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C'est ma bibliothécaire qui m'a conseillé ce roman graphique et je la remercie.

Le sujet est très intéressant mais je n'ai adhéré ni aux dessins, ni aux couleurs. Ce n'est que mon avis, d'autant plus que je suis novice en lecture de roman graphique.

J'ai appris beaucoup de choses sur Brancusi et j'ai eu plaisir à croiser Rodin, avec qui il a travaillé quelques semaines, Erik Satie, Man Ray ou encore Monet et ses cathédrales.

C'est sa sculpture "L'oiseau dans l'espace" qui est au centre de ce procès entre Brancusi et les États Unis. Il ne comprend pas ce qu'on lui reproche et pour cause : "Ils cherchent à prouver que je suis un artisan et non un artiste. Pourquoi l'art doit-il rivaliser avec l'industrie?"

Au final, ses amis et son avocat résument bien le coeur du problème : "Une poignée de frileux effrayés par la modernité. Ils ont peur de l'audace et veulent la punir".

Si vous aimez l'histoire de l'art, vous prendrez plaisir à lire ce roman graphique.
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Ahh, Brancusi.
Un des grands piliers de la sculpture moderne. Un de ceux dont on peut dire il y a eu un avant et un après.
Si je connais ses oeuvres majeures et quelques anecdotes et grandes lignes sur sa vie et sa carrière, je dois avouer que cette histoire judiciaire n'avait pas marqué plus que ça mon esprit.
Mais ce n'est pas vraiment ça qui m'a attirée de prime abord avec cette BD mais l'incroyable technique picturale que l'on peut déjà apprécier sur la couverture mais qui est assez représentative des planches à l'intérieur. Les trais sont quasiment inexistants et c'est les aplats de couleurs eux même qui font resortir les formes, les personnages et les décors. Cette technique picturale est très importante et rappelle aux connaisseurs la technique de la lithographie qui sonne, en plus, un certains velouté, une certaine texture à l'aplat.
Les visages et attitudes des personnages, souvent minimalistes et un peu caricaturaux, n'en sont pas moins expressifs, parfaitement rendus et graphiquement très efficaces.
Vous l'avez compris, j'ai adoré le dessin.
Mais revenons à l'histoire.
Une des oeuvres majeures de l'artiste - fruit de très nombreuses années de travail, de réflexion et d'expérimentations diverses - et l'une de ses oeuvres les plus épurées , appelée "l'oiseau dans l'espace", est bloquée par les douanes. En effet, pour être affranchie de taxes, il doit s'agir d'une oeuvre originale, sans objet pratique, réalisée par un sculpteur professionnel. Personne ne conteste l'inutilité fonctionnelle de cette pièce, le qualificatif d'oeuvre unique pose problème. Dans le cadre d'une pièce aussi stylisée, comment être certain qu'il n'en existe qu'une seule et qu'elle a bien été réalisée par Brancusi lui-même?
Bref, c'est assurément la question de la définition même d'oeuvre d'art et de démarche artistique qui est posée. Une question qui est passionnante et dont la réponse est toujours le lieu de discussions entre amateurs d'art et de néophytes. Tout comme la différence entre artisans et artistes et la frontière, parfois trouble, qui les sépare.
Ce sont des sujets qui me touchent, qui m'intéressent et m'interpellent, et je dois dire que j'ai vraiment adoré cette lecture.
De plus, cette BD représente une incroyable galerie de portraits : Fernand Léger, Alexander Calder, Peggy Guggenheim, Marcel Duchamp, Man Ray...tous ces grands noms se succèdent le temps d'une réflexion, d'une figuration ou occupent un rôle plus important...un régal pour les amateurs.
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Avec ce roman graphique d'un peu plus de 120 pages, Arnaud Nebbache en plus de nous faire découvrir le sculpteur franco-roumain, élève de Rodin, Bancusi nous pousse à nous interroger sur la notion d'art en nous contant le procès que le sculpteur a intenté aux États-Unis contre les douanes qui souhaitaient taxer l'une de ses créations à l'occasion d'une exposition. En effet, si les objets utilitaires sont taxés comme marchandises, les oeuvres d'art sont exemptées de taxes.
J'ai beaucoup appris à la lecture de ce roman graphique qui m'a déconcerté quant à ses graphismes. Si les couleurs choisies nous plonge dans une ambiance particulière, j'ai été peu sensible aux traits.
Un travail intéressant si vous vous intéressez à l'art.
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A partir d'un fait divers, que l'on pourrait presque considérer comme anecdotique, Arnaud Nebbache nous tient en haleine avec la force d'un thriller, la profondeur d'une thèse en histoire de l'art, l'humour d'un film des Monty Pythons, le surréalisme d'un tableau de Magritte. Non, ceci n'est pas un procès...

