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4,27

sur 1467 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
1930. Corée.
Sunja a dix-sept ans lorsqu'elle tombe amoureuse de Hansu, un riche étranger. Il a vingt ans de plus. le jour où elle lui annonce sa grossesse, il lui révèle qu'il est marié et a trois enfants. Sa famille vit au Japon. Il ne peut donc pas l'épouser mais propose de subvenir à ses besoins en Corée.
Sunja ne peut concevoir cette idée. Pour ne pas déshonorer sa famille, elle accepte d'épouser Isak, un pasteur chrétien, coréen, en partance pour Osaka. Cet homme s'engage à reconnaître et à élever l'enfant avec elle. Gravement malade, il sait qu'il ne pourra de toute façon jamais être père. Les noces avec Sunja lui offre ainsi l'occasion de profiter d'une vie familiale qu'il n'espérait plus.

Le départ au Japon est douloureux et difficile. Sunja doit quitter sa mère et sait qu'elle ne la reverra certainement plus.

L'avenir de la jeune femme commence avec ce voyage vers l'inconnu, un nouveau pays qu'elle ne connaît pas et dont elle ne parle pas la langue. C'est l'histoire de son exil.

"Pachinko" est une saga familiale qui s'étend sur quatre générations. On y suit l'histoire de Yangji, la mère de Sunja, puis celle de Sunja et d'Isak, celle de leurs enfants et de leurs petits-enfants.

A travers tous ces personnages, Min Jin Lee raconte l'histoire de la Corée et celle du Japon. L'auteure balaie tous les grands évènements qui se sont produits en Asie et dans le monde depuis les années 1910. A cette date, la Corée est une péninsule se trouvant sous l'emprise du Japon. La péninsule est montagneuse et entourée de mer. On y trouve plusieurs îles. La pauvreté sévit. On survit et on se nourrit de ses propres cultures. On assiste à la Guerre Mondiale en 1939, lorsque le Japon s'associe à l'Allemagne, convaincue qu'elle sortira victorieuse du conflit. Mais c'est tout l'inverse. le pays avec ses idées expansionnistes a tout perdu. C'est une défaite. Les conséquences se ressentiront sur plusieurs décennies. de son côté, la Corée est divisée en deux zones d'occupation, l'une au nord et l'autre au sud. S'ensuit une fervente opposition qui mène à la guerre de Corée durant trois années et aboutit à la création de deux pays. Les coréens exilés ne pourront plus y retourner, risquant de se faire tuer par le nouveau régime.

C'est dans ce contexte qu'évoluent Yangji puis Sunja. Lorsque cette dernière arrive au Japon, elle est confrontée à la dure réalité de l'immigration des coréens et aux rapports conflictuels avec les japonais qui ne leur reconnaissent aucun droit. Maltraitance, vol, violence, injustice sont monnaies courantes. Se créent alors de nouveaux quartiers. Au fil des ans, les yakusas prennent la direction de ces lieux sensibles et dangereux. Ils y créent des établissements de jeux et de plaisir dont les "pachinkos".

Les pachinkos sont des jeux d'argent situés dans de grands établissements dirigés par la mafia et où il n'est jamais très bon de s'y trouvé. Pourtant, pour beaucoup de coréens, ce sera le seul moyen de sortir de la pauvreté et de gagner de l'argent.

Ce livre est une belle brique qui peut faire peur mais finalement il se lit tout seul. C'est très bien écrit. le côté historique est vraiment fascinant. Je connaissais très peu de choses sur la Corée avant de démarrer cette lecture.

J'ai aussi beaucoup aimé l'ensemble des personnages, tous aussi sensibles et meurtris par la vie. "Pachinko" est une histoire de femmes, d'exil, de sacrifices et surtout de résilience. Je recommande ce roman à 100 %. Il est extrêmement riche et poignant.


Lien : http://labibliothequedemarjo..
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Sunja et sa mère Yangjin tiennent une pension sur une petite île, au large de Séoul. Les temps sont durs pour les deux femmes, dans la Corée des années 30 qui vit sous le joug des Japonais. Mais elles font au mieux pour accueillir les travailleurs et leur pension est réputée pour sa qualité.
Jeune, jolie, et surtout innocente, Sunja se laisse séduire par Hansu, un étranger riche et beau parleur. Quand elle lui annonce qu'elle est enceinte, il lui avoue être déjà marié et père de famille. le monde s'écroule pour Sunja qui, pour sauver son honneur, accepte d'épouser Isak, un pasteur coréen en route pour le Japon. de santé fragile, l'homme sait qu'il ne vivra pas vieux et qu'il ne pourra pas avoir d'enfant. Il accepte donc de reconnaître celui de Sunja et l'emmène avec lui à Osaka où vit déjà son frère.
Au Japon, les conditions de vie sont rudes. Les Coréens sont des citoyens de seconde zone qui ont peu d'espoir de s'élever dans la société. Contre toute attente, Sunja met au monde un autre enfant, fruit, cette fois, de son mariage.
La vie va suivre son cours, entre naissances et deuils, dans la communauté coréenne où la seule chance de faire fortune est de travailler dans le milieu du jeu du pachinko, mal considéré car contrôlé par les yakuzas.

