AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,07

sur 1418 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Tout d'abord, merci à IreneAdler d'avoir pioché ce livre dans le cadre du Challenge Plumes féminines 2019.

Ce roman a reçu beaucoup de prix – Nebula 2015, Locus 2016, British Fantasy 2016 & Mythopoetic 2016 – et une ribambelle de critiques positives mais… qu'est-ce que je me suis ennuyée !

Je n'ai pas du tout accroché aux personnages. Il leur manquait un je-ne-sais-quoi pour me les rendre crédibles. Je n'ai pas du tout été impressionnée par le « Dragon » qui était décrit dans la 4e de couverture comme un « puissant magicien ». Oui, c'est Agnieszka qui est l'héroïne mais j'avais imaginé qu'il serait plus présent, plus charismatique.

Pour faire court, l'écriture de Naomi Novik n'a pas su capter mon imagination. C'est comme quand on est sur le quai d'une gare et que l'on regarde un train de marchandises passer.

Cela aurait pu me plaire mais dans l'ensemble cela manquait de conviction.



Challenge pavés 2019
Challenge Plumes féminines 2019
Challenge défis de l'imaginaire 2019
Commenter  J’apprécie          417
Un village près du Bois, une forêt menaçante.
C'est là qu'ont grandi Agnieszka et Kasia, les deux meilleures amies du monde.
Toutes deux font partie de LA génération de jeunes filles de la région parmi lesquelles le Dragon jettera son dévolu sur… sa future compagne, on suppose.
Une jeune fille en tout cas, qu'il emmènera pour les dix ans à venir dans la Tour blanche qui surplombe la région.

Le Dragon surveille depuis cette Tour le Bois funeste et tente d'en contrôler la malfaisance grâce à ses dons puissants de magicien.
Une jeune fille de dix-sept ans née entre octobre et novembre tous les dix ans, voilà le prix exhorbitant de sa protection.

Dans l'esprit de chacun, c'est Kasia l'élue, la plus belle, la plus vive, la plus intelligente, la plus talentueuse de toutes… au grand désespoir d'Agnieszka, parce qu'elle sera séparée de son amie.

Mais voilà qu'au moment de choisir, à la surprise de tous y compris du Dragon lui-même, ce dernier désigne Agnieszka, toujours mal fagottée faute de parvenir à garder de l'ordre dans sa toilette et d'éviter taches et accrocs, et décoiffée en dix minutes chrono après s'être soigneusement brossée.
Donc pas une jeune fille qui devrait "convenir", à voir le profil des jeunes filles qui l'ont précédée.

Agnieszka est emmenée immédiatement dans la Tour, où elle se demande un moment ce qu'elle fait là.
Le Dragon n'est pas un "vrai" dragon, mais il porte bien son nom : il est effrayant, il a l'air furieux en permanence, il est hautain et désagréable.

Lorsqu'il découvre que la jeune fille semble avoir de réels talents de magicienne, cela ne l'adoucit absolument pas. Il tente pourtant de lui apprendre ce qu'il sait.
Le Dragon n'ayant aucun penchant pour la pédagogie, on ne peut pas affirmer que ce soit une expérience épanouissante et enrichissante, ni pour l'une, ni pour l'autre.

Il va tout de même bien falloir qu'Agnieszka retienne quelque chose de ces pénibles leçons, car elle aura à mettre ses talents à contribution pour sauver son amie Kasia du Bois néfaste, puis, entre autres, pour sauver le royaume tout entier.

Eh oui, rien que ça ! Ca fait beaucoup pour de jeunes épaules de dix-sept ans sous la houlette du Dragon le roi des ronchons. Surtout quand on considère que ces jeunes épaules portent une tête assez sujette aux gaffes et aux maladresses en tous genres.
À croire qu'elle le fait exprès !

