Entre mes mains le bonheur se faufile

Ce n'est pas parce que des lecteurs sont unanimes et enthousiastes pour un livre que tu l'aimeras. Cela vient de se produire. Je cherchais un autre livre de cette Auteure qui malheureusement n'était pas disponible. J'ai lu les critiques pourtant, avant de prendre celui-ci et j'ai détesté cette histoire. le style de l'Auteure n'y est pour rien et si elle voulait faire prendre conscience d'une certaine soumission des femmes, c'est réussi. La pauvre Iris est soumise envers ses parents, son mari, puis son mentor et son grand amour. Pourtant elle a des rêves, une passion et elle amorce une certaine indépendance en imposant sa formation loin de la maison, à son mari. Bon, il faut dire que son départ arrange bien ce dernier, médecin, qui soi-disant ne résiste pas à l'appel du travail et de ses malades. Et flop le soufflé est retombé, la soumission revient en force. Je crois que le pire dans ma lecture était l'épilogue. Bref je n'en dis pas plus, je ne révèle rien, l'histoire est pleine de rebondissements mais une chose est certaine le plaisir de lire ne s'est pas faufilé entre mes mains. Je suis trop indépendante, fonceuse et moderne pour le thème de cette histoire.

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Tac-tac, tac-tac, tac-tac.
Ce n'est pas le bruit d'une mitraillette mais celui d'une machine à coudre ultramoderne, ultra-professionnelle. Celle qui pique et coud, c'est Iris, passionnée de couture depuis l'enfance et entravée dans son choix d'étude par ses parents.
La voilà enrôlée depuis dix ans dans un mariage convenu, planplan, avec un médecin de province quand tout à coup, elle plaque son boulot monotone à la banque pour se rendre à Paris dans un atelier de couture haut de gamme où elle va révéler ses talents multiples. Bien sûr, il fallait quelques drames dans cet univers trop policé et les rebondissements ne manquent pas.

Tout au long de la lecture, j'ai pensé à Meryl Streep dans le rôle de la directrice de magazine de mode inflexible, cassante et manipulatrice du Diable s'habille en Prada.

J'attendais beaucoup de ce livre. J'avais lu de bonnes critiques.
Hélas, je reste sur ma faim.

Le travail de créatrice, de couturière, la technique du perlage auraient mérité davantage de détours. Ils sont évoqués mais jamais décrits. Aucune des créations d'Iris - qui dessine, coupe et coud des dizaines de vêtements à vitesse grand V - n'est un tant soit peu détaillée, ni dans le choix du tissu, ni dans les coloris, ni dans les modèles. C'est dommage, cela aurait donné plus de cachet au sujet qui est original et inattendu pour une jeune femme de 31 ans en mal de reconnaissance et d'identité !

Cependant, la lecture est agréable et quelques passages sont émouvants.

C'est le premier livre d'Agnès Martin-Lugand que je lis. Je n'ai pas été convaincue mais je ne désespère pas de la voir s'étoffer et de prendre de la bouteille.

J'avais apprécié le premier roman d'Agnès Martin-Lugand, "Les gens heureux lisent et boivent du café", alors je ne peux qu'être déçue par ce second livre. C'est un roman d'amour facile, roman de gare qui se lit vite et s'oublie aussitôt, mélangeant histoire à l'eau de rose et situations glauques. Un livre qui n'apporte pas grand chose, qui sert seulement à se divertir. Intérêt limité. Déception.

Après la découverte de mon premier Agnès Martin-Lugand "Les gens heureux lisent et boivent du café", je reste sur ma faim avec "Entre mes mains le bonheur file". Autant j'ai apprécié l'envol de l'histoire, le quotidien d'Iris, coincée dans une existence provinciale, sans engouement et son réveil lent et progressif, qui l'amène à assouvir son désir de jeunesse. Bobines de fils. Aiguilles. Tissu. Modèle. Couture. La seconde partie m'a semblée peu réaliste, cousue de fil blanc, un conte de fée parisien et une chute trop attendue, malgré quelques rebondissements. Léger et divertissant, sans grande conviction.

En choisissant cette lecture, je cherchais un livre léger pour l'été.
Lorsque je le decouvris, j'ai d'abord pensé être tombée dans une bluette tellement la trame était simpliste.
Dès le début, on devinait que l'héroïne allait réussir dans le métier qu'elle venait de choisir et qu'un nouvel amour allait combler sa vie.
L'écriture est fluide, très agréable à lire,
En conséquence, il ne me fallut que quelques heures pour le terminer.
Or, après quelques jours de réflexion, je suis revenue sur ma première impression en constatant que j'étais passée à côté de l'étude de caractères des personnages qui veulent à tout prix dominer les autres jusqu'à en faire des clones.

C’est en voulant changer d’air et me pencher sur quelque chose de léger que je me suis décidée à lire ce roman qui est dans ma PAL depuis quelques temps. Au début, tout va bien. Je suis vite happée par l’histoire de Iris, bourgeoise de province mariée avec un médecin qui trouve du réconfort dans l’ennui de son quotidien auprès de sa machine à coudre. Elle déniche une occasion en or : suivre une formation à Paris pour devenir couturière, elle convainc son mari et se retrouve sous le mécénat d’une esthète : Marthe. Je continue à tourner les pages avec joie…c’est fluide, léger, agréable à lire.
C’est ensuite que les choses se corsent. Une fois notre personnage bien installé dans ce nouvel univers, j’ai trouvé que l’histoire ne cessait de tourner en rond. C’est super convenu, prévisible et bourré de clichés. Les personnages sont terriblement caricaturaux. Le personnage de Iris, qui m’était plutôt sympathique au début, m’a souvent donné envie de lui donner des claques…A se laisser mener par le bout du nez à n’en plus finir, le personnage est devenu creux.
Bref, c’est léger et ça se lit vite…c’est à peu près tout ce que j’en retiendrai.

