Un goût de cannelle et d'espoir

En dépit de la délicieuse odeur de petits pains tout chauds, j'ai abandonné ce gâteau de sucre et cannelle avant cuisson définitive.

Je n'ai jamais pu entrer dans ce livre. L'ennui est arrivé très vite. Je fais de plus en plus un blocage littéraire quand l'histoire se conjugue avec les étiquettes "Seconde Guerre Mondiale, nazisme, Shoah". J'ai l'impression de lire le même roman depuis des années et je ne suis plus une jeunette!

Donc, encore une histoire de vies bousculées, brisées, catapultées, en dommages collatéraux du III Reich. Encore une vieille femme qui raconte à une plus jeune (ici, journaliste) pour cocher la case" devoir de mémoire", des flash-back pour illustrer le parcours des personnages, un parallèle entre passé et présent dans des situations humaines qui posent dilemme à ceux qui y sont confrontés.

Alternant le romanesque entre États Unis contemporains et Allemagne nazie, la période de la guerre a pourtant plus de densité dramatique que le contexte actuel de la frontière mexicaine où les personnages et leur histoire ont peu d'intérêt. L'écriture, assez convenue, n'a pas été assez brillante pour me permettre de m'accrocher.

J'abandonne donc au quart du récit, mais ne cherche nullement à en dégoûter le lecteur qui s'y risquera.
Je déplore simplement l'excès de fictions littéraires sur cette thématique, comme autant de clichés tuant l'émotion envers cette période épouvantable. Je reconnais néanmoins que ce genre de livre trouve manifestement son public et joue en cela son rôle informatif du passé.

(;-) j'aurais du me méfier , avec ce titre...)

Un goût de carton-pâte et d'ennui... Je me suis traînée le long de cette double histoire, péniblement mélo du côté américain et passablement stéréotypée du côté allemand. Convenue, sirupeuse, souvent improbable, la recette de Sarah MacCoy me reste sur l'estomac.
Mauvaise pioche!

Non ce n'est pas mauvaise volonté de ma part, ni parti-pris
mais, une fois de plus, je suis déçue par un roman largement apprécié par les babeliotes.
Bien sûr, il y a quelques beaux passages sur les réconforts de l'amitié, sur la solidarité en temps de guerre mais malgré tous les drames évoqués - et ils sont nombreux - qui devraient me bouleverser, je ressens un certain agacement.
Trop de poncifs moraux rebattus, un excès de sentimentalisme et une certaine naïveté s'exercent aux dépens d'une analyse approfondie. En outre, le personnage de Reba, assez proche d'une Bridget Jones me semble malvenu dans cette histoire.
Bon point pour les descriptions répétitives des délices de la boulangerie qui mettent l'eau à la bouche.
A mon avis l'horreur des lebensborn et le problème des migrants mexicains dans un même roman, c'est assez maladroit

Lu au vu des critiques très élogieuses des babeliottes, je n'ai pas ressenti le grand souffle de l'émotion décrit. Si l'histoire m'a accrochée au début, je me suis vite ennuyée au vu du style hyper convenu, des alternances de mails et de correspondances et l'histoire de Reda m'a carrément ennuyée. J'ai eu l'impression d'avoir déjà lu ce genre de bouquin, il ne me laissera pas un souvenir impérissable.

Des ingrédients choisis pour faire une bonne recette : guerre en Allemagne, Texas, clandestins, enfant juif caché, boulangerie, recettes, journalisme, histoires d'amour, vieillesse, etc. Finalement un petit fourre-tout. le soufflé est vite retombé avec les longueurs et les niaiseries. Nulle mention des montagnes de Garmisch-Partenkirchen (station jumelée avec Chamonix). Deux époques où les histoires ne se regroupent pas vraiment. Voici deux pavés de suite que je lis de même construction et que cette mode me tape sur le système. Au prochain, je lis les chapitres par époque. Où est passé le bon vieux linaire ?

Je suis allée difficilement au bout de ce roman, un peu mièvre à mon goût. Je me suis attachée aux personnages mais je n'ai pas trouvé un grand intérêt à cette histoire qui nous ressasse encore une fois les atrocités des méchants nazis.

. Facile à lire mais ne me laissera pas un souvenir impérissable.

Déçue je ne m'attendais pas à cette histoire là. Je pensais que c'était la guerre racontée du point de vue d'une allemande, pourquoi raconter la vie de la journaliste Reba?

Je crois que j'attendais trop de ce livre et ça a donc été une déception. J'ai lu des romans sur la 2de guerre mondiale mieux écrits et plus émouvants que celui-ci. J'ai préféré le récit de la période de la guerre plutôt que celui sur le présent. Je n'ai pas du tout aimé le personnage de Reba. Et à la longue les quelques piques sur le végétarisme étaient vraiment pénibles.
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Lecture mitigée pour moi avec ce livre car j'y ai ressenti trop de longueurs...
On suit deux histoires en alternance à deux époques différentes, d'un côté la jeune Elsie, une Allemande de 16 ans qui aide ses parents dans leur boulangerie en 1944 lors de la guerre et dont on suit l'histoire pendant plusieurs années et d'un autre côté Reba, journaliste dont on va suivre l'histoire en 2017.
J'ai trouvé la jeune Elsie attachante et j'aurais finalement aimé ne suivre que son histoire car j'ai trouvé l'histoire de Reba sans intérêt.
L'histoire d'Elsie est émouvante et j'ai adoré les 30 dernières pages dans lesquelles certains passages m'ont mis les larmes aux yeux.