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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Si j'avais eu un professeur de philosophie à choisir ... c'est bien Monsieur Lenoir que j'aurai choisi !
ce petit traité est pertinent, rempli de bon sens, (qui manque hélas à de nombreuses sommités dans notre société..bref...) les citations de grands philosophes sont pleines d'esprit et d'espoir !
Merci pour ce voyage intérieur ! plongez-y et à relire de temps en temps quand cela s'assombrit dans votre vie !
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J'ai emprunté cet ouvrage à cause de son titre correspondant à une nécessité passagère éponyme au début de l'été.
Dire que je n'y ai pas trouvé ce que j'étais venu y chercher est un euphémisme.

Toutefois, qu'on me comprenne bien : la responsabilité de Frédéric Lenoir n'est absolument pas engagée. Ce philosophe-sociologue est un érudit, il ne viendrait à l'idée de personne de le contester.

Pour s'en convaincre, il suffit de parcourir les 50 premières pages : elles sont truffées de belles citations.

Indubitablement, F. Lenoir maîtrise son sujet... Mais alors, où est le problème me direz-vous ? Eh bien, celui-ci est d'ordre structurel, voire civilisationnel. En effet, je me suis rendu compte que le postulat de la philosophie occidentale, aussi profonde soit-elle, est une escroquerie intellectuelle.

J'en vois déjà certains qui deviennent tout rouges... Attendez la suite et laissez-moi m'expliquer.
Depuis les philosophes grecs de l'Antiquité, des centaines de milliers de pages ont été noircies, bourrées de concepts éthiques, très stimulants intellectuellement.

Est-ce que ces perles d'intelligence et de bon sens ont empêché l'Europe de coloniser violemment la planète entière ces 500 dernières années ? Est-ce qu'elles lui ont évité d'être le continent le plus militarisé et le plus violent de la Terre-mère ? Ont-elles fait reculer la misère, l'exploitation et un manque crasse d'empathie, hier comme aujourd'hui ? Je vous laisse répondre à cette épineuse question...

Et si cet échec patent trouvait son origine dans une explication apparemment simple, voire simpliste ? Allez, je me lance à l'eau.

En se contentant de s'adresser exclusivement à l'intellect et à la raison de l'individu, la philosophie ignore notamment la dimension corporelle et spirituelle de l'humain. Autrement dit, elle ne parle qu'à une partie superficielle de notre être et n'a de ce fait pas d'influence autre qu'intellectuelle, donc passagère.

Je peux tout à fait trouver la phrase suivante de Lenoir bellissime aujourd'hui et ne plus en tenir compte demain lorsque je croiserai peut-être un réfugié qui mendie au coin de la rue :

« Bien sûr, aucun humain ne peut porter toute la souffrance du monde sur ses épaules. Mais le fait d'être attentifs à ceux qui souffrent et que le destin met sur notre route, d'accomplir ce qu'on peut à notre niveau pour participer au recul de la souffrance et à l'avènement d'un monde meilleur ouvre notre coeur et ne cesse de l'agrandir. C'est finalement une des conditions fondamentales d'un bonheur vrai. » Comment ne pas être d'accord ? Et pourtant...

Alors, pour en revenir à ce "petit traité", c'est peut-être son apport purement intellectuel qui fait qu'il ne m'a pas vraiment aidé à reprendre le fil de ma vie intérieure et à trouver la paix que je cherchais...

Mais, ne perdons pas espoir. Il existe le yoga, la sophrologie, le tai-chi-chuan et bien d'autres disciplines d'origine asiatique qui, elles, s'adressent à l'entier de l'Homme : corps, âme et cervelle, le tout indissociablement lié.