1927, Brancusi va exposer aux Etats-Unis. A la douane, le fonctionnaire zélé considère d'un air goguenard une scuplture de l'artiste roumain. Pour le fonctionnaire, pas d'oeuvre d'art, mais un objet industriel. Donc, taxe de l'ordre de 40% de la valeur de l'objet. Soit 4.000 dollars. Nebbache ne mentionne pas que la somme pourrait être dérisoire ou importante. Qu'elle pourrait être répercutée sur le prix de l'oeuvre (l'acheteur témoignera au procès). Il s'agit, pour Brancusi, d'une question de principe. Il s'agit d'une oeuvre d'art, Brancusi est un artiste, point à la ligne.

Arnaud Nebbache va alors alterner les scènes de procès, les périodes de création de Brancusi, en faisant monter la tension. C'est très intelligent et très bien fait. le procès va se concentrer, pinailleries d'avocats, sur des détails. Sur le titre de la sculpture... évoque-t-elle vraiment un oiseau? Sur le beau, sur ce que peut être une oeuvre d'art... Nous sommes en 1927, la pissotière de Duchamp n'est pas loin. Qu'est-ce que l'art? Doit-il forcément être beau? Et qu'est-ce que le "beau"? Arnaud Nebbache fait feu de tout bois. Les aspects juridiques et le processus de création de Brancusi sont passés au crible. Génial. Et graphiquement, il fait un sans faute également.

Un roman graphique sur l'art qui se lit comme un thriller, franchement, on en redemande.
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En 1927, Constantin Brancusi se retrouve au coeur d'un procès aux Etats-Unis pour déterminer si sa sculpture est de l'art ou non.
Cet album retrace une histoire absurde de l'art. J'avoue que je n'avais jamais entendu parler de ce procès fondateur dans l'appréciation de l'art. J'ai donc un peu vécu ma lecture avec un certaine appréhension. Comment tout cela va-t-il finir ? Parce qu'au-delà de la querelle financière de savoir si l'objet doit être taxé ou non, c'est tout la définition même de l'art qui est ici remise en question. Arnaud Nebbache retrace les rebondissements de ce procès hors normes, tant du côté américain, avec les témoignages des différentes parties, que du côté de Brancusi qui est en France et suit de loin ce qui se passe.
Côté dessin, j'ai vraiment aimé le coup de crayon d'Arnaud Nebbache et le rendu, à la fois peu défini et pourtant très expressif de ses dessins.
Un album passionnant qui retrace un pend méconnu mais essentiel de l'histoire de l'art.
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Arnaud Nebbache revient avec brio sur cet épisode ubuesque qui opposa le sculpteur Constantin Brancusi à la ville de New-York en 1927 forçant la justice américaine à repréciser ce qu'est une oeuvre d'art.

À l'occasion de la préparation de l'exposition Brummer, Brancusi fait voyager, par bateau, une vingtaine de sculptures dont L'oiseau en bronze aux alentours d'octobre 1926. Les douanes américaines considèrent que c'est un objet utilitaire et lui réclament des droits d'entrée sur le pays. Déjà exposées à l'Armory Show en 1913, les sculptures de Brancusi ont déjà beaucoup de succès. Seulement, depuis plus de dix ans, ses oeuvres deviennent de plus en plus abstraites.

Seulement, le sculpteur, âgé d'à peu près cinquante ans, ne va pas s'en laisser conter. Refusant de payer, il passe à l'attaque, aidé de son ami Marcel Duchamp, et intente un procès à la ville de New-York.

Originaire de Roumanie, et voulant compléter sa formation, Constantin Brancusi est arrivé en France à pied vers 1905. Après avoir suivi les cours à l'Ecole des Beaux-Arts et être entré à l'atelier de Rodin, il s'affranchit des différentes influences en composant son Baiser, sculpture funéraire qui le fera connaître du monde entier.

L'Oiseau en Bronze mesure 1, 35m de haut, de forme fuselée et polie comme un miroir. le procès permettra de redéfinir ce qu'est une oeuvre d'art.

Arnaud Nebbache, avec des retours en arrières, un dessin épuré, des angles particuliers mis en avant sur cette affaire, rend parfaitement l'esprit obtus de la partie adverse, les affres vécues par le sculpteur, les liens étroits entre Marcel Duchamp et Brancusi, etc.

À la conception du scénario, des dessins et des couleurs, Arnad Nebbache a développé ici un style très personnel. J'ai eu un peu de mal à entrer dans cette bande dessinée. Puis, j'ai apprécié le style particulier qui sied parfaitement à l'oeuvre de Brancusi. Les couleurs, les formats différents et le peu de textes renforcent les émotions recherchées.