Je voulais une lecture facile pour les vacances t je savais qu'avec un Agnès Martin-lugand ce serait le cas. Un roman vite lu, et qui sera vite oublié. Pourtant pourtant, le thème de la couture me plaisait, le début était intéressant. Une jeune femme, Iris, "bien" mariée, qui s'ennuie dans son boulot qu'elle subit, osera reprendre ses rêves en s'inscrivant dans une formation de couturière. Elle va donc tout faire pour gagner cette formation et reprendre confiance en elle. Pour le reste... je n'ai pas vraiment adhéré au reste de l'histoire, à cette patronne mystérieuse et aux histoires d'amour... un petit goût d'Émily in paris chez les gens.... tordus?
Dommage, le thème de la couture était prometteur

Ce roman m'a complètement déroutée. Plus j'avançais dans ma lecture, plus son ambiance changeait. Je passais d'un roman lambda sur l'épanouissement de soi, à un roman passion, un roman émouvant, j'ai même cru tomber dans le thriller psychologique à un moment.
Finalement il se passe beaucoup de choses, mais - parce qu'il y'a un mais- ce n'est jamais assez. Tout reste très superficiel.
Ce livre a réussi à m'ennuyer, me passionner, m'intriguer et me décevoir. Je ne sais pas comment vous l'expliquer, j'étais comme un soufflé au fromage à moitié retombé, mais toujours en suspension.
Le gros + de ce roman c'est sa Marthe, ce personnage hautain, froid, manipulateur et séducteur, qui fascine Iris. Mi Pygmalion, mi Marquise de Merteuil. Malheureusement, c'est le seul personnage intéressant.
Le côté provincial bourgeois année 50 d'Iris, m'a profondément agacé, même si son manque de confiance en elle me la rendait sympathique. Quant aux autres, ce sont des clichés ambulants. Gabriel, le requin de la finance et de la séduction, coeur sensible caché sous une cuirasse de motard au sourire en coin. Mi Danny Zuko - mi vicomte De Valmont. Pierre, le mari, est d'une insipidité sans nom. le médecin de province à mocassins à glands presque, toujours de garde, jamais un regard pour sa femme qu'il verrait bien en mémère au foyer avec serre-tête et jupe plissée.
Alors c'est compliqué à retranscrire pour moi, parce que oui, ce roman m'a captivé, je ne l'ai pas lâché, mais il ne m'a pas époustouflée, et il m'a profondément décu par son manque de relief. La trame était super, les idées étaient très bonnes, mais ce n'était pas transcendant, alors que ça aurait pu l'être justement.
Cependant, je voudrais terminer sur une note positive, et dire que même si ce roman m'a déçu, j'ai adoré l'écriture fluide, simple et captivante de son auteur. Je ne m'arrêterais pas là, et lirais ses autres livres, promis!
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Encore une déception pour moi mais elle était attendue ;) on m'avait prêté ce livre que je n'aurais jamais lu de moi même car je me connais mais comme la personne à insisté je l'ai lu pour lui faire plaisir. Ben c'est un carnage, une romance avec des enfoncages de portes ouvertes, un mystérieux beau et torturé jeune homme une sous estimée jeune demoiselle en mal d'amour. Bref ça dégouline de mièvreries.
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Ce livre se lit avec aisance et rapidité. En effet, l'écriture est simple et fluide. Mais quant à l'histoire, au premier plan, celle-ci est d'une grande banalité. Iris est une femme au bord du gouffre, désespérée. Elle s'ennuie dans sa petite vie, son mari quant à lui est un médecin devenu distant et qui fait passer son emploi avant elle. Son désir de devenir couturière s'est transformé en simple loisir auquel elle s'active dans un grenier plutôt minable. Ses parents, des personnes égoïstes et crapuleuses, lui avouent une trahison faite il y a de cela des années. C'est un coup de massue fatal pour la jeune femme. Mais il n'est jamais trop tard pour réaliser ses rêves après tout. Elle décide donc de tout plaquer (famille, mari, son poste à la banque, son grenier, sa vie provinciale), et de partir en formation à Paris !

Voilà une base qui a été vue et revue, mais la suite est encore mieux. Iris arrive à Paris, se retrouve dans un clapier, et commence sa formation avec d'autres filles. Si au départ celle-ci est quelque peu tendue suite à tout ces changements, elle va rapidement reprendre pied et se démarquer des autres grâce à ses doigts de fée et son talent, ce qui lui vaudra les louanges d'une grande femme. Marthe, une égérie de la mode, une femme haut en couleur qui sait se faire entendre de par son caractère de diva, tantôt sèche, tantôt empli de tendresse.
Mais surtout, l'immanquable maillon d'une histoire telle que celle-ci, d'une romance, Iris rencontrera Gabriel. Un bel homme, de ceux qui plaisent aux femmes d'un simple coup d'oeil, qui les fait rire même si ces blagues sont nulles, un véritable séducteur !

A mon goût, tout est couru d'avance. je n'ai pas eu de surprise, je n'ai pas été étonnée, je savais déjà le déroulement et la finalité. Peut-être à part un moment (très court), que je n'ai pas vu venir, mais que j'ai trouvé malheureusement absurde et tiré par les cheveux.

C'est tout de même un livre qui pourra vous faire du bien, si vous appréciez les romances ou les lectures simples pour un moment de détente, sans prise de tête. Une lecture qui peut se montrer agréable si on en attend peu au niveau de la trame, et si vous ne prêtez pas trop attention à une histoire assez peu crédible compte tenu des circonstances.

Un livre qui se laisse lire, mais qui ne m'a pas apporté grand chose. À part tuer le temps quelques heures.


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