Pour paraphraser le regretté Georges Haldas, pratiquer ces disciplines permet de s'ancrer dans "le maintenant de toujours" et réussir à réaliser la communion de nos aspects physique, psychique et spirituel.
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Vivre est un Art. D'emblée Frédéric Lenoir plonge dans le vif du sujet.
Il se livre et avoue que sa taille, un mètre soixante cinq lui a causé jadis beaucoup de complexes notament vis à vis des femmes.
A grand coup de citations philosophiques(Marc Aurèle,Sénèque,Bouddha,Confucius,les stoïciens,Spinoza,Socrate,Mère Thérésa,l'abbé Pierre,Montaigne,Socrate,Jésus, et j'en oublie ) il passe consciencieusement en revue les différentes facettes à assainir de notre(et de sa bien sûr) vie intérieure.
Il faut être en paix avec soi même et avec les autres, être libre, réagir à la souffrance,se connaitre, s'aimer, s'accepter pour accéder à la sagesse et au bonheur.
Que nous propose t il? de méditer,d'apprivoiser la mort et la beauté, d'avoir confiance,d'entreprendre une psychothérapie,un travail philosophique ou spirituel, un lacher prise qui demande de s'impliquer vraiment.
Car ainsi que le dit Montaigne, nous sommes nés pour agir.
Mon avis:de très belles citations, un témoignage d'homme qui semble bien dans sa peau mais beaucoup de généralités et de conseils qui restent superficiels sans vrais exemples personnels.

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La lecture de Petit Traité de Vie Intérieure de Frédéric Lenoir a été pour moi l'occasion de retrouver de belles pensées philosophiques.
Sénèque, Socrate, Aurèle, Montaigne et bien d'autres nous donnent l'occasion de réfléchir, de comprendre certaines clés de sagesse qui aident à vivre.
Cependant, je crois que j'apprécie plus de retrouver ces idées dans les textes originaux plutôt que dans ce traité. Pourquoi ? L'écriture est simple, pas de "prise de tête ", mais les illustrations des propos ne m'ont pas convaincue, je suis restée en dehors.
Pourtant quand je lis " Seul l'instant présent est créateur; il n'y a que dans l'" ici et maintenant" que nous pouvons vraiment jouir de la vie, c'est à dire être dans la vraie joie."
Ou encore " pour être dans la vérité et dans la joie de l'instant présent, il nous faut donc nous dépolluer l'esprit du passé et de l'avenir, de nos remords, de nos angoisses, de nos peurs et de nos rêves", j'agrée totalement.
Quand Lenoir évoque la pensée positive et la visualisation positive, je suis toujours ouverte.
Quand il cite Aurèle " ne te laisse pas troubler par la représentation globale de toute ta vie", oui, oui.
Mais je me demande si l'auteur a connu la vraie souffrance, car je ne peux pas lire "La douleur donnera sens à notre présent, les échecs serviront de guide sur lesquels s'appuyer pour aller de l'avant, vers nos réussites futures." sans réagir négativement.
Pour conclure un petit ouvrage vite lu, pas inintéressant mais pas le meilleur non plus.
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Ce livre est intéressant mais quand même un peu ardu car il ne se lit pas comme un roman.
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Entre philo, psycho et spiritualité, Frédéric Lenoir, spécialiste de l'histoire des religions propose quelques pistes visant à adoucir les blessures intimes, calmer un certain mal-être.
Pour les esprits rationnels, peu ouverts aux manuels de développement personnel, cette lecture n'apportera pas des solutions mais elle peut être utile à tous en rappelant quelques principes philosophiques de base pour mieux vivre avec les autres...sans croire au miracle.
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J'ai lu plusieurs livres de sagesse déjà et j'y retrouve souvent les mêmes idées, les mêmes réflexions qu'il fait bon relire, car obnubilés par nos propres pensées, on oublie souvent de les mettre en pratique. Il y a bien des détours sur le chemin de la sagesse et un certain rappel des grands préceptes n'est pas inutile.

Il est rassurant en un sens de constater la convergence de pensée des grands sages au fil des siècles et Lenoir, par ses nombreuses citations, sait nous mettre en contact avec eux et avec le contexte qui a vu naître leur philosophie. Ses explications sont claires et bien documentées.

