Je suis le feu

jRecommandé par une librairie de la Rochelle. Parce qu'il s'y déroule ? Parce pour le reste, c'est très moyen. La trame générale est intéressante, plutôt inédite, mais ce livre est mal écrit. Trop de remplissage : on s'en fiche qu'il boive de la Cristaline ou du Glenlivet, qu'il fume des Ninas ou des Chesterfield ou des Malboro, qu'il roule en Honda CB500 noire. Que la mère soit toujours accroché à son sac Vuiton. Sac de luxe n'aurait pas suffit ? Pourquoi ces nouveaux auteurs se sentent-ils tenus de citer des marques ? Ils sont payés pour ? On dirait du mauvais SAS ! Pourquoi n'écrivent-ils pas que le personnage boit de l'eau ou du whisky, qu'il fume et roule en moto. Les marques n'apportent rien à l'histoire, et personnellement ça me gâche le plaisir. Lire des phrases comme "il boit son café et jette le gobelet dans la poubelle" est d'un intérêt limité, pour ne pas dire nul !
Gwenaëlle, l'éditrice de Seuil Cadre Noir remerciée en fin de volume, devrait lui conseiller plus de concision.
C'est un roman, pas un scénario !
Encore un auteur que je relirai pas.

Psychologie du tueur intéressante (traumatisé par sa mère mal-aimante). le psychologue est sympathique. Globalement on survole les analyses, les personnages sont peu approfondis et les ficelles un peu grosses dans l'intrigue … Pas sûre de relire cet auteur..

Comme pour le premier Opus, je reste sur ma faim !!! J'ai toujours du mal a accrocher avec Victor Caranne dont le charisme ne reflète pas le psychologue carcéral et oreille préférée des criminels multirécidivistes. Pourtant ce livre avait tous les ingrédients d'un très bon thriller où alors j'étais fatigué en le lisant.