Malgré tous ces éléments propres à m'embarquer illico dans les aventures d'Agnieszka la reine de la bévue et de la tache qui se voit (la pire), ça n'a pas complètement pris. Elle est pourtant futée comme tout, avec ses dons naturels auquels les autres magiciens ne comprennent rien, et elle ne s'embarrasse pas de délicatesse superflue dans ses relations, tout pour me plaire.

Cette région sous la menace mystérieuse du Bois, cette société inspirée d'un Moyen-Âge slave aussi auraient pu m'embarquer.

Mais je n'ai pas été convaincue par ce talent vraiment discret qui s'épanouit d'un claquement de doigt ou presque ( c'est magique, me direz-vous !), ce Dragon qui se prend pour Fitzwilliam Darcy à s'offusquer sans cesse des manières et des sorts non conformes aux canons de sa jeune élève, et ces aventures qui se multiplient au fil des pages tels les balais de l'Apprenti Sorcier dans Fantasia.

Ça n'a pas été une lecture déplaisante, non, hormis quelques ratés dans la traduction (passer son coude autour de la taille ou être à court d'haleine, par exemple, oups ça ne colle pas) et la répétition des mots "furieux" et "main(s)" un nombre de fois suffisant pour que je m'en rende compte, mais ce sont des broutilles.

Pour autant, rien de transcendant, de flamboyant, de fulgurant, malgré force magie, potions, éclairs et tours époustouflés faute de m'épater.
C'est un peu répétitif, les situations sont assez convenues quand elles ne sont pas franchement plates, les castagnes diverses contre le Mal reviennent avec une régularité de métronome qui ne surprend pas.

Il m'aura manqué ce petit truc en plus, qui m'aurait fait suivre cette petite sorcière jusqu'au bout du Bois sans rechigner.

L'histoire me disait bien.
J'aimais beaucoup la couverture (plus jolie en poche…).
Non, j'aime toujours beaucoup la couverture.
Peut-être en attendais-je trop ? le reste n'a pas soulevé un enthousiasme délirant chez moi.
Dommage.
Commenter  J’apprécie          262
Un roman qui me donnait très envie depuis un bon moment, mais qui fut malheureusement décevant. J'étais au début très emballée par cette histoire de dragon venant choisir une jeune fille. On me parle de magie, de bois maléfique tout pour me plaire... Mais finalement et malheureusement, je n'ai pas du tout accroché avec la plume de l'auteur et la trame de l'histoire. C'est très lourd et long... Les actions ne s'enchaînent pas ou d'un coup son trop présente et partent dans tous les sens. le comportement des personnages et notamment celui du dragon m'a exaspéré au plus haut point... Encore cette image de l'homme qui traite la femme comme une chose démunie d'intelligence en la rabaissant constamment et puis bien évidemment cette jeune fille qui se rabaisse a son niveau en acceptant d'être traité minablement et en plus cerise sur le gâteau tombe amoureuse du dragon. J'ai essayé de poursuivre ma lecture, mais arrivée à la moitié stop, c'est plus possible, c'est vraiment ennuyant et sans réel intérêt. C'est bien dommage, car certains éléments de cette histoire avaient de quoi donner une intrigue intéressante.

En bref, c'est un abandon pour ma part et une grande déception.
Commenter  J’apprécie          80
Je voulais me reconcilier avec Naomi Novik, après une lecture difficile de l'Education Meurtrière, en balayant la 4ème de couverture cela me semblait alléchant, du mystère, un dragon, de la fantasy.

Finalement, ma lecture n'a eu l'effet escompté. Je n'ai pas accroché. Cette fois-ci ce n'est pas vraiment le style ou bien la narration qui m'a déplu mais l'histoire en elle-même et surtout la relation entre Agnieska et le Dragon. Honnêtement cela m'a tellement agacé, les 200 premières pages où un énorme goujat traite de tous les noms la jeune fille qu'il enlève, il l'insulte d'idiote, d'imbécile, d'écervelée et j'en passe, passe son temps à l'humilier et la rabaisser, tout ça pour ensuite glisser vers autre chose (que je ne vais pas divulgâcher), j'ai trouvé que c'était n'importe quoi.

