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3,68

sur 1477 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Je me souviens encore comme si c'était hier des conditions dans lesquelles j'ai lu le parfum de la dame en noir pour la première fois.
Je venais de finir le mystère de la chambre jaune, et je ne pouvais pas attendre, je voulais lire la suite. Alors j'ai pris de l'argent dans ma tirelire et je me suis mise en route pour la librairie Meyer, qui à cette époque existait encore dans la petite ville où habitent mes parents. Ensuite, la libraire est partie le chercher dans sa réserve, et heureusement elle l'avait en stock et j'ai pu revenir à la maison munie du précieux ouvrage tout en m'arrêtant en route pour lire les premières pages.
Je l'ai relu depuis car je l'avais conseillé à ma fille (qui a beaucoup aimé également), et je suis retombée sous le charme délicieusement suranné de cet excellent roman policier.
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Mon erreur aura été de commencer par ce titre, alors que ce roman est la suite du "Mystère de la chambre jaune". Malgré les références nombreuses à ce livre, il est très facile de suivre l'intrigue du "Parfum de la dame en noir". Un livre alerte dont l'énigme ne peut être résolue que par un Rouletabille très perspicace, même si le lecteur se donne beaucoup de mal pour découvrir l'escroc manipulateur qui oeuvre dans ce texte. Beaucoup de suspens. Un parfum très rétro pour ce policier très vivant et parfois amusant. Une bonne récréation que cette lecture.
Lien : http://araucaria.20six.fr/
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Joseph Rouletabille est orphelin. le voyage en Amérique effectué au cours du livre précédent lui a permis de retrouver sa mère, la dame en noir, ainsi que son père. Pour ce dernier, ce n'est pas une bonne nouvelle. Robert Darsac est agressé et nul doute qu'il s'agit du même coupable que dans le premier opus.
Le livre est moins prenant que le mystère de la chambre jaune, mais plus émouvant grâce aux retrouvailles du jeune homme avec sa mère.
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Le parfum de la dame en noir, déjà évoqué par Rouletabille alors qu'il cherchait à résoudre le fameux mystère de la chambre jaune, en constitue la suite.
Ainsi, alors que M. Et Mme Robert Darzac s'apprêtent à partir en voyage de noces, réapparaît l'infâme Larsan !
Mathilde Stangerson n'a que le temps d'adresser une dépêche à Rouletabille contenant ces mots : au secours !
C'est ainsi que le couple Darzac, le professeur Stangerson, Rouletabille et son fidèle Sainclair se retrouvent dans le huis-clos angoissant du fort d'Hercule, au bord de la méditerranée.
Là, on retrouve les protagonistes de la chambre jaune : le couple Bernier, le père Jacques, et de nouveaux hôtes que sont Mr et Mrs Arthur Rance.
Sainclair, comme précédemment, nous narre cette intrigue angoissante où l'auteur nous apprend à la toute fin la clef de l'énigme.
Au fil de cette aventure, on apprend aussi beaucoup de choses sur ce qui lie Mathilde Stangerson à Joseph Rouletabille.
Moins palpitant que la chambre jaune, ce roman est un plaisir.
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On retrouve dans ce roman les personnages du Mystère de la chambre jaune, dont il est la suite. Toutefois, ce volume peut se lire indépendamment, tant les rappels du précédent y sont en nombre suffisant, sans pour autant en dévoiler la résolution de l'intrigue. Mêmes personnages donc, mêmes manières de faire aussi, à la fois pour le personnage de Rouletabille, mais aussi pour l'auteur. Une intrigue à la fois simple et complexe : alors que Mathilde Stangerson et son cher Darzac ont finalement pu se marier, leur route croise à nouveau celle du terrible Larsan que tous croyaient pourtant mort et qui semble s'ingénier à leur gâcher la vie. Ils font donc étape au cours de leur voyage de noces pour appeler à leur secours leur fidèle Rouletabille. le roman est à nouveau un mystère "en chambre close" puisque le journaliste devra cette fois résoudre l'énigme du "corps de trop", à savoir Larsan, arrivé on ne sait comment dans la chambre des époux Darzac, pourtant fermée de toute part. L'identité des parents de Rouletabille vient aussi lui compliquer la tâche.
C'est à nouveau le brave et impulsif Sainclair qui est le narrateur naïf, double du lecteur dans cette histoire et faire-valoir du jeune et génial Rouletabille, le seul à savoir regarder les choses par le "bon bout de la raison" avant de nous expliquer ensuite brillamment comment nos esprits ont été trompés. L'auteur conserve la recette qui a fait la fortune du premier volume pour ses lecteurs épris du genre.
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Nous retrouvons la majorité des protagonistes de la Chambre Jaune dans le Sud de la France, à Menton. Nous découvrons enfin ce que voulait dire la mystérieuse référence au parfum de la dame en noir que Rouletabille avait glissée à plusieurs reprises dans le tome précédent.

Point de surprise sur la construction du récit. C'est toujours Sainclair qui tient le crachoir et nous raconte comment Mademoiselle Stangerson, devenue Madame Darzac, a appelé Rouletabille à l'aide.

Encore une fois, le jeune reporter va se trouver face à une énigme qui parait insoluble et dont il trouvera la clé au nez et à la barbe de tout le monde. Nous retrouvons ici ce parfum de suranné propre aux romans du début du 20e siècle. C'est une lecture charmante à défaut d'être trépidante qui se termine par un événement qui va me pousser à lire le tome suivant.
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Un classique du policier à énigmes. J'ai découvert à la lecture qu'il s'agissait en fait de la suite du Mystère de la chambre jaune, ce qui n'empêche en rien de suivre l'intrigue. Une intrigue d'ailleurs assez tarabiscotée avec des personnages bien campés, le tout dans une ambiance sombre et servie par un style à l'ancienne. Un bon divertissement, l'aspect un peu daté renforçant à mon sens le charme du roman.
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Si le parfum de la dame noir pouvait être résumé par une phrase elle serait : "aux yeux de Larsan, le presbytère n'a rien perdu de son charme, ni le jardin de son éclat".
C'est le style inimitable de son auteur et le charme de ce livre paru en 1908. le livre est daté : point d'internet mais un indicateur des chemins de fer. Ce livre est attractif par le style de Gaston LEROUX. Il est, du reste, curieux de remarquer qu'on n'écrivait pas en 1900 comme maintenant.
iAu hasard dans le livre ce passage : "Il s'était jeté au canal. Heureusement dans son désespoir, le pauvre enfant avait oublié qu'il savait nager".
Le lecteur est souvent perdu dans l'intrigue mais ce n'est pas grave car l'auteur nous fait partager son sens de l'humour.
Il se positionne même dans le coeur de l'intrigue en s'attribuant le rôle d'un directeur de journal.
Daté et savoureux, de mon point de vue.
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Très sympa même si pas aussi bien que le Mystère de la chambre jaune.
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Une suite qui n'est pas un véritable roman policier : pas de cadavre ou d'assassin à retrouver, mais une femme en détresse à libérer et à sauver. Beaucoup de douceur, voire de poésie autour du personnage de Mathilde, la Dame de la chevalerie courtoise, à la fois inaccessible et menacée, qu'il faut défendre malgré elle et sans espoir.
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