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Kaiju n°8 tome 1 sur 11
EAN : 9782820341075
192 pages
Kazé-Crunchyroll (06/10/2021)
4.3/5   326 notes
Résumé :
Enfant, Kafka Hibino rêvait d’intégrer les Forces de Défense pour combattre ces terribles ennemis, mais après de nombreux échecs à l’examen d’entrée, ce trentenaire travaille à nettoyer les rues de leurs encombrants cadavres. Jusqu’au jour où une mystérieuse créature s’introduit dans son organisme et le métamorphose en une entité surpuissante mi-humaine, mi-kaiju. Son nouveau nom de code : “Kaiju n° 8” !
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Critiques, Analyses et Avis (51) Voir plus Ajouter une critique
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Désolé si ma notation peut sembler un peu sévère mais je ne suis pas un habitué des mangas - à part ceux de l'illustre Jirô Taniguchi. Je n'ai pas une grosse expérience du genre et manque donc de sérieuses références. J'ai quand même tenté d'évaluer l'oeuvre de façon détachée, avec du recul et en prenant compte de plusieurs paramètres.

C'est une très bonne surprise !
Le titre et la couverture sont accrocheurs, même pour un novice. Si je suis entré dans l'histoire comme un chat à qui on ouvre la porte alors qu'il fait froid et qu'il pleut dehors (vous voyez un peu l'image…), j'ai été très vite entrainé et conquis par cette histoire à laquelle j'ai trouvé finalement beaucoup d'intérêt.

Il s'agit (je le découvre) d'un shōnen, c'est-à-dire d'un genre de manga qui décrit la quête initiatique d'un ou de plusieurs personnages et concerne des valeurs telles que l'amitié, le goût de l'effort, l'esprit de groupe, le dépassement de soi...
KAIJU N°8 démarre donc sur les chapeaux de roues ; Kafka Hibino, la trentaine, célibataire, sympa mais dans le genre looser, souhaitait quand il était gosse intégrer le groupe très fermé des Forces de Défense afin de combattre les sinistres kaijūs.
Avant que je ne perde les non-initiés, les kaijūs sont d'étranges créatures, grandes - voir colossales - et hostiles la plupart du temps. En bref, ce sont des monstres assez peu subtils et fort dangereux (rappelez-vous certains épisodes de San Ku Kaï).
Mais là, j'ai sans doute perdu les plus jeunes... Gottferdom !

Notre plaisant Kafka a donc raté plusieurs fois de suite - et pas que d'un peu - l'examen d'entrée permettant d'incorporer les troupes d'élite ; dépité, il a rejoint les équipes de « démembreurs-fossoyeurs » chargées de nettoyer les rues des encombrants cadavres de kaijūs une fois ceux-ci éliminés par les Forts-en-thème.
Nettoyeur est un boulot très utile, certes, mais beaucoup moins prestigieux. Un peu si on était le mécanicien de Tanguy et Laverdure…
Lors d'une mission particulièrement pénible, un virus ou une chose en profite pour pénétrer son organisme et le contaminer. Il devient alors… : “Kaijū n° 8” se métamorphosant en une entité surpuissante moitié humaine et moitié kaijū.
Certes beaucoup moins beau, il reste fidèle en amitié et tendre comme un nounours au chocolat sans pour autant perdre de vue son objectif premier : devenir membre des Forces Défense.

Ceci n'est pas sans rappeler l'histoire de Bruce Banner (l'incroyable Hulk) qui n'est rien d'autre que l'adaptation moderne de Dr Jekyll & Mr Hyde avec en prime une once du mythe de Frankenstein. Là-dessus se greffent de nombreux thèmes ; sortir de l'adolescence, oser parler à la fille qu'on aime, faire preuve de courage, devenir soi-même…

Mais tout ceci pose un bon gros problème : « Comment échapper à la vindicte populaire quand on est gros, laid et qu'on a l'air méchant ? »

La solution est : Se cacher… ou bien affronter l'ennemi !
Et si possible en sauvant la belle.
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La Japon est le pays où les kaijus, d'énormes et terribles monstres, apparaissent le plus souvent. Pour lutter contre ces fléaux, des unités de force de défense ont été mises en place, composées de soldats ultra entraînés. Intégrer ces unités d'élites a toujours été le rêve de Kafka Hibino mais après plusieurs échecs, il s'est résolu à devenir nettoyeur, débarrassant les rues de la ville des cadavres de kaiju. Lorsqu'une nouvelle recrue, Reno Ichikawa, arrive dans son équipe et surtout lorsqu'un événement totalement improbable se passe, Kafka se lance à nouveau dans la compétition pour combattre ces terribles monstres.

