J'ai terminé aujourd'hui le tome 7 de la série "assassins sans visage" de
Peter May, appelé "
La gardienne de Mona Lisa" paru aux
Editions du Rouergue.
Dans cet opus, on retrouve donc Enzo
Macleod, le scientifique écossais.
Quelques années ont passé après la résolution des mystères autour des assassinats évoqués dans le livre de son gendre Roger Raffin.
On se retrouve en automne 2020, en pleine pandémie mondiale.
Enzo est appelé par une archéologue médico-légale basée à Paris pour l'aider à voir clair sur la découverte d'ossements d'un soldat allemand dans une commune près de chez lui, ossements qui dateraient de la seconde guerre mondiale.
Quand il arrive dans la commune, il est reconnu par un gendarme qui va lui demander de l'aide pour résoudre un crime commis à 2 pas de la découverte des ossements. La victime est un marchand d'art parisien.
Est ce une coïncidence ?
En tout cas, la propriétaire de la maison où est mort le marchand d'art a une belle histoire à raconter sur le transfert des oeuvres d'art du Louvre pendant l'occupation allemande Elle évoque même Georgette Pignal, à qui le Général de Gaulle aurait confié la garde de la fameuse Mona Lisa...
L'enquête va l'amener à Paris, à Berlin et jusqu'au gouffre de Padirac.
Je crois que c'est le tome que j'ai préféré, sans doute parce qu'il a mêlé
L Histoire, l'art...