AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,3

sur 6680 notes
Un dimanche d'automne très pluvieux, un canapé accueillant, un chat…..et le dernier Norek Surface, qui plus est, fraîchement dédicacé au stylo rouge pendant le Livre sur la Place….. je sens que l'après-midi va être agréable !
Je ne l'ai pas fini alors la soirée du lundi a été bien remplie ! Dévoré le dernier Norek.
Comme d'habitude, une bonne histoire (à la campagne cette fois), des personnages très attachants et une intrigue réaliste et bien ficelée. Pas de doute, il sait y faire Olivier Norek. Quand on commence, on est addict, on ne peut plus lâcher l'affaire.
Bon je ne ferai ni le résumé ni une vraie critique, il y en a déjà des centaines et certaines parfaitement mieux réussies que celle que je pourrais faire.
Juste une précision : si vous aimez les polars, vous ne serez pas déçus.
Commenter  J’apprécie          340
De multiples critiques donc je ne vais pas m'étendre.
Un vrai plaisir de lecture. Lu très vite car complètement addict et histoire efficace. Premier mais pas dernier Norek. Si vous ne l'avez pas encore lu, foncez!!!!
Belle lecture!
Commenter  J’apprécie          330
Je rejoins le grand nombre d'avis et chroniques dithyrambiques concernant ce roman décrivant une reconstruction physique et mental et à l'intérieur duquel se trouve aussi -et surtout- une solide intrigue autour d'un cold case.
Après avoir été défigurée à vie pendant une intervention, et alors psychologiquement très perturbée, la capitaine Noémie Chastain va être déplacée du « 36 » parisien à Decazeville dans l'Aveyron. (Sa hiérarchie ne veut pas d'une « gueule cassée » dans ses services qui risque de miner le moral des troupes).
L'apparition d'un fut renfermant le cadavre d'un enfant sur le lac artificiel au-dessus d'un village englouti, va demander à Noémie de se donner à fonds dans une enquête et lui permettre de reprendre confiance en elle.
J'ai vraiment apprécié cette femme forte, déterminée, au franc-parler parfois sarcastique et obligée d'apprendre à se re-accepter.
J'ai aimé tout autant la façon toute naturelle avec laquelle l'auteur, en tant que homme, a su parler de l'intimité et de l'état psychologique de cette femme après le traumatisme qu'elle a vécu.
Un polar à l'ambiance rurale absolument captivant, au rythme mouvementé et aux rebondissements continuels... jusqu'au bout.
Un coup de coeur !
...et je me suis bien amusée aussi du petit clin d'oeil facétieux au monde du polar français, page 2.. :-)
Commenter  J’apprécie          336
En pleine tête
En pleine campagne,
En pleine tempête,
En plein cœur,
Voilà le titre des 4 parties qui composent "Surface", le dernier livre d'Olivier Norek. Moi, c'est sans aucun doute, "en plein cœur" qui correspond le mieux à mon ressenti à la fin de cette lecture.

Le Capitaine Noémie Chastain de la Brigade des Stups de Paris est envoyée à Decazeville, une petite bourgade de l'Aveyron. Officiellement, c'est pour en étudier l'éventuelle fermeture de leur commissariat. Officieusement, c'est parce que les officiers supérieurs de la jeune femme ne supportent pas d'avoir sous les yeux son visage, désormais défiguré par une balle de fusil reçue lors d'une intervention qui a mal tourné. Ils ont peur en plus que cette vision démotive les troupes... Anéantie aussi bien physiquement que psychologiquement par l'épreuve vécue, mais aussi par la lâcheté de son compagnon, policier comme elle, qui a fui sans autre forme de procès, Noémie accepte contrainte et forcée.
A Decazeville, ignorant les vraies raisons, comme les fausses d'ailleurs, de cette mutation provisoire, ses nouveaux collègues sont ravis de l'arrivée de la flic parisienne, notamment le Lieutenant Romain Valant qui ne lui cache pas tout de même que le coin est plutôt calme. Mais les fantômes d'Avalone, le village englouti, vont le faire mentir très rapidement...

