Allant de complots en complots, Alix, devenu sénateur romain, est cette fois envoyé en Grèce par Auguste, qui cherche à réunir de nombreux ouvrages « divinatoires », dont les livres sibyllins.
Les cités grecques vaincues par les romains à plusieurs reprises, plongées malgré elles dans les troubles liés à la mort
De César, ont perdu de leur superbe et c'est un peuple appauvri qui accueille Alix. Certains locaux cherchent d'ailleurs à faire revivre les exploits de Sparte et à s'emparer des manuscrits pour réaffirmer l'indépendance grecque.
Faux alliés et vrais traitres vont accompagner le voyage d'Alix vers la pythie.
Ce tome montre les limites scénaristiques de cette nouvelle série. Pour créer l'action, il faut forcément un complot, des pseudos ralliés à Rome qui n'attendent qu'un instant d'inattention pour sortir leur glaive dans le dos de l'Empire. le procédé passe sur un ou deux tomes, mais à la longue on ne s'attend plus à rien de nouveau ou d'original dans cette série.