour parler ce roman inclassable, sur la quête de l'équilibre, la lutte contre le néant, la contradiction.
A chacun de découvrir cette quête bien plus TRANSFORMANTES, sous des eaux apparemment calmes en début de roman.
Comme quoi il faut se méfier du poison de la flatterie, du superficiel...

C'est une belle critique de notre propre jeunesse.
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Mon Dieu quel ennui ce livre. le personnage de Ged est absolument imbuvable en plus, ce qui complexifie encore plus la progression dans le livre. Gros point positif par contre, les descriptions sont très belles et immersives. Je laisse là cette saga et ne lirai pas les tomes 2 et 3.
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Acheté chez un bouquiniste parce que c'était d'Ursula le Guin, Terremer est resté très longtemps dans ma PAL. le livre est apparu dans une liste sur les livres de l'imaginaire à lire sur la plage. Je reconnais que c'était un bon conseil car sinon je pense que je n'aurais pas eu la patience de poursuivre cette lecture, qui ne correspond simplement pas au rythme auquel j'aime lire en temps normal.

Terremer, c'est une promenade tranquille, les quêtes sont un prétexte à cette exploration.
Les personnages sont sympathiques mais je n'ai pas réussi à avoir de l'empathie avec eux. Ce qui m'a le plus dérangé, c'est que chaque livre est le pretexte a une réinstallation, trop longue a mon goût, du décor...cest pour cela que j'ai failli arrêter ma lecture a la fin du 2e livre. Cela aurait été dommage car le reçut du 3e livre est plus rythmé.

Le monde dans lequel on se balade est typique de la fantasy, les personnages aussi, et la mythologie associée assez simple...une agréable évasion estivale...et un rappel du pouvoir (magique) des mots...
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J'ai commencé ce livre, il y a déjà plusieurs mois, mais il est clair que je ne lirai pas le troisième roman qui le compose.
Je n'ai pas aimé, cela me surprend et me désole à la fois, parce que j'étais sûre que cela allait me plaire. J'adore les romans fantastiques et les contes de fées mais je n'avais jamais vraiment réellement lu de Fantasy pure. C'est un genre que j'adore en films, séries et anime, donc j'étais confiante et d'autant plus déçue. J'ai trouvé les deux histoires longues et sans grand intérêt, même si j'ai beaucoup aimé certaines parties. Ursula K. le Guin décrit longuement ce monde magique, les différentes iles, peuplades et je comprends que cela peut plaire, mais ,la partie relative à son périple m'a lassé et je n'ai pas été sensible au monde décrit. Je n'ai pas de souci avec les parties descriptives en général, mais lorsque je lis, je ne visualise que très brièvement ce qui est décrit, je ne visualise pas l'ensemble : je ne sais pas si c'est parce que je manque d'imagination, parce que je lis trop vite ou parce que j'accorde plus d'importance aux mots, caractères et sentiments qu'à l'image. J'ai encore plusieurs romans de Fantasy à lire dans ma PAL ( le Seigneur des anneaux , que j'ai vu à de multiples reprises mais que je n'ai jamais lu, Gagner la guerre et l'apprenti assassin) qui peut-être me plairont plus.
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On referme ce livre avec le sentiment d'avoir emprunté la route d'un monument historique. J'ai vu l'adaptation de Goro Miyazaki avant de lire le livre, ce qui m'avait refroidi. Quelle idiotie ! Force est de constater que le dessin animé de Goro Miyazaki et ce livre n'ont finalement de rapport que le nom, à l'image de la désastreuse adaptation d'Alice au Pays des Merveilles par Burton.