Sinon il y quand même des points positifs, tout n'est pas à jeter mais c'est trop long avec un rythme irrégulier et je me suis ennuyé. Bref, sans moi.
Commenter  J’apprécie          53

Malheureusement ça n'a pas été le coup de coeur que j'espérais.
J'ai beaucoup aimé la première partie, qui promettait beaucoup. Malheureusement dès la 2e partie, mon enthousiasme s'est un peu refroidi et je me suis même ennuyée par moment.

D'abord, j'ai trouvé qu'il y avait un problème de rythme : soit les événements s'enchaînent très rapidement soit on passe plusieurs pages sur une bataille très confuse. Quelques longueurs par moment également, surtout dans la partie à la cour.

En parallèle, la relation entre Agnieszka et le Dragon m'a gênée pendant toute ma lecture. Je trouvais le Mage un peu soupe au lait au départ, mais j'attendais patiemment qu'il laisse tomber sa carapace. Il semble au final qu'il ne sache que rabaisser son élève, ce qui fatigue un peu à la longue : comment fait-elle pour ne pas s'agacer d'être traitée en permanence d'imbécile ?
L'apprentissage d'ailleurs m'a laissé un goût de trop peu, la jeune fille passant très rapidement de la maladresse à la maîtrise complète de son art, sans que le cheminement soit bien clair.

Pour finir, à plusieurs reprises j'ai eu l'impression de rater des informations. Il me manquait des éléments pour bien entrer dans l'univers, qui est très dense, et je n'ai pas bien saisi la magie à l'oeuvre, alors que c'est un point central de l'intrigue.
La fin ne m'a donc pas fait d'effet "waouh" et je me suis même sentie assez idiote de ne pas avoir compris ce qui est présenté comme la révélation finale.

Peut être que j'avais trop d'attentes sur ce roman, qui n'était pas fait pour moi.
Commenter  J’apprécie          51
J'ai su dès les premiers chapitres que je n'allais pas réussir à apprécier ce roman.

Pourtant, il y avait de quoi me plaire. Dans une vallée menacée par une forêt maléfique, le Dragon, le magicien qui la combat enlève tous les dix ans une jeune fille, pour le servir... et lui apprendre la magie.
Un résumé qui fleure bon le conte de fées, et l'ambiance du roman ne le dément pas. Ça m'a beaucoup fait penser à la Belle et la Bête au début, et j'ai bien aimé l'inspiration slave de l'univers (je n'arrêtais pas d'imaginer des costumes traditionnels très colorés aux personnages, du coup).

Mais l'héroïne m'est vite sortie par les trous de nez. Elle passe de nulle en magie à extrêmement douée en l'espace d'un chapitre, maîtrise des choses que tout le monde pense impossible en un claquement de doigts (ou un fredonnement, en l'occurrence...), et même les défauts que lui donnent l'autrice sont tellement forcés ou ridicules qu'ils n'aident pas à la rendre attachante. Agnieszka m'a tellement vite insupportée que ça a occulté tout le plaisir que j'aurais pu prendre à la lecture, et aucun des personnages secondaires n'a eu de capital sympathie assez élevé pour contrebalancer, même si j'ai plutôt apprécié Kasia.

En revanche, j'ai aimé le fait que la romance soit aussi discrète. Je m'attendais à quelque chose de très mièvre, je voyais d'avance l'histoire d'amour bien lourde entre la jeune exaltée et son maître revêche, mais ça s'est révélé assez léger pour ne pas prendre le pas sur l'intrigue générale.

La plume de l'autrice est fluide, l'histoire se lit bien, mais les moments où j'ai été embarquée par le récit étaient bien plus rares que ceux durant lesquels j'ai soupiré ou lu en diagonale pour en finir plus vite.
Lien : https://minetsbooks.wixsite...
Commenter  J’apprécie          53
Et... 500 pages de torture. le bouquin a failli me tomber des mains à plusieurs reprises... mais je ne peux pas m'en empêcher: j'ai toujours du mal à abandonner un livre démarré. Pourtant, il faut sérieusement que je songe à m'y mettre, histoire de m'épargner tout ce temps perdu.

