Un livre parfait pour les jours moroses. Une héroïne attachante avec sa phobie de tout ce qui est vieux/anciens. Des personnages forts sympathiques avec une mention spéciale à Ny le chien d'Anne.
Le roman est truffé de références cinématographiques.
Un roman drôle, tendre et attachant.
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Le premier livre de cette collection que j'ai acheté. J'ai beaucoup aimé avec, une belle histoire d'amour. Et j'ai adoré le personnage principale avec sa phobie de tout ce qui est vieux, car étant la troisième fille elle a toujours récupéré les affaires de ses soeurs et a un énorme complexe d'infériorité. Bref un livre tout simple qui se lit vite et qui s'apprécie.
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J'ai trouvé ce livre attirant dans une boîte à livre, donc j'ai décidé de le prendre pour lire une histoire un peu en mode détente pour l'été. Au final, c'est un livre que j'ai trouvé très ennuyant... À partir de la moitié je l'ai lu en travers car je trainais et trainais encore ma lecture.
L'histoire m'a beaucoup fait pensé au journal de Bridget Jones mais en version ennuyante et sans intérêts... Elle tournait beaucoup trop autour de la jalousie d'Anne envers ses soeurs, avec la vie qu'elles mènent, et autour de ses ruptures amoureuses. D'ailleurs je pensais que le chien Ny aurait eu une part importante dans le livre du fait qu'il est sur la couverture, mais au final pas vraiment...
Je m'attendais à un genre de livre un peu fun et comique... Mais au final ce n'est pas du tout un style que j'ai apprécié.
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Livre sympathique avec un personnage très attachant : un chien ^^
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Nous dérivions, à quelques centimètres de distance. Je n’osais pas rompre le silence.
- Hélène et moi avons rompu hier soir, a-t-il repris. Ils la voulaient à Chicago à plein temps. Elle va déménager.
- Et toi ?
- Je reste là où je dois être.
Une vague nous a soulevés, nous rapprochant l’un de l’autre, et nous nous sommes embrassés. Il était salé, chaud et fort. J’ai posé ma paume sur son visage, tandis que sa main cherchait la mienne sous l’eau. La vague a roulé et nous a séparés.
- Enfin, ai-je murmuré.
L’eau a bougé en dessous et nous a de nouveau réunis, le temps d’un baiser. Lorsqu’elle nous a séparé encore une fois, nous nous sommes dévorés du regard comme des collégiens amoureux. Ses lèvres ont frémi, j’ai gloussé et nous avons ri. Puis une vague a roulé et nous avons échangé un baiser en riant. Le temps de nous toucher et j’ai glissé de ma planche.
La deuxième fois que mon chemin a croisé celui de Ian Dunne, je me trouvais affalée dans une vitrine, ensevelie sous une pile de mannequins.