AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,92

sur 2535 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Voici une nouvelle aventure de Martin Servaz qui démarre en Norvège et se poursuit par une arrestation tumultueuse pour le flic de Toulouse qui se retrouve dans le coma suite à une balle reçue en plein coeur.
Malheureusement je n'ai pas été transportée par ce nouvel opus, certains clichés sont prévisibles d'autres sont irréalistes . Dommage.
Commenter  J’apprécie          30
Premier livre pour cet auteur et c'est un flop pour moi.

J'ai trouvé ce livre long (plus de 500 pages) mais pourtant creux au moment de sa lecture.

Certain moment d'action passe en 2-3 pages alors qu'à mon sens elles auraient dû durer plus longtemps, des descriptions à rallonges … Je me suis perdu plus d'une fois dans ma lecture et j'avoue avoir fini le livre il y a 15 jours et je ne me souviens déjà plus de la fin.
Lien : https://www.instagram.com/p/..
Commenter  J’apprécie          00
Long et flippant, pour... pas grand chose ? J'avais le souvenir d'avoir beaucoup aimé "N'éteins pas la lumière" du même auteur, mais là, je suis déçue. Peut-être qu'en mettant autant de temps à le lire, j'ai perdu le fil ; mais je ne me suis jamais sentie prise dans l'histoire. Aucune attache émotionnelle aux personnages, des décors anodins qui ne m'ont pas du tout transportée non plus, et une intrigue pas dingue... Ravie de l'avoir fini, ça ne me donne pas du tout envie de re-tester un nouveau Minier prochainement !
Commenter  J’apprécie          00
Cette critique contient des spoilers.

Coucou les copains ! Me revoilà pour un thriller (décidément je sors de ma zone de confort !), mon premier Bernard Minier! Enfin je dis mon premier, mais je dois dire que j'avais ouvert glacé l'année dernière, puis je l'avais refermé aussi sec tant j'étais effrayée, mais soit, ne le comptons pas! J'étais donc toute guillerette, entrant dans l'univers sombre de la Norvège et de la France, au milieu des plateformes maritimes et autres…Mais enfin, quelque chose me titillait : il revenait souvent des notes de l'éditeur comme « Voir glacé », « Voir le Cercle ». Par curiosité donc, je décidai de vérifier que ce roman ne faisait pas partie d'une série déjà commencée tout de même, si ? Eh bien si pauvre gourde, si, si ! Et en plus je ne lisais pas le premier, ni le deuxième, mais bien le TROISIÈME tome ! Enfin bon, je déteste ne pas finir un livre, et voyant que je comprenais plutôt bien les événements, je continuais à lire … Les choses s'enchaînaient plutôt tranquillement jusqu'à ce que BIM BAM BOUM on tombe sur un cocktail explosif : meurtres, viols, pratiques BDSM et j'en oublie sûrement… On peut dire que je ne m'attendais pas à ça ! Bref, je vous passe ensuite toute l'enquête sous fond d'amour (pas réciproque) et de gosse (pas voulu)…