A la fois saga familiale et fresque historique, Pachinko raconte le destin de Sunja et des siens des années 30 jusqu'à la fin des années 80.
C'est un roman passionnant qui englobe de nombreux sujets : l'exil, le déracinement, le racisme, la condition des femmes, la difficile intégration des Coréens au Japon. Mais il y est aussi question de la famille, l'amour, la solidarité, le mérite.
D'une guerre à l'autre, les Coréens du Japon se sont retrouvés sans patrie après la séparation des deux Corées. Certains ont cru à la révolution populaire du Nord, d'autres sont retournés au Sud et d'autres, encore, ont choisi de trouver leur place dans un Japon peu accueillant mais synonyme d'un nouveau départ.
Pachinko est une histoire triste et émouvante mais illuminée par des personnages forts, courageux, résilients et bienveillants. Une belle leçon de vie riche d'enseignements sur la culture coréenne.
A dévorer !
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J'ai adoré cette saga familiale.
Le roman suit trois générations d'une famille coréenne à travers l'occupation japonaise
Pachinko est une histoire de survie, d'identité et de famille.
Quand Sunja tombe enceinte d'un homme marié qui ne peut l'épouser, Isak, un pasteur chrétien, va lui proposer de s'unir avec lui et de le suivre au Japon.
L'histoire va se dérouler de 1911 à 1989.

Il est également questions de guerre, de préjugés, de racisme, de persécutions, de drames familiaux mais aussi d'intégration, d'espoir, d'amour et de solidarité
Les personnages sont des gens ordinaires, modestes, imparfaits et attendrissants.
C'est magnifiquement écrit, poignant et captivant
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En lisant une critique de @Sachalia sur ce livre. Je me suis dit, ne serait-il pas dans ma pal ?
Eh bien si, parmi mes 654 livres à lire, il s'y cachait.
Alors merci de m'avoir rappelé que j'avais une telle perle dans mes Lectures à lire un jour :-).

Une histoire palpitante sur quatre générations.
Qui malgré les 622 pages se lit rapidement.
Des personnages très attachants. Leurs péripéties m'ont parfois donné larmes à l'oeil.
Je ne pensais pas que les Coréens pouvaient être autant haïs par les Japonais.
Ce roman parle aussi des conditions de la femme. Leurs combats, leurs courages, leurs défis pour sortir leur famille de la misère.

Bonne lecture !
Lien : https://angelscath.blogspot...
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Pachinko : machine à sous très en vogue au Japon, constituant le seul secteur économique possible pour des coréens expatriés, exclus de nombreux autres emplois. Un jeu de hasard, allégorie moderne des obstacles de vie pour personnes discriminées.

Une histoire dans l'Histoire, celle d'une famille coréenne qui s'étend sur plusieurs générations, subissant les turbulences de la géopolitique du XXe siècle, la colonisation de la Corée, la Seconde Guerre mondiale, et les difficultés d'assimilation dans la société japonaise. le roman aux personnages nombreux ne peut se résumer, accompagnant le parcours de déracinées luttant pour survivre, s'instruire et s'intégrer, en dépit de préjugés et de privations de droits de minorités.

Un roman passionnant, tant sur le plan romanesque que sur le contexte historique et sociétal, pointant les capacités de résilience des individus, le courage dans l'adversité, l'aptitude à se projeter dans un avenir meilleur par l'éducation, le travail acharné, l'entraide.
Les femmes y ont toute leur place, socle familial nourricier, solide et besogneux, en premier ligne pour subir des sacrifices douloureux.

Un sujet d'immigration toujours d'actualité qui pointe les difficultés de la société nippo-coréenne.
Belle lecture !

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Dans ce magnifique roman nous suivons les quatre générations d'une famille coréenne émigrée au Japon. Sunja est arrivée à Osaka pendant l'époque coloniale et ses enfants et petits-enfants sont nés sur cette terre. Mais ils n'en restent pas moins des "zainichi" (des Coréens au Japon), et sont dénigrés pour cela.
Nous voyons à travers le destin des membres de cette famille le racisme criant, le mépris et le dédain des Japonais envers les Coréens, la cruauté avec laquelle ces derniers sont traités et toutes les difficultés auxquelles ils doivent faire face. C'est incroyable que des personnes de troisième génération soient toujours autant discriminées alors qu'ils n'ont finalement toujours connu que le Japon et parlent tout aussi bien japonais qu'un "local pure souche".

