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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
À la frontière du Mexique et de la Californie (Tijuana). Deux êtres se battent pour leur survie et celle des autres.
Je dirai même trois êtres parce que le soi-disant « méchant » et aussi désemparé qu'eux

Tijuana est un lieu où la détresse humaine se croise, la violence, la drogue et l'amour du surf.
J'ai beaucoup apprécié ce livre, les personnages et leurs combats.
Mais je reste bouleversé par leur vie.

Je suis écoeuré par cette inégalité et ce manque d'espoir. Ils ne leur restent rien et pourtant… ils continuent à y croire… mais ont-ils le choix ?
Un ouvrage que je ne suis pas prête d'oublier…

Bonne lecture !
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Un polar qui n'en est pas un, une histoire de surf et de pollution à la frontière du Mexique et de la Californie.

Des crimes, il y en a. Des clandestins qui traversent les frontières des « vigiles » qui les traquent impitoyablement, du trafic de drogue, mais aussi des crimes industriels, des industries américaines qui se sont délocalisées aux USA pour pouvoir polluer impunément.

De la violence, des meurtres gratuits et des femmes battues, mais aussi des enfants qui naissent sans cerveau parce que leurs parents ont absorbé trop de produits chimiques.

Les protagonistes : une jeune mexicaine idéaliste qui cherche à trouver des preuves contre les compagnies et un ancien surfeur vermiculteur, un ex-tôlard que la drogue avait conduit en prison.

Et le décor, c'est un lieu qui devrait être un endroit de rêve, une plage du Pacifique, un paradis des surfeurs, mais une plage traversée par un certain mur…

Un roman métissé, noirceur du crime, tristesse sociale et euphorie des vagues…
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Tijuana Straits, l'embouchure de la rivière Tijuana, frontière entre les Etats-Unis et le Mexique. Autrefois un petit paradis pour les surfeurs et les habitants de la vallée, terres fertiles, océan déchaîné et nature sauvage. Aujourd'hui une zone de non droit, où les clandestins, les passeurs et les garde frontières s'affrontent malgré la barrière qui coupe les terres et l'océan en deux, des eaux si polluées qu'un simple bain dans l'océan peut vous tuer et côté mexicain l'enfer des usines où on fabrique tout et n'importe quoi et où les travailleurs pauvres sont exploités. Sam Fahey a grandi ici, auprès d'un père défaillant et ruiné, a consacré sa jeunesse au surf jusqu'à ce que la sombre réalité le rattrape, le fasse passer par la case prison et plusieurs trahisons, et l'amène à essayer de joindre péniblement les deux bouts dans une ferme perdue au fin fond de la vallée. Mais quand il recueille Magdalena, une jeune Mexicaine, il sait que les ennuis ne font que commencer...

Noir c'est noir et Kem Nunn donne tout de suite le ton dès les premières pages de ce roman, rejoignant les grand maîtres américains du roman noir, ces récits poisseux, désespérés où tout espoir de s'en sortir semble vain et où la misère et le désespoir collent à la peau de héros paumés qui n'ont aucune chance d'échapper à leur destin. Et ici la misère des laissés pour compte de l'Amérique rurale, dans cette vallée perdue loin des fastes des villes californiennes un peu plus au nord, trouve un écho encore plus profond dans ce qui se passe de l'autre côté de la frontière. Tijuana, une ville dont le nom est devenu synonyme des pires vilénies, meurtres, atteintes environnementales, exploitation des travailleurs précaires, corruption généralisée, etc, etc, la liste est encore longue. L'auteur connaît son sujet et nous plonge sans concession dans cet enfer, quelques pages suffisent à nous faire partager la dure réalité des jeunes mexicains venus de la campagne en quête de travail dans cette ville qui dévore ces habitants, les descriptions sont brutes et certains passages se lisent en apnée tellement ils sont bouleversants.