Fait rarissime dans ma longue carrière de lectrice, après "Surtensions", livre avec lequel je découvrais Olivier Norek et auquel je donnais un 20/20, j'accorde également à "Surface", deuxième roman de cet auteur que je lis, la note maximale. En plus d'être un polar magistral qui maintient la tension jusqu'à la dernière page (quand vous croyez que c'est fini, l'auteur tel un magicien sort un autre lapin de son chapeau), c'est un livre qui humainement ne peut qu'émouvoir le lecteur. Le personnage de Noémie vous prend le cœur en otage dès le début et vous démontre qu'il ne faut pas s'arrêter à la "surface" des gens. Par son comportement, elle pourrait donner des leçons à bon nombre, elle sait être sensible avec les êtres fragiles et implacables avec les brutes. J'ai adoré ses répliques cinglantes et l'auto-dérision dont elle fait preuve. L'écriture d'Olivier Norek est un pur bonheur : il manie la métaphore avec brio, ainsi que l'humour. Dans cette sombre affaire classée qui refait surface, où les mystères du passé viennent réunir flics des villes et flics des champs, au détour d'une phrase, dans un patronyme, cet auteur, dont le talent ne fait plus aucun doute, parvient à nous faire sourire. En mettant sa sensibilité au service du polar Olivier Norek en renouvelle le code. En plus d'une enquête à résoudre, c'est une reconstruction psychologique que l’héroïne doit réussir.
Je n'ai plus qu'une hâte, me plonger dans ses autres titres que je n'ai pas lus.
Commenter  J’apprécie          330
Bienvenue à Decazeville, c'est un endroit charmant pour mieux respirer ...du moins maintenant, que les mines ont fermé depuis longtemps.

L'Aveyron, c'est le lieu idéal pour placardiser un officier de police parisien, qui revient de congé suite à une blessure grave . Noémie Chastain doit évaluer un commissariat menacé de fermeture , et tombe sur l'affaire du siècle, avec lourds secrets depuis 30 ans. Trois enfants disparus, un corps retrouvé, un village noyé sous un lac de barrage, un bouc émissaire commode, des paysans taiseux qui se détestent...

Qui a dit que la campagne était paisible ? Nous voilà partis dans une enquête trépidante, pleine de surprises et de dangers, dont l'issue n'est pas prévisible. Olivier Norek est un bon conteur ...la structure est simple, directe , un narrateur extérieur, le même tout du long , c'est parfait.

Bon, ne cherchez pas Avalone sur une carte , ce village noyé n'existe pas...c'est une création littéraire, comme les personnages, une compression géographique issue de ces nombreux lacs de barrage existants, sources de légendes rurales, nées de la déchirure du déménagement , un cadre idéal pour le polar ...

Sous la surface des eaux calmes , se cachent des crimes horribles, mais nous avons du côté des redresseurs de torts, une héroïne qui ne ménage pas sa peine ni sa santé pour rendre justice aux victimes .