Ce roman est très dense, tant au niveau des sujets abordés que de la complexité des sentiments des personnages. Nous y découvrons donc le racisme anti-coréen dont je viens de parler, mais aussi le monde du pachinko, les yakuzas, l'homosexualité, la pauvreté et la guerre. Ce roman est une vaste saga familiale et nous nous attachons à chacun de ses membres et des amis bienveillants qui gravitent autour d'eux. J'ai eu un faible pour le sensible Noa qui m'a beaucoup touché.

J'ai été très marquée par le destin des Coréens expatriés avant la division de leur mère patrie. Certains se sont retrouvés sans pays d'origine, ou à devoir choisir entre le Nord ou le Sud après la guerre de Corée.

Malgré ces thèmes difficiles, et la répétition du destin qui semble s'acharner, le roman reste tout de même lumineux grâce à l'amour de cette famille pour les siens, un amour profond et sincère, et une grande bonté.

C'est donc ici un roman magnifique qui mêle la petite histoire à la grande.
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Un petit bijou !

Cela commence en Corée unifiée dans les années 30 pour s'achever au Japon fin des années 80.

Le personnage central est Sunja, jeune femme coréenne vivant sur une petite île au large de Busan. Une rencontre et son destin bascule, des choix s'imposeront à elle afin de ne pas apporter la honte sur sa famille.

Nous parcourons plusieurs générations : ses parents, celle de Sunja, ses enfants et petits-enfants.

C'est aussi et surtout un moment d'histoire et sociétal : la domination japonaise sur la Corée, la place des coréens et chinois au Japon ou dans le monde, la deuxième guerre mondiale vue et vécue au Japon, la création des états de Corée du Nord et du Sud, les yakusas, la famine, les bidonvilles, l'univers des jeux (pachinko étant les salles de jeux du type « machines à sous »), la religion, les tenues traditionnelles, les spécialités culinaires ou encore les vendeuses sur les marchés…. Ce livre regorge d'éléments importants, il est passionnant ! Je ne me suis à aucun moment ennuyée dans cette lecture, au contraire, j'ai eu envie d'approfondir tous les sujets soulevés.

De plus, les personnages sont magnifiques, on ne fait que de belles rencontres.
Je me demande pourquoi je ne l'avais pas mis au dessus de ma pal avant, Pachinko est un vrai bijou !
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Pachinko suit quatre générations d'une famille coréenne qui s'installe au Japon au milieu de la colonisation japonaise. Au fil des années, en tant qu'immigrants coréens, leurs familles multi générationnelles font face à des défis pour s'adapter à la vie au Japon. Ils se débattent avec leur identité, font l'expérience de préjugés et de discriminations fondés sur la race et la religion, sont soumis à des stéréotypes négatifs sur les Coréens, etc. Cela a un impact énorme sur toute la famille, même pour la quatrième génération.
J'ai appris beaucoup de choses sur la culture et l'histoire de la Corée et du Japon. Outre les préjugés, le livre aborde de nombreux thèmes importants tels que la guerre, l'immigration, l'exil, l'amour, la maternité, la misogynie, la fidélité, les sacrifices, la pauvreté et ce que signifie être une bonne personne. Mais le thème le plus important et le plus récurrent ici est celui de la famille. Même si les personnages font des choix discutables, on ne peut s'empêcher de les comprendre et de les soutenir. J'étais intriguée de voir le chemin que chacun prendra et comment il va s'en sortir. Nous les voyons sacrifier presque tout pour avoir un foyer au Japon, et pourtant, l'histoire n'est pas motivée par le traumatisme, mais par leur résistance face aux obstacles.
Le roman est impressionnant, mais parfois trop tentaculaire, désireux de tout inclure et expliquer, ce qui peut être parfois un peu déstabilisant. Cependant, je me suis beaucoup attachée aux personnages et j'ai apprécié le portrait historique de l'Asie de l'Est.
Le style d'écriture est sans prétention, calme, et pourtant, j'étais entraînée dans une histoire qui a déclenché un tourbillon d'émotions. Certains développements sont profondément touchants, de nombreux personnages subissent des destins tragiques. Plus d'une fois, j'ai eu une boule dans la gorge, une brûlure dans les yeux - et ce, sans que l'auteur ne force pas le récit avec un pathos artificiel. Elle évite également le kitsch et les clichés avec beaucoup d'élégance à mes yeux.
Je ne sais pas si l'auteure a écrit autre chose, je serai ravie d'explorer encore plus son univers, mais je sais que ce livre fera partie de ceux que je pourrais recommander sans hésitation, pour sa profondeur et sa leçon de vie, il est à mettre dans toutes les mains !
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Aujourd'hui, je viens vous parler de ma première lecture en temps que Lectrice Charleston. Il s'agit de Pachinko de Min Jin Lee.