Mais je dois avouer que j'ai été plutôt déçue de la fin, la trahison de Kirsten était assez surprenante mais à part cela, je suis restée sur ma fin (hahaha fière de ce jeu de mots). Je pense qu'il m'a aussi fait défaut de ne pas avoir lu les premiers tomes car il m'a semblé que l'on ne nous expliquait rien sur les personnages, qu'ils étaient là en surface mais qu'il n'y avait rien en dessous; je suppose donc qu'on en avait bien parlé dans les autres romans. A part ça, l'écriture de Bernard Minier est indéniablement transportante, je pouvais attendre crisser la neige aux côtés de Martin Servaz; pour un thriller, j'ai plutôt bien aimé, et croyez moi, c'est difficile !
Commenter  J’apprécie          00
J'aimais bien le commandant Servaz jusqu'à présent, malgré ses citations latines quelquefois un peu trop lourdes et répétitives, mais qu'à cela ne tienne. Et j'ai vu l'année dernière sur Netflix l'adaptation du premier roman où apparaît Julian Hirtmann; qui m'avait quelque peu déçu.
Dans ce "Nuit", un pavé de 600 pages, en poche, Servaz m'a fait pensé à une sorte de Terminator indestructible -et le coeur, et le foi, et la tête.....- je n'en dirai pas plus-, et il est toujours debout!! "Les pieds nus dans la neige...", pour reprendre la chanson bien connue.
Quant à Hirtmann, qui monte des scénarios de plus en plus compliqués où je trouve quand même qu'il y a une trop grande place au hasard et à l'incertitude -du moins dans une certaine réalité et une certaine vie-, et malgré cela, ça marche!!!! Mais quel très méchant et tordu tueur que nous avons là! Et ce qui m'inquiète, c'est que vu la façon dont se termine ce polar, il risque d'y avoir une suite (t3). Que je ne lirai pas.
Une impression de déjà vu, déjà lu dans ce polar de Minier , un peu lourd, beaucoup convenu et je l'écris, qui m'a déçu.
On peut cependant apprécier les recherches sur la procédure pénale et la vie de flics, les rouages de cette institution, de même que celles portant sur certaines maladies et leur approche du corps médical. Mais cela ne suffit pas à faire un bon polar.
Commenter  J’apprécie          40
Une technicienne d'une base offshore basée en Norvège est retrouvée assassinée. L'enquête est confiée à la froide inspectrice Kirsten Nigaard, qui lors de son enquête sur la base découvre toute une série de photos d'un policier français. 
Ces photos vont la conduire à la ville rose pour tenter de comprendre pourquoi un policier, en l'occurrence Martin Servaz, est épié aussi assidument. Ils vont donc travailler conjointement pour retrouver le meurtrier, qui pourrait être son ennemi de toujours : Julian Hirtmann, le tueur qui s'est échappé du centre psychiatrique de haute sécurité, que l'on a découvert dans son premier roman "glacé". Mais cette enquête est tout sauf une enquête de routine au cours de laquelle Servaz aura fort à faire pour maintenir le cap.

