Arkham mysteries, tome 1 : Le ciel des grands anciens

Un titre qui assume ouvertement son inspiration lovecraftienne, et dont les graphismes sont plutôt agréables.
On suit l'histoire de Seth Armitage, qui part aider un vieil ami en Mongolie, et qui en revient avec un étrange tatouage dans le dos, une amnésie - et le cadavre de son ami. A son retour, les mystères se multiplient, dans une intrigue fluide et prenante. On lit finalement très rapidement ce premier volume, qui nous plonge dans les mystères des grands anciens et à la frontière de la folie. Toutefois, si je me suis demandé tout au long de ma lecture où l'auteur allait nous emmener, j'ai tout de même eu le sentiment qu'il ne se passait pas grand-chose, et j'ai terminé assez distraitement ma lecture. Est-ce moi qui n'ai pas réussi à entrer dans cette histoire ? Peut-être. Je n'ai pas été emportée, et la lecture ne me marquera sans doute pas.

Le retour des grands anciens

Richard D. Nolane et Manuel Garcia nous entraînent dans un récit très lovecraftien dans lequel le maître de Providence endosse la panoplie d'adjuvent du personnage central de la série.

Arkham Mysteries met en scène Seth Armitage, professeur de la prestigieuse université d'Harvard qui, pour sauver un de ses amis parti en Mongolie pour prouver ses étranges théories, allait découvrir des horreurs indicibles tapies dans l'ombre et désireuse de reprendre le pouvoir qui fut leur il y a des éons.

Porté par un dessin remarquable, un encrage puissant et un récit inquiétant et joliment troussé, ce premier opus remplit toute ses promesses et ravira les amateurs de récit pulp en général et de l'oeuvre du Maître de Providence en particulier.
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