L'univers : voici l'élément critique que j'ai le plus apprécié dans le livre
Rouge Poison par
Michèle Marineau. L'élément
de la critique « univers » est mon préféré, car moi, je suis friand des romans policiers « Qui a un goût avide pour
quelque chose » (Antidote 9). Ce livre présente plusieurs aspects qu'on retrouve fréquemment dans presque tous les
romans policiers. le suspense était tel que je suis devenu presque fou en essayant de trouver l'assassin avant le
détective et sa fille. On retrouve dans ce livre de la passion ; par exemple, quand Sabine Ross est passionnée par
l'enquête, et cherche à tout prix à résoudre les crimes. Elle n'arrête même pas quand son père lui dit : « Arrête
d'interroger les gens ». Depuis qu'elle est toute petite, Sabine a toujours voulu être à la hauteur de son père […] Si
seulement il lui laissait une chance de prouver qu'elle peut être utile! » (p.17-18) Aussi j'ai vraiment pu sentir que
j'étais entré dans l'histoire et que je participais à l'investigation. J'ai aussi ressenti que j'étais vraiment présent dans
chaque discussion. Ce roman est également particulier puisque le lecteur n'a aucune difficulté à imaginer les visages
des personnages. Mais si je suis complètement honnête, la chose la moins difficile à imaginer, c'était le quartier, les
parcs, les édifices, les façades des maisons, car le Plateau Mont-Royal est mon quartier. Cette histoire policière est
maintenant ma préférée, car je peux vraiment me connecter avec l'histoire. Je connais le parc des compagnons, le
centre Immaculée Conception, l'école secondaire Jeanne Mance et même la patinoire où Andrew jouait au hockey le
jour de sa mort. J'ai aimé l'élément critique de l'univers dans le livre
Rouge poison, et je suis tombé en amour avec les
romans policiers. Suis-je le seul ?