Comme j'avais été emballée par la lecture de glacé, j'avais hâte de lire ce polar et là grosse déception, au bout de quelques pages, j'ai fini par m'ennuyer avec ce commandant de police qui fonce tête baissée dans les pièges tendus pourtant évidents, qui ne réfléchit pas plus que cela, obsédé qu'il est par sa chasse à l'homme. Et s'ajoute à cet ennui va durer jusqu'au bout de ces quelques cinq cents pages, la faiblesse de l'intrigue où l'on pressent ce qui va arriver. La seule chose qui a pu un tant soit peu me faire vibrer est l'ambiance rendu par un environnement plutôt hostile qui sied bien à un polar psychologique comme on aurait aimé que "Nuit" soit.
Pas sûre d'avoir envie d'autres écrits de cet auteur, je vais laisser passer un peu de temps et peut-être y reviendrais-je ?
Commenter  J’apprécie          30
Je suis terriblement déçue par ce polar de Bernard Minier, bien loin de l'ambiance palpitante de son premier roman glacé.
Nous retrouvons de nouveau le commandant Servaz, chargé de l'enquête. Mais loin d'être une suite de rebondissements intéressants, le lecteur fait face à un personnage de moins en moins crédible. Martin Servaz joue de plus en plus cavalier seul, prend des décisions sur un coup de tête qui ont des conséquences désastreuses. Je ne suis pas une experte dans ce domaine mais dans la police, il doit bien y avoir quelques procédures non ?
On dirait que l'auteur a manqué d'inspiration donc il a mélangé des ingrédients qui marchaient bien : créer un scénario tordu et peu crédible (plus c'est gros, plus ça passe), faire intervenir un psychopathe qui tire les ficelles, mettre quelques scènes de violence assez crus, impliquer un enfant (oui c'est la corde sensible) etc. Mais l'ensemble manque d'énergie, de cohérence et surtout de simplicité. Il y a trop de clichés, trop de déjà-vu qui éclipsent ce récit et le rendent d'une banalité affligeante.
L'auteur a étiré les pages jusqu'au maximum. Dès les premiers chapitres, j'étais mal à l'aise face à toutes ces longueurs mais la suite s'est empirée. Honnêtement, il aurait été possible d'enlever au moins 200 pages sur ce livre.
Le style d'écriture reste correct, sinon je n'aurai pas pu passer ce pavé soporifique.
En tout cas, ce fut un flop total pour moi, ce qui me fait beaucoup hésiter à continuer à découvrir ses autres ouvrages.
Lien : https://leslecturesdehanta.c..
Commenter  J’apprécie          52
J'ai lu ce roman très vite. Non parce que j'ai trouvé l'intrigue haletante, mais parce que j'ai passé énormément de pages, parfois des pages entières. Je reproche ici les mêmes choses que dans les autres épisodes du commandant Servaz. Bernard Minier fait partie des auteurs qui usent et abusent des digressions inutiles comme les longues descriptions vestimentaires, géographiques, les considérations politiques, les retranscriptions des pensées du personnage sur les nouvelles technologies, la police, des statistiques … Tout ceci ressemble à s'y méprendre à du remplissage. Ce roman est vraiment trop long pour ce qu'il a à dire. Pourquoi de nombreux auteurs se croient-ils obligés d'écrire un roman de plus de 500 pages quand la moitié suffirait ?
Et puis cette histoire a son lot d'invraisemblances. Servaz est un flic qui, dans des situations dangereuses, laisse régulièrement son arme dans la voiture. Mais elle ne lui servirait à rien, il ne sait pas tirer. Un flic qui fait cavalier seul et s'en tire toujours, même après une balle dans le coeur. Qui poursuit son ennemi de toujours juste après une improbable opération du foie, pieds nus dans la neige et avec ses drains.
Outre les longueurs et les invraisemblances, cette histoire m'a semblé poussive, réchauffée. Peut-être me suis-je lassée de cette partie de cache-cache avec le psychopathe Hirtmann ? Pour moi, ce roman est vraiment le moins bon de la série sur le commandant Servaz. Mais je n'ai pas lu Soeurs, le dernier.
Commenter  J’apprécie          47
Alors là trop c'est trop ! Autant glacé m'avait plu, autant là je n'ai pas trouvé l'histoire crédible.
Commenter  J’apprécie          00
Décidément, j'ai un problème avec la série des enquêtes du Commandant Servaz : d'abord, j'ai commencé par lire la 2ème avant la 1ère, puis, croyant lire la 3ème, je me suis rendu compte au bout de 100 pages que je lisais la 4ème... Ballot, tout ça.
Les quelques allusions à l'opus précédent ne m'ont pas empêchée de terminer "Nuit". Par contre, ma déception croissante a failli me le faire abandonner. Autant j'avais adoré les deux premiers, autant celui-ci m'a sidérée par ses incohérences, ses rebondissements de téléfilms et son érotisme à deux balles. Et puis, lire un truc comme : "(...) dans l'ensemble, les hommes vieillissent mieux que les femmes." (pensée de Servaz himself), m'a fortement agacée ; non, Môssieur Minier, comme disait Carrie Fisher : "Les hommes ne vieillissent pas mieux que les femmes. Ils sont juste autorisés à vieillir."
Grosse désillusion, donc, même si j'ai bien aimé la description des paysages enneigés et le petit voyage dans une Autriche de carte postale. Je ne sais pas si je lirai le suivant (ou le précédent). Il va me falloir un petit moment pour me remettre de ma frustration.
Commenter  J’apprécie          143




Lecteurs (7466) Voir plus



Quiz Voir plus

N'éteins pas la lumière

A quelle saison se déroule l'intrigue ?

Printemps
Eté
Automne
Hiver

10 questions
91 lecteurs ont répondu
Thème : N'éteins pas la lumière de Bernard MinierCréer un quiz sur ce livre

{* *}