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Citations sur Journal, tome 1 : 1931-1934 (33)

Henry m'a dit : " Il faut laisser les choses s'accumuler, ne pas tout utiliser immédiatement. Laissez les choses s'accumuler, reposer, fermenter : ensuite explosez. N'épuisez pas les sujets. "
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Un chagrin m'a fait construire une caverne pour me protéger, mon journal.
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L'âme est peut-être le héros de ce livre, mais c'est une odyssée qui va du monde intérieur au monde extérieur, et c'est Henry qui dissipe les brumes de la timidité, de la solitude, qui m'emmène dans la rue et me fait rester dans un café - jusqu'à l'aube.
Avant lui je croyais que l'art était le paradis, et non la vie humaine, je croyais que la douleur ne pouvait devenir abstraite que dans l'art.
C'était une manière virile de maîtriser la douleur que de mettre entre soi et la vie humaine l'art et l'espace et le temps et l'histoire et la philosophie.
L'art était le remède contre la folie, ce qui soulageait des souffrances et des terreurs de la vie.
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Le journal m'a appris que c'est dans les moments de crise émotionnelle que les êtres humains se révèlent avec la plus grande vérité. J'ai appris à choisir ces points culminants parce que ce sont les instants de révélation.

Introduction - extrait d'un essai On Writing paru en 1947
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J'ai introduit June dans mon univers. June ne m'a pas entraînée dans son univers dur et violent parce que ce n'est pas le sien. Elle est venue à moi parce qu'elle aime rêver.
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L'art était le remède contre la folie, ce qui soulageait des souffrances et des terreurs de la vie.
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La vie seule ne peut satisfaire l'imagination.
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Ma vie est freinée par la pensée et le besoin de comprendre ce que je vis.
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Ce qui me déconcerte chez Henry, ce sont les éclairs d'imagination, les éclairs d'intuition, les éclairs de rêve. Fulgurants. Et les profondeurs. Effacez le réalisme allemand, l'homme qui se veut "le champion de la merde", comme on l'appelle, et vous obtenez un puissant imagiste. Il peut exprimer par moments les choses les plus délicates et les plus profondes. Mais cette délicatesse est trompeuse parce que lorsqu'il s'assied pour écrire, il nie cela ; il n'écrit pas avec amour mais avec colère, il écrit pour attaquer, ridiculiser, détruire. Il est toujours contre quelque chose. La colère le stimule, elle est son carburant. La colère l'empoisonne.
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Quelle erreur pour une femme d'attendre que l'homme construise le monde qu'elle veut, au lieu de le créer elle-même.
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