En bref, cette bande dessinée rappelant un épisode si particulier de l'Art moderne renforce à la fois la connaissance sur l'artiste Brancusi mais aussi permet d'en poursuivre la réflexion encore aujourd'hui.
Lien : https://vagabondageautourdes..
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Constantin Brancusi, sculpteur roumain naturalisé français, du 19e siècle n'est pas très connu de monsieur Tout-le-Monde. Elève de Rodin, il fut pourtant l'un des plus influents du début du 20e siècle. Sa sculpture funéraire « le Baiser », objet de controverse juridique, est au centre du roman éponyme de Sophie Brocas, chroniqué en 2019.

Cette fois, l'oeuvre de l'artiste donne lieu à un album graphique aux éditions Dargaud. Il s'agit de raconter le procès intenté par Brancusi en 1927 aux douanes américaines pour faire reconnaitre le statut d'oeuvre d'art à une de ses oeuvres. « Oiseau dans l'espace » venait en effet d'être lourdement taxée à l'importation en tant qu'objet utilitaire. Les oeuvres d'art étant, elles, exonérées.

Les questions qui sous-tendent le récit sont pertinentes et toujours d'actualité : Quels sont les critères pour juger de la notion d'oeuvre d'art ? A quoi reconnait-on un artiste ? Qui est juge en la matière ?... Il est aussi question de la libre circulation des oeuvres à l'époque.

J'ai vraiment apprécié cette plongée au coeur de ces préoccupations artistiques. La réflexion sur la place de l'art, sur les critères de jugement et le débat des artistes sur le sujet (Duchamp, Léger, Calder…). Arnaud Nebbache fait habillement ressortir les arguments des pour et des contre et montre les difficultés d'un jugement sans subjectivité quand il s'agit de définir le beau ou l'art.

Ce livre est un bel objet : couverture cartonnée épaisse d'un beau bleu et 128 pages de papier de qualité. Chaque unité de lieu est définie par une gamme de couleurs : ocre, bordeaux, bleu-vert pour les rues de Paris ; bleu cobalt, brique, beige et noir pour la salle du tribunal aux Etats-Unis… J'ai apprécié. de même que le récit impeccablement rythmé. J'ai, en revanche, été moins séduite par les dessins de l'artiste. Si le dynamisme de Brancusi est bien rendu par la multiplication des attitudes et postures de celui-ci, j'ai peu gouté les décors faits d'ébauches et de tâches de couleurs sans réel contour. Ceci n'est qu'un avis personnel et totalement subjectif ; d'autres y prendront certainement plaisir. Et cela n'a, en rien, gâché le plaisir de lecture.

Un sincère remerciement aux éditions Dargaud et à l'opération Masse critique pour cet envoi. L'album sort en libraire le 6 janvier. Plus que quelques jours à patienter.
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Quand on pense à Brancusi, de nombreuses oeuvres viennent peupler notre imaginaire. Mais son travail n'est pas forcément reconnu comme tel par les agents des douanes. C'est ce qui s'est passé en 1927 quand son célèbre "L'oiseau" arrive aux Etats-Unis. Il est taxé comme un produit industriel. Par conséquent, l'acheteur poursuit le gouvernement pour erreur de taxation. Voilà que débute un échange légal sur qu'est-ce qu'une oeuvre? Qu'est-ce que de l'art? Un vrai procès ce met en place avec des argumentations douteuses. Une sculpture doit-elle être réaliste? Jusqu'à quelle limite? Une démarche qui affecte beaucoup Constantin qui est sidéré devant tant de bêtise. Par chance, le président de la cour se rend compte qu'il faut changer le référentiel sur l'art. S'il faut devenir moderne, tout le système doit s'y mettre. Vivre avec son temps n'est pas impossible.

Grâce à ce procès qui est une référence en histoire de l'art, Arnaud Nebbache en profite pour retranscrire l'état d'esprit d'une époque. En plus, on découvre le passé de Constantin Brancusi avec ces débuts aux côtés de Rodin et son évolution dans ces pratiques. Il veut tout maîtriser pour garder le contrôle et réaliser ce qu'il imagine. Dans son entourage, on rencontre des créatifs de référence avec Marcel Duchamp, Alexander Calder ou Jean Prouvé. le graphisme joue principalement avec des mises en couleurs. Pas de tracée noir autour des personnages, des objets ou des cases. Ce n'est nullement nécessaire. Par contre, il y a eu des soucis lors de l'impression. Une page a été imprimé deux fois et en décalé. Et une autre, la page a été pliée ce qui nuit à la lecture. Ce contre-temps nuit au confort de l'aventure. Néanmoins, on apprécie le travail effectué pour parler d'un artiste talentueux, passionné et curieux.
Lien : https://22h05ruedesdames.com..
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L'auteur, l'album (126 pages, 2023) :
C'est le bouquin de Sophie Brocas (Le baiser) qui nous avait mis sur la piste de cette histoire incroyable : le procès du sculpteur Constantin Brancusi contre les États-Unis au sujet de droits de douane sur une de ses sculptures ...
Et c'est Arnaud Nebbache (illustrateur et professeur d'art) qui s'y colle pour retracer en images ce procès historique ...