Et au milieu de toute cette noirceur, le roman arrive à instiller un peu de beauté et de poésie. Tout d'abord cette rencontre entre deux personnages cabossés que tout oppose, Magdalena la jeune Mexicaine, orpheline qui a consacré sa vie au combat pour dénoncer les atteintes à l'environnement et essayer de poursuivre en justice les responsables et Sam Fahey, antihéros que l'on apprend à mieux connaître et dont on découvre petit à petit le passé tragique. Il faut voir comment ces deux solitaires vont petit à petit apprendre à se connaître et à s'apprécier et le talent avec lequel l'auteur nous décrit cette rencontre. Et puis la nature, cette vallée de la Tijuana, un petit paradis sauvage maintenant contaminé par la folie des hommes et l'océan, l'océan et ses vagues, que l'on observe, que l'on apprend à connaître, pour lesquelles on est prêt à tous les sacrifices. Même sans rien connaître au surf on ne peut qu'apprécier les descriptions des combats que livrent Sam et son mentor avec ces vagues géantes qui ne se reproduisent que tous les dix ou vingt ans et on ressent toute la force de cette nature malmenée par l'homme et pourtant toujours présente.

Tijuana Straits est un roman qui vous happe et qu'on ne peut pas lâcher même si parfois la dureté des événements évoqués et la violence omniprésente m'ont forcé à ralentir ma lecture pour reprendre mon souffle. On pressent dès le début que tout ça finira mal, la tension monte jusqu'au magnifique final où l'auteur oublie un instant la folie des hommes pour nous ramener enfin à la nature et aux vagues, celles qui vous obsèdent, celles qui ont toujours été là et qui le seront sans doute encore quoi que fassent les humains. Un très beau roman, un uppercut et un magnifique témoignage hommage de l'amour des vagues et du surf. A découvrir !
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CHEF D'OEUVRE ABSOLU, ABOUTI ET TOTALEMENT MAGIQUE
Tijuana Straits est un bijou. Je l'ai lu en 2012 et il reste parmi mes toutes meilleures lectures. Un grand roman noir, lyrique, sur le fil, qui parle de corruption et d'amour, d'engagement militant et de rédemption mais aussi de cette vague légendaire, rêve ultime des surfeurs les plus fous mais polluée à tel point qu'elle peut en venir à tuer. Un roman au souffle incomparable et à la noirceur sans compromis. Comme toujours chez Kem Nunn, les descriptions sont splendides et les personnages, principaux comme secondaires, sont inoubliables et viennent hanter longtemps après la lecture.Les hommes, la terre, la mer ; le paradis et l'enfer ; les fautes et la rédemption ...
Ex-surfer ayant vaincu le Mystic Peak mais déchu, ex-trafiquant de drogue, Sam Fahey a choisi de vivre reclus, à la frontière des Etats-Unis et du Mexique, dans un endroit au milieu de nulle part, près des Tijuana straits, ces courants violents qui naissent dans la baie de Tijuana, à l'embouchure de la rivière du même nom.
Son quotidien est bousculé par l'irruption de Magdalena, jeune Mexicaine poursuivie par des tueurs pour avoir voulu s'attaquer aux industriels pollueurs et aux cartels qui exploitent les clandestins. A ses côtés, même s'il ne voulait plus se trouver mêlé aux affaires du Monde, Sam retrouve la volonté de lutter et l'envie de retrouver sa dignité.
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Sam Fahey est un chic type. Alors qu'il prend soin des oiseaux migrateurs à la frontière de la Californie et du Mexique, il accepte d'aider une immigrée mexicaine trouvée à bout de force sur la plage. Il sait qu'il court au-devant des problèmes. Depuis quelques années, son univers était réduit à une petite exploitation tranquille de lombric (« la lombriculture, c'est cool »), bien loin de ses exploits sur le Mystic Peak.

Star du surf, devenu toxico et passé par la case « détention », que pouvait-il espérer de bon en soignant et cachant Madgalena ? Assistante d'une avocate engagée dans la lutte contre les industriels qui polluent les quartiers pauvres de Tijuana, et pourchassée par un groupe de tueurs, elle attire le chaos et la mort.

