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Critique de Squidwardq
L'avantage d'Amelie Nothomb c'est qu'elle publie un livre chaque année.
L'inconvénient d'Amelie Nothomb, c'est qu'elle oublie un livre chaque année.
Ainsi, si la gourmandise annuelle a laissé, malheureusement, un mauvaise impression, on peut se consoler en attendant la prochaine qui est imminente.
Stupeur et Tremblements est à mon avis un des plus mauvais libre de Nothomb, et ça me fait mal au coeur de le dire parce que j'adore vraiment cette autrice.
Dans ce roman, quasi autobiographie, on suit Amelie qui dégringole dans la hiérarchie d'une sociét nippone à cause de son incompétence maladive aux tâches de bureau. C'est le mal des grands artistes : la difficulté voir l'impossibilité au conformisme. Et Dieu sait que le Japon est un pays conformiste.
Alors, si Amelie découvre chaque mois un nouveau supplice, ceux ci nous paraissent à nous, lecteurs, d'abords amusents puis rapidement repetits. La mécanique du livre reste la même tout le long. Très peu de surprises nous attendent. le voyage administratif d'Amelie est une pente régulière et triste. Et son style s'y particulier semble ici relativement discret. On l'a connu beaucoup plus drôle ( Métaphysique des tubes), beaucoup plus cruelle ( Acide sulfurique) ou beaucoup plus envolée ( le fait du prince). Mais comme dit plus haut, l'avantage c'est qu'on attends le prochain avec la joie de se dire qu'il sera probablement meilleur que celui ci. Amelie Nothomb, je t'aime, je te pardonne. A la prochaine.
L'inconvénient d'Amelie Nothomb, c'est qu'elle oublie un livre chaque année.
Ainsi, si la gourmandise annuelle a laissé, malheureusement, un mauvaise impression, on peut se consoler en attendant la prochaine qui est imminente.
Stupeur et Tremblements est à mon avis un des plus mauvais libre de Nothomb, et ça me fait mal au coeur de le dire parce que j'adore vraiment cette autrice.
Dans ce roman, quasi autobiographie, on suit Amelie qui dégringole dans la hiérarchie d'une sociét nippone à cause de son incompétence maladive aux tâches de bureau. C'est le mal des grands artistes : la difficulté voir l'impossibilité au conformisme. Et Dieu sait que le Japon est un pays conformiste.
Alors, si Amelie découvre chaque mois un nouveau supplice, ceux ci nous paraissent à nous, lecteurs, d'abords amusents puis rapidement repetits. La mécanique du livre reste la même tout le long. Très peu de surprises nous attendent. le voyage administratif d'Amelie est une pente régulière et triste. Et son style s'y particulier semble ici relativement discret. On l'a connu beaucoup plus drôle ( Métaphysique des tubes), beaucoup plus cruelle ( Acide sulfurique) ou beaucoup plus envolée ( le fait du prince). Mais comme dit plus haut, l'avantage c'est qu'on attends le prochain avec la joie de se dire qu'il sera probablement meilleur que celui ci. Amelie Nothomb, je t'aime, je te pardonne. A la prochaine.
