Citations sur Le Trône de fer, tome 14 : Les dragons de Meereen (109)
Un lecteur vit mille vies avant de mourir […]. L’homme qui ne lit pas n’en vit qu’une.
- On a du mal à ressembler à un héros quand on chevauche un cochon.
Je veux vivre éternellement dans un pays où l’été dure mille ans. Je veux un castel dans les nuages d’où je pourrai contempler le monde à mes pieds. Je veux avoir de nouveau vingt et six ans. Quand j’avais vingt et six ans, je pouvais combattre tout le jour et baiser toute la nuit. Ce que les hommes veulent n’a aucune importance.
Une prophétie est comme une mule à moitié dressée […]. On croit qu’elle va vous aider, mais au moment où on lui fait confiance, elle vous flanque une ruade dans le crâne.
Les hommes sont des hommes, les vœux, c’est des mots, et les mots, c’est du vent.
- Une reine aime où elle doit, non où elle veut.
- Les meilleures ruses renferment toujours un germe de vérité [...].
Quand il traite avec des menteurs, même l’honnête homme doit mentir.
Jamais il n’était sage, pour un dirigeant, de dédaigner les attributs du pouvoir, car le pouvoir lui-même découle en une mesure non négligeable de tels attributs.
« Et toi, petit homme, qu’as-tu l’intention d’offrir à la reine dragon ? »
Ma haine, aurait aimé dire Tyrion. Mais il écarta ses mains autant que ses fers le lui permettaient. « Tout ce qu’elle voudra de moi. De sages conseils, un humour féroce, quelques cabrioles. Ma queue, si elle la désire. Ma langue, sinon. Je mènerai ses armées ou je lui masserai les pieds, à sa guise. Et la seule récompense que je demande sera d’avoir permission de violer et de tuer ma sœur. »