-Les banquiers sont les pires salauds de toute la bande. Je les flinguerais bien tous avant de les pendre pour faire bonne mesure. Ils sont détruit quantité d'existences, et aucun n'a jamais été envoyé en prison.
-C'est comme ça que le monde a toujours tourné, Francis. Une loi pour les pauvres, une autre pour les riches. C'est juste devenu plus flagrant, plus personne n'en a honte. C'est presque un titre d'honneur de baiser les plus faibles.
Il hurla tant que les couronnes de ses dents ferraillèrent dans sa bouche.
Le chat n'avait pas l'air content et paraissait de mauvais poil. Il semblait un peu dingue, comme s'il venait juste de s’échapper d'un asile pour chats, ou s'il avait oublié de prendre ses médicaments.
"Il en bandait si fort qu'il en serrait les dents et le scrotum. Il pouvait sentir les odeurs de corps chauds des gamines."
- Qu'est-ce que tu prends ?
- Je ne dédaignerais pas une pinte de Harp si quelqu'un avait la bonté de la placer devant moi."
C'est vrai qu'on ne peut juger un livre à sa couverture. ( p 261 )
Le silence de la campagne était comme un baume pour son âme, une rupture bienvenue dans la mêlée constante de Belfast.
Je m'étais armé de la sainte-trinité du châtiment : flingue, détermination et justification.
On ne peut jouer qu’avec les cartes que la vie nous distribue.
- Quelquefois, il faut mourir pour rester en vie.
- Mais ... Je ne veux pas mourir.