Je n'ai rien appris de bien neuf cependant, mais je sais que j'ai encore du chemin à faire et je sais mieux de quelle nature est le travail qui m'attend. C'est beaucoup. C'est intuitivement que je le sais plus que rationnellement. Mais ce dont je suis certaine, c'est que le premier pas se fera sans doute dans le silence...


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Nombreux sont les bouquins sur l'art de vivre "mieux",mais ils sont souvent indigestes.
Ce n'est pas le cas de ce "Petit traité de vie intérieure",qui loin de vouloir être une bible et donner réponse à tout,nous offre plutôt un étalage de bon sens et des références philosophiques de tous horizons et toutes cultures.

Certes il aborde des thèmes "bateau" et des vérités universelles,mais il rappelle aussi combien notre société de consommation a l'art de se compliquer la vie dans ce monde de paraître.

De belles références,donc,un petit rappel à la simplicité,de jolies phrases...
ça ne fait de mal à personne...Que du contraire!
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Des citations extraites de ce livre j'en ai postées sur ce site, oui mais pas de l'auteur, mais des philosophes qu'il cite avec facilité dans son roman et c'est là ce qui me gêne à la fin de ma lecture.

Car je l'admets volontiers, ce livre j'étais pressée d'en terminer et pourtant je ne peux affirmer mon désamour ou mon désintérêt pour ce roman philosophique.

J'ai lu le "Petit traité de vie intérieure" sur les conseils d'une personne qui me connait tant que j'ai une confiance aveugle en son jugement concernant mes lectures mais aussi mes films à visionner ou plutôt ceux à éviter.

La confiance aveugle n'est pas une bonne chose, je le sais; pourtant jamais je n'ai été déçue sur ses propositions et chaque fois que j'ai voulu passer outre son avertissement de ne pas lire ou de ne pas voir, je me suis résignée à admettre que cette personne avait raison.

Cette lecture me semblait particulièrement adapté à mon état d'esprit du moment, je l'avoue, j'avais alors le sentiment d'être dans un cercle vicieux de malchance !

Voilà donc que je me lance dans cette lecture d'un genre que j'affectionne particulièrement : philosophique mais aussi développement personnel.

Je vais reconnaître à l'auteur l'art de rassembler et d'ordonner de nombreuses pensées de philosophes (de toute époques), de sages et écrivains par thématique. Ces dernières étaient intéressantes et me parlaient vraiment.
Qui ne chercherai pas être heureux ou plus heureux ? à vivre pleinement le moment présent pour profiter de la vie ?

Mais je suis restée sur ma faim : le style "citations" puis "illustrations" par mon témoignage ne m'a pas convaincu; je n'ai pas eu l'impression de lire un livre de Frédéric Lenoir mais de me balader sur le site Evene.

Je voudrais néanmoins moduler cette "vilaine" phrase !
Ce livre m'a apporté des citations qui m'ont inspirée même si elles ne sont pas de l'auteur... quant à l'addendum, j'avoue j'ai adoré!
Ce style m'aurait bien plus accrochée et je pense que dans ce cas, j'aurai lu avec plaisir un autre ouvrage de M. LENOIR.

A la fin de ma lecture de ce soir, je suis encore incertaine quant à une prochaine tentative.
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Le mélange de références philosophiques et témoignages personnels donne du dynamisme à ce traité qui aurait pu être trop théorique. Entre bon sens et conseil, il y a une évolution progressive dans les thèmes abordés qui amène le lecteur à se questionner de sa vie sociale à sa vie intérieure.

Un livre qui a, à mon sens, plus d'intérêt en version papier qu'en version audio car je trouve qu'il est plus facile de consulter un livre que de retrouver un passage audio (pour l'anecdote j'ai remarqué une phrase qui a résonné en moi lors de l'écoute et que je n'ai pas été capable de retrouver pour la noter quand j'en ai eu la possibilité)

Pour finir la lecture de David Manet et Thierry Jansenn est agréable et vivante.

Lien : http://keskonfe.eklablog.com..
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