On aime :
❤️ On se passionne pour le débat ouvert par ce procès : qu'est-ce qui fait une oeuvre d'art ? Son caractère unique (oui, mais il y a les moulages successifs), la main de l'artiste (oui, mais il y a un atelier de fonderie), le jugement des pairs (oui, mais il y a des réfractaires à un nouveau style), la beauté contemplée, le plaisir ressenti (oui, mais tout cela prête à interprétation) ...
Et puis c'est aussi une époque où art, artisanat et industrie se télescopent : outre Brancusi, c'est l'époque de Fernand Léger et d'Alexandre Calder par exemple.
❤️ On apprécie les croquis supposés de Marcel Duchamp que l'artiste dessine pendant le procès pour tenir informé son ami Brancusi resté à Paris : voilà un moyen astucieux pour retracer de façon vivante les débats de la justice.
le contexte :
Dans les années 1920, Marcel Duchamp organise à NY une exposition des sculptures de Brancusi.
À leur arrivée par bateau, les "objets" sont taxés par les douanes US comme "produits manufacturés".
L'une des sculptures, L'oiseau un moulage de bronze poli quasi abstrait, est prise comme pièce à conviction et s'ouvre alors en 1927 ce fameux procès pour lui faire reconnaître le statut d'oeuvre d'art ...

L'intrigue :
Le dessin de Nebbache pourra dérouter au premier abord mais on reconnaîtra qu'il s'accorde plutôt bien avec son sujet : l'espace des oeuvres d'art et le mouvement du sculpteur, ...
En bon professeur d'art, l'auteur prend d'ailleurs tout son temps pour imaginer et dessiner tout le long processus de création qui aura conduit l'artiste (le plus abstrait des sculpteurs figuratifs) à cette forme aboutie, qui ne ressemblait plus vraiment à un oiseau mais qui voulait saisir l'esprit du mouvement, l'envol de l'oiseau.
C'est un choix de scénario judicieux qui permet de mettre le lecteur dans les meilleures conditions pour apprécier tout le sens du procès qui va se dérouler.
Laissons finalement le dernier mot au juge Waite avec une sentence qui fera date dans l'histoire de l'art :
[...] Une école d'art dite moderne s'est développée dont les tenants tentent de représenter des idées abstraites plutôt que d'imiter des objets naturels. Que nous soyons ou non en sympathie avec ces idées d'avant-garde et les écoles qui les incarnent, nous estimons que leur existence comme leur influence sur le monde de l'art sont des faits que les tribunaux reconnaissent et doivent prendre en compte.

Le lendemain du 26 novembre 1928, la presse US ironise : It's a bird !
Pour celles et ceux qui aiment l'histoire de l'art.
Lien : https://bmr-mam.blogspot.com..
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Après un apprentissage auprès d'Auguste Rodin, Brancusi prend son envol, et quelques décennies plus tard il est un artiste connu et reconnu de la sculpture moderne, en tout cas dans le milieu artistique parisien. En 1913 Brancusi prépare une grande exposition qui aura lieu à la Brummer Gallery à New-York.

Ce qui aurait dû être une consécration fini en eau de boudin, arrivés aux Etats-Unis les caisses sont ouvertes et les sculptures de l'artiste sont prises pour des produits manufacturés taxés à 40% de leur valeur, notamment l'oiseau devant lequel les douaniers et la justice restent perplexes. Un procès s'ouvre.

Cet album pose l'affaire Brancusi qui a finalement fait connaître le sculpteur bien plus rapidement que par son art. La biographie d'une partie de sa vie avec un graphisme qui m'a d'abord rebuté mais qui finalement sied bien au sujet, le décor y est suggéré, chaque objet se fondant en quelque sorte dans un autre.

Le procès lui-même paraît être une farce tant les dialogues sont absurdes. L'homme par contre y est montré désemparé, ce procès contre l'art moderne semble lui retirer toute cette reconnaissance durement gagnée.

Je suis ravie d'avoir pu découvrir cet album, après avoir atterri par hasard dans l'ancien atelier du sculpteur au sein du 14ème arrondissement de Paris. Mythique.

Lien : https://stemilou.over-blog.c..
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