"Kaiju n°8" est un excellent shonen où action et humour accrochent très vite le lecteur. Si les ficelles sont toujours les mêmes, le duo comique formé par Kafka et Reno fonctionne à merveille, nous offrant des passages vraiment drôles. Les personnages féminins qui les entourent ne sont pas en reste, révélant du charisme et extrêmement badass. Petit coup de coeur pour Kafka, un anti-héros déjà vieux - 32 ans ! -, désabusé par la vie mais qui nous réserve encore bien des surprises. le graphisme sert bien l'histoire - pas trop de détails - tout est très lisible et fluide - pas besoin d'une loupe pour lire les dialogues. Bref, "Kaiju n°8" est un shonen plein d'humour, d'action, avec des personnages très sympas.

Voici un premier volume qui pose très bien les bases et qui est prometteur pour la suite. Vraiment un très bon moment de lecture.
A suivre !
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Pour les amateurs de bons gros délires qui ne lésinent cependant pas sur de l'action bien solide, voici Kaiju No.8 ! Un très gros succès au Japon avec une popularité explosive dès le premier tome et qui vient de rentrer en fanfare en France par le biais des éditions Kaze qui n'hésite pas à viser haut avec ce shonen déjà bien reconnu au Japon. .Sans doute l'un des shonens les plus importants de cette fin d'année...

Au niveau de l'intrigue, Kaiju repose cependant sur du postulat un peu classique avec une humanité en guerre des monstres, en l'occurence, ici les Kaiju. Pour rappel, les kaiju sont des créatures emblématiques du cinéma fantastique japonais parmi lesquelles on peut relever en chef de file le fameux Godzilla... Désormais, ces fameux gros monstres nippons ne sont plus seulement des stars de l'écran, ils viennent aussi réellement détruire l'archipel et transformer les grandes villes en ruines. Fort heureusement, Les Forces de Défenses japonaises tiennent cependant le cap contre l'apparition de ces grosses bêbêtes.

Notre héros Kafka ( quel nom bien porté ! ) est un personnage relégué à l'équipe de nettoyage. Ceux qui nettoient la ville des cadavres titanesques de kaiju, un travail horrible mais indispensable. Kafka est cependant rongé par les regrets que lui ont procuré ses échecs successifs pour rentrer dans les forces de défenses. Cependant, il s'autorise une dernière chance grâce aux conseils d'une nouvelle recrue... avant de se voir subir, bien malgré lui, une transformation radicale en kaiju humanoïde pour le pire et pour le meilleur !

Ce premier volume est surtout centré sur notre héros Kafka Hibino et sa radicale transformation en guerrier kaiju. Cette métamorphose n'est pas de tout repos et le mangaka Naoya Matsumoto la rend aussi drôle que bad-ass avec un Kafka qui ne comprend absolument pas ce qui lui arrive et qui multiplie les "pertes" de contrôles du à ce changement précipitée. La force de ce premier tome provient de son rythme très maîtrisé et bien équilibré entre un humour très présent , de l'action et des personnages plutôt sympas qu'on cernent rapidement. En un mot, Kaiju n°8 se dévore avec aisance et , même si dans les grandes lignes, ce premier tome peut paraître parfois classique avec, notamment, l'habituelle épreuve de sélection... il n'en reste pas moins le début réussi d'un shonen qui coche avec facilité les cases du divertissement. Pour le comparer à un autre mastodonte, Kaiju No.8 , c'est un peu le penchant décalé de SNK avec une bonne dose d'action.

Les personnages sont vites sympathiques entre un Kafka qui apparaît comme un héros sur le tard, souvent vanné à cause de son âge, son amie d'enfance plutôt discrète dans ce premier volume mais sur qui règne un véritable charisme, la nouvelle recrue dont le tempérament oscille entre froideur et loyauté et enfin la jeune gosse de riche qui est aussi le talent prodige du concours. Une bonne galerie face à ces monstres. Pour l'heure, à l'exception des derniers chapitres, nous n'avons pas trop de confrontations dantesques face au kaiju, le mangaka préférant se focaliser sur la transformation inopiné de Kafka ce qui n'empêche pas ce premier volume d'être riche en vitamines et d'introduire déjà le visage d'un certain antagoniste décisif en fin de tome. Toujours est t-il que l'intrigue de Kaiju est loin d'être totalement remarquable avec une énième confrontation entre une humanité et une titanesque menace. Nous restons en terrain connu.