Découpé en trois parties, ce livre aborde Terremer, ses pratiques, ses coutumes, ses légendes, et on découvre ces terres par les yeux d'Epervier qui est à la fois le personnage principal, notamment du premier conte, et finalement le personnage secondaire des deux derniers. Les messages disséminés, la philosophie, les réflexions, tout cela est dense est puissant. J'ai pris mon temps pour lire ce livre, à tel point que je me suis demandée si réellement je l'aimais. Mais il y a des choses qui méritent de prendre le temps, et cette épopée universelle est de celle-ci.
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Dans les trois premières livres de Terremer, l'autrice nous conte la légende de Ged, l'un des mages les plus puissants de ce monde constitué d'îles. Dès le début, son destin nous est annoncé. Nous savons d'emblée que ce petit chevrier, qui semble insignifiant, sera amené à accomplir de grands exploits. Il n'y a donc pas de surprise sur l'issue des trois récits. Ged s'en sortira, il vaincra ses ennemis, reste seulement à savoir comment.
Par bien des côtés, le sorcier de Terremer (le premier livre) ressemble plus à un long conte détaillé qu'à un roman. On ressent toujours une certaine distance avec Ged comme s'il devait rester une figure de légende, et donc inatteignable même pour les lecteurs. Malheureusement, cela m'a empêché d'entrer pleinement dans le récit. le contexte lui-même, quoique original et poétiquement décrit, est resté lui aussi une vision lointaine. L'immersion est donc ratée.
Je regrette aussi que l'autrice ait choisi de créer une société aussi patriarcale. Parmi les personnes capables de magie, seuls les hommes ont le droit d'étudier, les femmes se contentent d'être des sorcières de village, au pouvoir inférieur...
Le second livre, les Tombeaux d'Attuan, est mon préféré. L'histoire est cette fois racontée du point de vue de Tenar, une jeune fille qui a été arrachée dès la petite enfance à sa famille pour devenir l'unique prêtresse d'un culte malfaisant. J'ai préféré ce livre pour deux raisons. D'abord, l'immersion est ici réussie. Il n'y a pas de distance avec Tenar, on la suit réellement dans sa vie singulière au service de ce culte à vrai dire plus lugubre que satanique. Ensuite, le choix de narrer cette histoire de son point de vue est original. En effet, techniquement, c'est à nouveau Ged le héros de l'histoire. C'est lui qui brave le danger pour mener une noble quête, alors que Tenar, en tant que gardienne du labyrinthe, est d'abord son ennemie.
Dans le troisième livre, l'Ultime rivage, l'autrice donne un jeune compagnon à Ged, qui est désormais Archimage. le point de vue de ce compagnon, Arren, permet à nouveau d'amoindrir la distance qui s'impose toujours avec le héros légendaire. Mais l'immersion est moins réussie que dans le deuxième livre. le récit m'a semblé plus lointain, moins prenant, parfois à nouveau plus semblable à un conte. C'est d'autant plus dommage que j'ai trouvé l'idée au coeur de cette histoire et sa mise en scène vraiment intéressantes.
Au final, malgré les qualités indéniables de ces romans, je sors de ma lecture assez mitigée. Si je reste sur une bonne impression, c'est avant tout grace au deuxième livre et à l'idée au centre du troisième livre.
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J'ai dévoré ce livre avec plaisir, j'avais d'abord été agréablement surprise de cette couverture qui me donnait une envie folle de me perdre à travers les pages. Nous sommes plongés dans un univers plein de magie pour ce premier tome, ce fut une aventure légère et pleine de philosophie.

J'ai adoré suivre le héros à travers le temps et parmi toutes ses aventures, petit point négatif pour ma part ne pas avoir eu un récit complet en plusieurs tomes sur les aventures de Ged, je trouve que le temps passe trop vite entre chaque partie, j'aurais aimé me dire à la fin du livre que je pourrais par la suite profiter un peu plus de ce personnage qui grandit et apprends au fur et à mesure que le temps passe.

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Je découvre (enfin !) U. le Guin, à travers cette publication.
Terremer construit un monde de fantasy assez solide, avec un système de magie qui fonctionne très bien, reposant en grande partie sur les mots, et plus exactement le nom des choses ou des êtres. Les pouvoirs des sorciers ou autres créatures surnaturelles varient selon les lieux, idée très simple mais qui élargit les possibilités.
L'écriture est efficace, élégante, les descriptions précises (parfois trop ?) et donnent à voir les multiples paysages de Terremer.
C'est toutefois une fantasy à réserver aux lecteurs patients, parfois lente, où la moindre action, le moindre geste est détaillé. Je me suis ennuyée parfois au point de sauter des paragraphes, car l'action n'est pas forcément au rendez-vous.
Je sais néanmoins que l'oeuvre de l'autrice est variée, et qu'il ne faut pas s'arrêter à ce seul cycle !
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