Un polar vraiment addictif, à lire dehors sous les arbres jusqu'à la tombée de la nuit..
Commenter  J’apprécie          332
J'ai aimé : la preuve lu en à peine deux jours(419 pages).
Olivier Norek est toujours aussi addictif, mais après avoir lu : Surtensions et entre deux mondes,qui m'a le plus marqué tout en sachant que ce n'est pas qu' un thriller mais aussi un roman social.
Dans celui-ci rien que le début vous met tout de suite dans l'ambiance.
Lors d'une perquisition dans un vieil immeuble de la banlieue parisienne le capitaine Noémie chastain se prend en plein visage ,et presque à bout portant,un tir de fusil de chasse.Défigurée,après une longue hospitalisation et convalescence,voulant reprendre le boulot et réintégrer son équipe,sa hiérarchie lui fait comprendre poliment qu'avec "sa gueule cassée " un séjour à la campagne lui serait bénéfique.Destination l'Aveyron.
Blessée au plus profond d'elle même, écoeurée aussi par l'attitude d'adriel ,son coéquipier amoureux ,avec qui elle avait fait des projets : il se détourne d'elle et joue les fantômes, la voilà parachutée à Decazeville ,petite ville de l'Aveyron regroupant 3 communes. Elle doit juste faire une synthèse afin de voir s'il y aura compression de personnel ,en fait si le commissariat sert à quelque chose.
Apres une intégration quelque peu difficile dans son equipe,sa petite vie de routine, va être bougrement chamboulée, lorsqu'un fût rouge avec un cadavre d'enfant à l'intérieur, remonte à la surface du lac ,près de la maison que le maire lui a louée.
Ce crime remonte à 25 ans,mais chut .... je ne dévoile pas la suite ; tous les ingrédients sont réunis pour faire un très bon polar,on sent le métier de policier de l'auteur,ayant été moi-même femme de policier, j'ai aimé car ce n'est pas surjoué ,surfait,"y a juste la bonne dose" pour nous inciter à tourner et tourner les pages pour savoir : un conseil : ne le commencez pas le soir car votre nuit risque d'être courte! A RECOMMANDER⭐⭐⭐⭐
Commenter  J’apprécie          331
Olivier Norek a du courage. Celui de ne pas s'enfermer dans un schéma, celui de montrer qu'il sait raconter toutes sortes d'histoires.

Entre deux mondes, son précédent roman, en avait déjà été une preuve éclatante. Ce nouveau polar l'est tout autant, d'une autre manière.

Surface est comme l'antithèse d'un Code 93. Les grands espaces et l'air de la campagne remplacent la toxicité des villes, l'enquête « technologique » laisse place à une intrigue qui passe surtout à travers l'humain.

Et pourtant, c'est du Norek pur jus. L'homme et les émotions ont toujours été au coeur de ses romans. A ce niveau, on le retrouve tel qu'en lui-même, profondément humain.

Voilà bien un mot que je vais devoir répéter à loisirs dans cette chronique, tant cette hyper humanité est l'essence même de ce récit.

Il fallait arriver à se relever après le choc d'Entre deux mondes (je parle autant des lecteurs que de l'auteur). Dans ce précédent roman, l'écrivain se rappelait à ses racines migrantes, par ses ancêtres polonais. Surface est également un retour aux sources, en Aveyron, sur les terres qui l'ont en partie vu grandir (même s'il a beaucoup bougé durant ses premières années de vie).

Mais ce n'est pas un roman nostalgique, son coeur est ailleurs.

Prenons les choses dans l'ordre. Un démarrage d'intrigue formidable, qui arrive à allier action et émotion dans les mêmes paragraphes, ce qui est déjà en soi un exploit. En quelques pages, on est ferrés.

Ce roman met donc en scène Noémie Chastain, une héroïne qui va marquer les esprits. Défigurée suite à une intervention policière, elle doit se reconstruire et s'accepter à travers le regard des autres. Cette image qu'on renvoie à autrui, souvent différente de notre réalité intérieure. le récit est donc un chemin qui amène à voir au-delà de la surface.

Abstraction faite de l'excellente intrigue policière, l'histoire est donc nourrie de sensations, de ressentis, et d'une psychologie au plus près de la réalité. Dans la difficulté, l'héroïne plongée dans un environnement inconnu se confronte à l'estime de soi, à ses complexes, et à la manière d'arriver à s'accepter pour se sauver. de se sortir de son stress post-traumatique (admirablement décrit).

On y retrouve là, la très grande sensibilité de l'écrivain, qui contrebalance la violence de l'enquête. Et un lien à faire avec son précédent livre, d'une autre manière, avec ce rejet de la différence et cette bataille pour trouver (ou retrouver) sa vraie place.

Surface est un polar qui se lit vite (trop vite parfois, tellement on y est immergé), à travers des chapitres courts et rythmés. Et pourtant que de thématiques proposées et d'émotions ressenties !