Je tiens encore une fois à remercier les éditions Charleston pour la chance qu'ils nous offrent. de prime abord, je ne me serais jamais arrêtée sur ce roman. le résumé ne me tentait pas trop, un style de lecture que je n'ai pas eu l'occasion de lire auparavant. Je suis contente d'avoir eu cette opportunité car sinon, je serais passée à côté de cet ouvrage.

On suit ici une famille coréenne sur quatre générations des années 1910 à la fin des années 1980. Tout commence avec Sunja, jeune femme qui tombe sous le charme d'un japonais. Elle s'aperçoit qu'elle est enceinte mais son amant est déjà marié. Refusant de continuer cette relation, elle va trouver en Isak, un jeune pasteur, un soutien notable et bien plus encore. Une fresque familiale, des tranches de vie qu'il m'est difficile de quitter. Les personnages sont encore présents dans mon esprit et vont le rester un moment je pense.

Une histoire de femmes fortes, quelque soit les circonstances, qui font face aux obstacles avec courage pour le bien de leur famille. le fait de les suivre pendant ces décennies nous fait nous sentir encore plus proche des personnages. le temps passe. On les voit vieillir et transmettre leur savoir et vision de la vie aux générations futures.

J'ai aimé découvrir l'histoire de la Corée et du Japon à travers cette lecture et cela m'aura également permis d'apprendre ce qu'était le Pachinko (un mélange entre la machine à sous et le flipper).

Malgré un rythme un peu plus rapide à la fin qui manquait de détails selon moi, ce fût une très belle découverte.

Un roman marquant que je ne suis pas prête d'oublier ❤️

Il vous tente ?
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Une magnifique et fascinante saga familiale sur fond d'histoire coréenne et japonaise de 1910 à 1989.
Dans la Corée des années 20, occupée par le Japon, une jeune femme pauvre, Sunja, enceinte d'un homme marié, accepte d'épouser un pasteur chrétien qu'elle ne connaît presque pas et le suit au Japon où il rejoint son frère. Nous entrons alors dans la vie et l'intimité de cette famille sur quatre générations.
Les personnages sont bouleversants d'humanité, au prise avec l'exil, la négation de leur culture, le rejet et le racisme; le fondement de leur résistance, c'est la famille dans laquelle ils puisent la chaleur qu'ils ne trouvent pas à l'extérieur, l'exemplarité des aînés, en s'appuyant sur un principe intangible : l'honneur qui les conduit à n'accepter aucune compromission et leur permet de garder la tête haute malgré la misère, les brimades. L'éducation pour les enfants mérite tous les sacrifices et ils seront nombreux.
Une part belle est faite à de magnifiques portraits de femmes dont la vie est scandée par une injonction qu'elles trouvent normale : "le destin d'une femme est de souffrir"; cette injonction ne sera remise en cause que par la dernière génération, en particulier celle qui a pu étudier aux Etats-Unis.
Cette fresque grandiose s'appuie sur L Histoire, celle de la Corée, envahie et annexée, en 1910 par le Japon, l'exil des Coréens au Japon où ils ne seront jamais intégrés (on les appelle encore Zainichi, qui signifie "étranger résidant au Japon" alors qu'ils y sont nés et y vivent depuis des générations), la défaite du Japon à l'issue de la deuxième guerre mondiale avec son cortège de privations, de misère. Tout le roman évoque l'impossible intégration malgré tous les efforts de cette communauté qui respectait à la lettre les lois et les règles japonaises mais aussi l'impossible retour en Corée.
La culture coréenne et japonaise, que ce soit la cuisine, les traditions, les rapports familiaux telles qu'ils évoluent au fil des années, est passionnante à découvrir car elle est évoquée par une autrice d'origine coréenne, dont c'est l'ADN et non par un auteur étranger dont la perception, qu'elle soit admirative ou critique, peut être déformée par le prisme de sa propre culture (je pense, entre autres, à Olivier Adam ou Amélie Nothomb).
Nous découvrons, en particulier, ce qu'est le pachinko, qui a donné son titre au roman, qui est associé à la communauté d'origine coréenne car c'était pratiquement le seul commerce qu'elle pouvait développer et qu'elle contrôlerait encore à 90%. Je regrette qu'aucun mot coréen ou japonais n'ait été expliqué en note en bas de page car on perd une partie de la compréhension.
J'ai été happée, emballée, enthousiasmée, émue par ce magnifique roman et j'ai même regretté, au bout des 500 pages, d'être obligée de dire adieu à la famille de Sunja. Ce roman me donne envie de continuer mon exploration de cette période historique en Corée et au Japon en lisant "Filles de la mer" de Mary Lynn Bracht sur le terrible destin des "femmes de réconfort".
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