La mère des batailles philosophiques est bien celle qui confronte le réalisme à l'idéalisme. D'un côté, on y soutient l'existence inaccessible et indémontrable du monde extérieur à la conscience (y compris notre propre corps) et, de l'autre, on prétend que tout l'univers se réduit à notre état de conscience, au prix de la « monstruosité » solipsiste. Et si le solipsisme n'était pas une horreur métaphysique, mais une simple position, une étape dans la réflexion, que l'on peut dépasser ?
Lien :
https://ericloonis.wordpress..