Comment, quand l'État ne prend en charge ni l'assistance aux pauvres, ni la santé des malades, ni la construction des églises, ni, pendant longtemps, l'instruction primaire, faire fonctionner ces divers services ? C'est au don que l'on fait appel, comme pour bien d'autres institutions financées depuis par les impôts. Dès que les ambitions révolutionnaires de financement intégral par l'État des équipements publics sont abandonnées, le don reprend sa place, capitale p...
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