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Citations sur Poèmes (1858-1888) - Fragments poétiques - Dithyrambes po.. (86)

Votre amour trompeur
Pour le passé :
Votre amour de fossoyeur
Il dépouille la vie :
Vous lui volez son avenir.
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Ce ne sont qu’écrevisses pour qui je n’ai de sympathie :
Elles pincent quand on les prend ;
Les lâche-t-on, elles s’en vont à reculons.
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Es-tu fragile ?
Alors, méfie-toi des mains d’enfants !
L’enfant ne peut pas vivre
Sans rien briser…
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Voici la meilleure vérité de Zarathoustra : même la chose la plus mauvaise a deux bons côtés.
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Ces lourdauds anxieux que leur conscience fait grogner : car ils souffrent toujours de leur bête intérieure.
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Zarathoustra : je suis si débordant de bonheur, et je n’ai personne à qui donner, ni même quelqu’un à remercier. Aussi laissez-moi, mes animaux, vous témoigner de la reconnaissance.
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Des yeux lents
Qui aiment rarement :
Mais quand ils aiment, ils jettent des éclairs
Comme des mines d’or
Où un dragon garde un trésor d’amour…
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J’habite ma propre maison,
Je n’ai jamais imité personne
Et –je me suis moqué, en sus, de tout maître
Qui ne s’est pas moqué de lui-même.
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Au dieu inconnu (1864)
Voici le premier poème de Friedrich Nietzsche composé à l’âge de 20 ans.

Encore une fois avant de poursuivre ma route
Et de tourner mes regards vers l’avenir,
Je lève vers Toi mes mains jointes en prière,
Toi en Qui je fuis
A qui je consacre des autels
Au fond du fond de mon coeur
Pour que toujours
Ta voix me rappelle.

Et là en lettres de feu
Les mots : Au dieu inconnu.
J’existe comme si, jusqu’à cette heure,
J’avais été fidèle à la cohorte des criminels ;
Je suis tel et je sens les liens
Qui, dans la lutte, disloquent mes membres ;
Mais je puis fuir pour me mettre à ton service.

Je veux te connaître, Inconnu.
Toi Qui plonge tes racines dans les profondeurs de mon âme
Et qui, tel un cyclone, traverse mon existence en tourbillonnant
Toi l’Ineffable qui m’est apparenté !
Je veux te connaître et même : te servir.
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En rien, on ne vainc sans colère.
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