Pour l'heure, Naoya Matsumoto privilégie donc l'efficacité avec son dessin qui oscille entre un style monstrueux tout en force associé à une bonne touche de burlesque et une intrigue tout en entrain qui multiplie les gags, moments de bravoures et présentation ultra-rythmé des différents personnages.

En somme, ce premier tome de Kaiju No.8 en impose et se démarque surtout par son tempérament comique qui apporte un véritable tempo à cette entrée en matière. Pour l'heure, Kaiju pose les bases d'une intrigue un peu classique mais qui ne manque ni de panache visuel ni d'un capital sympathie certain.
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"Kaiju n°8" est un titre qui bénéfice d'un marketing et d'une hype de folie. Au-delà de cela il bénéficie d'un graphisme, et d'un scénario qui savent attirer.
De plus, il sort à une bonne période, où on cherche des titres pour se faire des frissons.
Néanmoins, je ne m'attendais pas du tout à autant aimer ce titre, à être si conquise dès le départ, à m'en mettre plein les yeux, mais aussi à beaucoup rire, notamment
grâce à des situations très décalées.
Vous avez peut être déjà croisé le mangaka MATSUMOTO Naoya sur "Pochi et Kuro", manga en 4 tomes chez Kazé qui est dans ma longue wishlist, pas encore eu l'occasion de le lire.
Ce nouveau titre est en cours avec 4 tomes au Japon, et vient de se lancer en France avec 1 tome.
Dans leur Japon, il y a d'effroyables monstres qui surgissent nommés les Kaijus, il y en a de différents types. Nul doute qu'ils ont profondément remis les choses en question,
et bouleverser bien des vies. Nous le verrons déjà en partie, et nous avons sans doute encore bien des histoires à découvrir.
Evidemment, ils sont assez monstrueux à voir et pourraient vous donner des cauchemars.
Dans ce premier tome, j'ai particulièrement aimé qu'au-delà des combattants, on parle des nettoyeurs, de travailleurs de l'ombre, de la nécessité de ce qu'ils font mais le tout sans que personne n'y fasse vraiment attention.
Nous rencontrons entre autre Kafka Hibino, déjà la trentaine, il rêvait d'intégrer les Forces de Défense mais finalement nettoie leurs cadavres. le fait que le petit nouveau Reno Ichikawa, 18 ans, les rejoignent va commencer à remettre les choses en perspective. Ils formeront au final un duo assez solidaire et comique.
Une autre chose va tout remettre en question, donner plus de force à Kafka Hibino, mais également nous interroger.
Cela donne tout de suite une nouvelle dimension à l'histoire, et en même temps les scènes les plus drôles et décalées.
Le graphisme est super et happe nos yeux, il y a quelques pages couleurs pour commencer. C'est dynamique, stylé, intéressant, percutant, des liens d'enfance, de nouveaux liens, très drôle.
Cela se laisse lire avec une grande facilité et le lecteur sera très vite et de plus en plus conquis.
Kafka Hibino va-t-il se battre pour ses rêves ? Jusqu'où ira-t-il ? Comment et combien cette nouvelle vie va tout changer pour lui ? Comment vivre ainsi ?
Et l'air de rien, ce qui lui arrive nous pousse à nous poser bien des questions aussi.
Nous allons déjà rencontré pas mal de personnages badass, puissants, hauts en couleur, notamment une jeune demoiselle qui ne nous fait pas la meilleure des premières impressions.
Entre les chapitres, il y a quelques fiches sur les personnages.
A la fin, nous avons une page sur l'univers, et une page de teasing pour le prochain tome qui arrivera le 8 décembre normalement.
Le seul souci finalement c'est que la fin donne une furieuse envie de dévorer la suite.
Ainsi, le départ de cette série est dantesque, une très belle surprise, très prometteur, et on n'a qu'une envie pouvoir lire la suite. Il est fort probable que si vous commencez par après, avez le temps et plusieurs tomes sous la main, vous les dévoriez, surtout si sa qualité et son originalité savent se tenir sur la durée.
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Un manga correct de la part d'un mangaka qui a bien bossé "Le Guide et les Principes d'une Bonne Bande Dessinée"... OK, ce guide n'existe pas mais il pourrait.