Le résumé était aguicheur mais le récit n'a pas répondu aux attentes de ce qui était annoncé. Une jeune fille enlevée à la Tour tous les dix ans et qui en en ressort totalement transformée? Que peut-il donc bien s'y passer? On nous a promis du rêve et du mystère; il n'en est, hélas, rien car l'intrigue ne tourne pas autour de cela mais autour du Bois, entité maléfique et principal antagoniste. On l'aura compris, la jeune fille enlevée se révèle en fait être une......... sorcière, et son bourreau, .........son maître, bien que ce dernier ne soit pas mentionné comme tel. En effet, c'est l'héroïne qui le considère ainsi et s'asservit toute seule (un petit côté Passe-Miroir?). -1 pour Agnieszka. Comme on l'aura également deviné... (attention spoil), elle va tomber amoureuse de lui et lui d'elle parce qu'évidemment, elle est différente. Nunuche, pleurnicharde, soumise, sale et nulle en magie (au début en tout cas). La trame est déjà presque écrite. Vous ne sentez rien?

Alors oui, sous certains aspects, il s'agit d'un conte. Russe par ailleurs, ce qui attisait ma curiosité, en plus, je dois dire, du commentaire de Robin Hobb (en qui je ne fais plus confiance du coup ^^). Un conte pour adultes car (très) sexualisé. Une héroïne pas attachante, pour ne pas dire "chiante". Des rapports humains en lesquels j'ai du mal à croire. Je pense notamment à l'amitié entre Kasia et Agnieszka qui ne m'a pas du tout convaincue. Et une approche de la sexualité qui me dérange... Soit on prend le parti pris d'écrire un bouquin bdsm dans lequel la femme accepte et assume pleinement ses désirs de soumission, soit on s'arrange pour ne pas véhiculer aux jeunes filles l'idée qu'être traitée comme de la merde par un homme plus âgé est une marque d'attention et d'amour (encore un côté Passe-Miroir).

La narration s'est révélée d'une lenteur assez stupéfiante. Mettons ça sur le compte de la traduction qui s'avère un peu piètre. En tout cas, ce fut difficile à avaler. Oubliez les métaphores et les figures de style! J'ai eu l'impression que les informations nous étaient pondues de manière brute sans aucun effort stylistique, genre j'ouvre un livre de chimie. Impossible de s'attacher aux personnages et de s'identifier à eux ni de s'immerger dans l'histoire. J'ai dû relire de nombreux passages plein de fois tant je ne parvenais pas à rester concentrée et captivée par ma lecture. C'était long et répétitif.

Je retrouve malheureusement ces mêmes erreurs qui me dérangent en littérature YA, à savoir une psychologie des personnages mal construite, un style d'écriture qui souffre d'un manque d'épaisseur, des intrigues mal ficelées ou peu élaborées...
D'où Kasia se retrouve-t-elle dans le rôle d'une guerrière badasse sachant manier l'épée? Je croyais que c'était une paysanne qui n'avait été éduquée qu'à être belle depuis sa naissance? Difficile à croire.

Où sont les auteurs originaux? Je crois sérieusement que le problème actuel dans notre société est que l'imaginaire ne travaille plus, remplacé par les écrans et les réseaux qui absorbent toute notre attention en plus de nous abrutir. Il en résulte de plus en plus de bouquins bas de gamme.

Encore une fois, je me suis fait avoir par la blogosphère. La passe-miroir, La quête d'Ewilan, La Moïra, et maintenant ça! J'en ai marre de tomber sur des bouquins de fantasy merdiques. Difficile de faire confiance aux éloges et aux commentaires positifs. C'est un avis trop subjectif. Bref. Je ne recommande pas.
Commenter  J’apprécie          42
Grosse déception pour ce roman. Je l'ai acheté après avoir lu tous les bons avis sur lui. Mais j'avoue que je ne parviens pas à comprendre l'engouement ...
J'ai trouvé le tout très plat. Les actions sont longues et dénuées de dynamisme.
On a du mal à s'attacher aux personnages car leur personnalité est très peu travaillée.