La partie policière est à nouveau bluffante de réalisme. Olivier Norek se nourrit de son passé de flic, et des autres. Il n'invente pas, il mélange, malaxe et crée de la fiction avec de la matière existante. Tout sonne donc juste, tout est minutieusement travaillé.

Un exemple, sans rien dévoiler de l'intrigue : les scènes de plongées dans le lac, d'un réalisme étonnant, on les vit de l'intérieur, les yeux grands ouverts.

L'environnement est prenant autour de ce village englouti, un vrai rural noir, et les personnages sont attachants. L'écrivain leur donne vie à travers des dialogues percutants.

Et puis, Norek met à nouveau en avant ce qui se retrouve dans chacun de ses livres et qui lui tient tant à coeur : l'esprit d'équipe.

Le titre du roman est parfaitement trouvé, à prendre au pied de la lettre tout comme une invitation à regarder au-delà des apparences.

Surface est une très belle réussite. Une cold case provinciale qui a du souffle, toujours au plus près des émotions. Olivier Norek y démontre qu'il est incontournable lorsqu'on veut vivre une enquête à la fois hyper réaliste et au plus proche de l'humain.
Lien : https://gruznamur.com/2019/0..
Commenter  J’apprécie          331
Parmi mes amies se cachent des âmes sadiques, des dealeuses de frissons. Je pense par exemple à celle qui m'a prêtée d'autorité "Entre deux mondes" (j'ai cru que je ne m'en remettrai jamais!) puis qui a déposé "Surface" entre mes mains. Celle-là, parce qu'elle est accro à Norek, veut sans doute transformer l'essai, me rendre accro aussi. Sadique, je vous dis.
C'est comme ça que je me suis retrouvée un soir à me plonger dans "Surface".
C'est pour ça qu'au matin, j'étais affublée de cernes à faire pâlir d'envie les as de l'insomnie.
Vous avez dit "sadique"?

Capitaine à la brigade des stup, Noémie est une héroïne: courageuse, efficace, réfléchie qui mériterait tous les éloges. Hélas, les temps sont durs pour les héros!.. Au terme d'une intervention particulièrement musclée, la jeune femme se retrouve complètement défigurée. L'homme lui a tiré en plein visage et ne l'a pas raté. Alors qu'après de multiples opérations, Noémie tente de se réconcilier avec elle-même et d'apprivoiser sa gueule cassée, ses supérieurs ne trouvent rien de mieux à faire que de la muter au fin fond de l'Aveyron. Les gueules cassées, ce n'est bon ni pour l'image de marque du 36 ni pour le moral des troupes, voyez-vous.
La jeune femme atterrit donc dans le commissariat perdu, paumé même, d'un petit village aveyronnais, Avalone, et tente, tant bien que mal de s'habituer au silence et au paysage, à la calme beauté du lac qu'elle peut contempler de ses fenêtres, à sa nouvelle équipe et aux villageois.
Elle aurait pu mourir d'ennui ou bien craquer mais c'est alors que remonte à la surface du lac, enfermé dans un fût, le cadavre d'un enfant disparu vingt-cinq and plus tôt, en 1994.
Noémie, devenue No, et ses hommes vont se lancer sur la piste du meurtrier et pour ce faire, ils vont devoir remonter le temps; ressusciter le premier Avalone, village englouti sous les eaux et que tout le monde ici semble vouloir oublier; percer les secrets et faire éclater les non-dits, les rancoeurs qui hantent encore les âmes de ce petit bout de terre.