On a d'abord un univers SF dans un Japon pas trop éloigné de nous. Des monstres dont on ne sait rien tout du long du manga, et c'est un point faible en ce qui me concerne, surgissent de n'importe où et sont dégommés par une unité spéciale. Puis les restes éparpillés façon puzzle (merci Michel) sont nettoyés par le service de nettoyage ad hoc. Voilà la base.

Les petits ajouts font toute la différence. Merci au Guide et aux Principes... on a Kafka Hibino qui se trouve dans l'équipe de nettoyage parce qu'il a raté son admission dans l'unité spéciale anti-Kaiju. Mais dans cette équipe, on a sa meilleure amie d'enfance. Et voilà-t-il pas qu'un nouveau se pointe dans l'équipe de nettoyage, et qu'il rebooste Kafka (pas l'écrivain...) pour qu'il postule à nouveau dans l'unité spéciale, "car maintenant on peut jusqu'à 32 ans" et Kafka a presque 32 ans.

Ajoutons que ces deux gaillards se sauvent mutuellement la vie. Et que Kafka traîne une malédiction maousse... je n'en dis pas plus. Et aussi que subitement des Kaijus et leurs monstres associés se relèvent alors qu'ils sont mourrus... Tout cela en un volume. Mazette !

Dessin très correct, voire mieux que correct. Scénario intéressant, mais dans lequel on va à la facilité (aaaah, ces fameux Principes...).
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critiques presse (4)
Elbakin.net
25 octobre 2021
Le ton de la série est donné : drôle sans être parodique, percutant sans se reposer sur la surenchère et le gore à peu de frais.
Lire la critique sur le site : Elbakin.net
BoDoi
07 octobre 2021
Ce Kaiju n°8 au dessin efficace et sans chichis, est bien un shônen dans le sens où il narre le chemin initiatique, l’apprentissage, d’un jeune homme qui ne semblait pas taillé pour une si grande quête. Et qui, en plus, cache un lourd secret. La recette éternelle du succès du manga pour ados ? Probablement. Pour l’originalité, au-delà du concept premier, on repassera (et on choisira le plus adulte et sombre Chainsaw Man peut-être), mais pour le divertissement, rien à dire, tout est là.
Lire la critique sur le site : BoDoi
MangaNews
07 octobre 2021
KAIJU N°8 démarre fort, en se présentant bel et bien comme l'excellent divertissement que l'on espérait. Bien grattée, narrée dans un très bon rythme, facilement immersive, portée par des personnages qui ont déjà tous quelque chose d'attachant, la lecture défile toute seule et nous donne déjà envie d'en reprendre une dose, d'autant qu'un chouette premier cliffhanger a lieu dès les dernières pages de cet opus.
Lire la critique sur le site : MangaNews
ActuaBD
05 octobre 2021
Histoire installée sur les valeurs classiques de la collection Jump, action dynamique, un humour plutôt bien dosé et des graphismes qui prennent la mesure d'un sujet pas évident car marqué, justement, par la démesure : la nouveauté de Naoya Matsumoto possède tout pour rencontrer chez nous un succès mérité.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Citations et extraits (9) Voir plus Ajouter une citation
Gaël
3/5
Kaiju°8 est un manga fantastique et d'action. C'est une histoire qui se déroule au Japon. Enfant, Kafka avait très envie de travailler pour les Forces de Défense pour les aider à combattre contre les Kaijus. Après avoir échoué de nombreuses fois aux examens, il travaille actuellement pour une équipe de nettoyage. Avec son travail, il rencontre une personne qui a lui aussi très envie de travailler pour Les Forces de Défense mais a malheureusement échoué aux examens. Ils retentent tous les deux les examens et réussissent à y entrer et combattent ensemble contre les ennemis.
J'ai bien aimé le genre fantastique du livre et je trouve les personnages très intéressants.
Je recommanderais ce livre aux personnes qui aiment les mangas.
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Hé, Chef. Sans vous, je ne serais plus de ce monde à l'heure qu'il est. Z'avez été carrément badass.
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Et merde ! C'est pas du tout le plan de vie que je m'étais fixé !
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- C'est fini, je peux tirer un trait sur tous mes rêves de bonheur marital, maintenant ! Monde cruel !
- Si ça peut vous consoler, c'était déjà pas gagné avant votre métamorphose côté séduction !
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Ben, j’ai donné tout ce que j’avais, mais disons que le concurrence était rude. Je me suis heurté à mes propres limites, en quelque sorte.
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