Je ne suis pas parvenue à le terminer car j'ai vraiment eu l'impression de perdre mon temps.


Commenter  J’apprécie          40
Je ne saurais dire si j'ai préféré ce livre à La fileuse d'argent, que j'ai tout de même trouvé assez mauvais dans beaucoup de points - et j'ai globalement le même genre de reproches à faire pour ce tome.

Je vais dire beaucoup de choses négatives, passons alors un peu sur le positif ; au final, j'ai bien aimé l'évolution de l'histoire, les rebondissements qui sauvaient des asufhjkdkdl (littéralement, les mots n'avaient aucun sens, j'imagine que pris indépendamment, on peut leur trouver une correspondance dans des langues slaves mais...), mais contrairement à La Fileuse, je n'ai aimé aucun des personnages. Je les aient trouvés plats, ou souffrant du syndrome de special snowflake, la side-kick (Kasia) avait probablement plus d'intérêt en tant qu'héroïne qu'Agniezska.

Il y a beaucoup de répétitions, beaucoup d'explications longues, beaucoup de choses qui n'ont pas grand intérêt. Les rebondissements sont parfois lourds, tout se répète, c'est long. C'est dommage, parce que j'aime en réalité beaucoup l'écriture de Novik. A de nombreuses reprises, il est signalé que les protagonistes ont utilisé toute leur magie, qu'il faudrait des semaines pour s'en remettre et quelques heures plus tard, ils rebalancent quelques explosions de magie plus puissantes qu'avant. Quant au système de magie, il n'a aucune logique - ou plutôt, il semble en avoir une jusqu'à que la protagoniste découvre qu'elle est spéciale et peut invoquer les Tortues Ninja, Card Captor Sakura et Megaman rien qu'en répétant une syllabe en chantant.

Quant à la relation d'amour entre le Dragon & l'héroïne, elle sort de nulle part, même la scène de sexe. Sarkan passe l'essentiel du temps à l'insulter, la traiter d'idiote, de souillon, être en colère rien que de la voir respirer dans la même pièce qu'elle. Je veux bien que ce genre de comportement soit toléré pour des enfants de 4 ans, pas pour un homme pluri-centenaires (d'ailleurs ce genre de différences d'âge dans une relation, je trouve ça toujours aussi cringe). J'aime les personnages insupportables, j'aime les connards, mais pas lorsqu'il s'agit de leur unique trait de caractère et qu'on passe outre ça pour la gloire de la relation toxique.
Commenter  J’apprécie          30
Bien dommage, le résumé peignait une histoire alléchante.

Les premières pages sont fluides, elles installent l'histoire et brossent l'histoire d'une jeune fille âgée de 17 ans vivant dans un village sous le joug du Dragon, qui n'est autre qu'un seigneur magicien. de bons ingrédients pour se divertir.

Mais plus les pages avancent et plus cela se gâte. Si la traduction donne à voir un style simple mais agréable à la lecture, les personnages eux sont caricaturaux et irritants. Comment ça, on rejoue le cliché de la fille maladroite, apprentie sorcière réservée et dénuée de répartie, face à un homme d'agréable qui va lui apprendre malgré tout la magie (et la vie) ?

Bref, je n'ai pas réussi à dépasser les 50 pages. Après #metoo, ce genre de livre, ce n'est plus possible.
Commenter  J’apprécie          30




Lecteurs (3186) Voir plus



Quiz Voir plus

La fantasy pour les nuls

Tolkien, le seigneur des ....

anneaux
agneaux
mouches

9 questions
2498 lecteurs ont répondu
Thèmes : fantasy , sfff , heroic fantasyCréer un quiz sur ce livre

{* *}