Outre que j'ai un faible prononcé pour les intrigues policières à la "cold case" et qui font la part belle au passé, outre aussi ce mélange de tristesse, de révolte et de fascination qui me saisit quand je songe à tous ces villages que le progrès a englouti, Olivier Norek est un virtuose et "Surface" une partition brillamment composée.
L'auteur parvient à y ausculter avec talent les ombres et les secrets d'un territoire rural qui a beaucoup à dire et à nous offrir une intrigue haletante et fort bien menée.
Pas de temps mort dans sa construction, pas de boursouflures ne de mots en trop. le style est sobre fluide, limpide et au service d'un rythme exigeant, cadencé comme les battements du coeur. Il manque un battement dans les moments de tension folle, s'emballe ensuite et tachycarde comme un fou quand l'intrigue avance et se révèle, ralentit quand l'angoisse est si forte qu'il risque de lâcher. Et pendant ce temps, les mots coulent et filent. Sang d'encre.
Bien entendu, la chute est spectaculaire. Bien sûr, on tombe des nues, mais c'est tellement cohérent, tellement bien pensé, ce puzzle dont on retrouve l'ultime pièce dans les toutes dernières pages. Et c'est bon!

Enfin au-delà du plaisir provoqué par l'intrigue, je crois que peu-à-peu j'identifie ce que j'aime chez Norek: l'hyperréalisme dont il fait preuve dans l'écriture et qui d'emblée rend ses histoires captivantes et si proches de nous -malgré tout- et surtout son humanité et la densité émotionnelle dont il pare ses personnages. Loin de n'être que des types un peu désincarnés -ce qu'on trouve parfois dans certains romans noirs-, les siens sont incroyablement complexes, riches (même les salauds, même les pourris) quand ils ne sont pas poignants à vous tirer des larmes, à vous déchirer le coeur.

Il y a bien une âme sadique parmi mes amies et je crois qu'elle a réussi, elle a transformé l'essai. Olivier Norek est en train de se faire une petite place aux côtés d'Agatha Christie, de Fred Vargas, de Jean-Claude Izzo et de Victor del Arbol dans mon panthéon noir (petite la place, mais quand même).
Elle a, je crois, dans sa bibliothèque d'autres ouvrages du sieur Norek: j'espère bien qu'elle me les prêtera.
Dealeuse de polars.









Commenter  J’apprécie          320
Noémie Chastain a vécu l'expression "s'en prendre plein la gueule" au premier degré du pied de la lettre. Parce que Noémie est sur le terrain, en plein coeur de l'action, son visage est entré en contact avec une volée de plombs tout droit sortis d'un fusil de chasse.

Une entrée en matière comme celle-là, ça pose l'ambiance.
Bienvenue dans le monde du polar d'action. Au plus près de l'enquête.
Ici, ça sera un "cold-case" qui n'a d'ailleurs rien à envier à la série du même nom.
Ça parle flic, ça baise flic, ça pense flic.
Il y a du fan qui va lâcher du cinq étoiles sans problème.

Moi, je préfère quand la psychologie des personnages empiète sans aucune forme de politesse sur l'enquête. Néanmoins je relève chez cet écrivain une belle forme d'humour ironique, je réitérerai donc un moment Norek. (À noter qu'en écrivant cette phrase, le sourire me vient aux lèvres.)
Commenter  J’apprécie          323
Après avoir été déçue par le précédent roman de cet auteur " Entre deux mondes", me voici réconciliée avec Olivier Norek.
Le roman démarre sur les chapeaux de roue : une scène digne d'une série. L'héroïne du roman Noémie Chastain est défigurée suite à une intervention qui a mal tourné.
Ses supérieurs n'ayant plus confiance en ses capacités de travail, plus question pour elle de travailler au 36 quai des Orfevres. Elle est mutée à Decazeville, petit village de l'Aveyron. Suite à la découverte d'un cadavre sur le lac, Noémie et son équipe vont travailler sur un cold case datant de 25 ans plus tôt.
Écriture agréable, situations crédibles car l'auteur a été policier, un bon suspense.
J'ai aimé ce roman que je recommande vivement.
Commenter  J’apprécie          320





Lecteurs (13832) Voir plus



Quiz Voir plus

Restez à la surface avec Olivier Norek

Dans quelle ville de l'Aveyron Noémie Chastain est-elle affectée ?

Millau
Decazeville
Sainte Enimie du Tarn
Espalion

10 questions
161 lecteurs ont répondu
Thème : Surface de Olivier NorekCréer un quiz sur ce livre

{* *}