Mais il fallait sans doute que l'amour passe par là. Cette fille sera comme un coup de tonnerre dans une existence morne. La raison de vivre, Fahey la retrouve en surfant sur les eaux empoisonnées, sur la vague mythique qui ne survient que tous les vingt ans grâce à El Niño pour sauver la fugitive.

Ce texte est plein de chair et de poussière. Il s'attache aux loosers et aux gens brisés au plus bas de l'échelle sociale, il parle de rédemption et d'accomplissement de soi.

Au milieu de cet enfer créé de main d'hommes, le sacrifice est un chemin qui grandit les damnés parce qu'il les mènent au bout de leur destin. C'est ainsi que doit s'achever la traque dévastatrice contre Magdalena.

C'est dur, vif, troublant et magique. L'auteur cite en exergue Michel Foucault et pourtant cela n'a rien d'un ouvrage de philosophie. Un roman rare qu'on le lâche pas dès la première ligne : « La femme surgit au petit jour, silhouette de l'Apocalypse qui peinait à franchir les dunes. »
Lien : https://thomassandorf.wordpr..
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Le surf et la putréfaction de la condition humaine près de la barrière américano-mexicaine.

D'un côté, il y a Sam Fahey, californien, solitaire résigné, dit Sam la mouette, surfeur légendaire, s'est reclus dans la vermiculture dans la vallée de Tijuana près de la frontière américano-mexicaine. Nostalgique des vagues, il vit au jour le jour occultant un passé sombre. Il occupe la fonction de pisteur pour rendre service au bureau des eaux et forêts. Il évite le plus possible les clandestins. Il préfère la compagnie des oiseaux, les pluviers neigeux.

« Fahey avait en général pour philosophie de ne pas s'occuper des clandestins qu'il lui arrivait de croiser, et il était à présent tenté de suivre cette ligne de conduite. IL voyait cela un peu comme la Directive Première des épisodes d'origine de Star Trek qu'il regardait quand il était enfant. Les formes de vies extraterrestres étaient tout simplement trop étrangères pour être parfaitement connues. Interférer dans leur développement serait revenu à induire des conséquences obligatoirement imprévues qui auraient toutes les chances de s'avérer désastreuses. » (p20-21)

Malgré lui, une femme Magdalena Rivera, une Mexicaine en fuite, lui demande de l'aide. Elle parle dans un anglais parfait, plutôt rare pour une clandestine. Ce qui n'augure rien de bon.

De l'autre côté, il y a donc Magdalena, orpheline, idéaliste, étudiante en droit environnementale travaille pour Carlotta (avocate). Éduquée par les soeurs bénédictines à la mort de sa mère emportée par une inondation lors de l'ouverture d'un barrage, opération qui consista à nettoyer une zone protestataire habitable afin de poursuivre l'investissement économique dans une industrie douteuse. Elle constitue le plus gros dossier jamais accompli dénonçant les abus en matière d'environnement, de droit du travail le long de la frontière mexicano-californienne. La corruption rend sa tâche dangereuse et freinera son désir de justice. Cette fois, c'est elle que quelqu'un tente d'assassiner.

L'industrie au Mexique : nombreuses sont les usines qui ressemblent dans leurs pratiques à celle de « Reciclaje Integral ». Des usines à capitaux étrangers, qui utilisent des produits toxiques sans mesure de sécurité stricte. La population est contaminée. le pourcentage de cancer et autre maladie grave, mortelle, des déformations, des naissances de bébés sans cerveau…, grimpe. Les usines dénoncées sont abandonnées, l'intoxication du territoire s'intensifie, les zones de non-droit prolifèrent, les gangs, la maladie, les viols, les trafiques, les assassinats sont monnaies courantes. Au bout du compte, la mort et le chaos bouseux règnent.

Tijuana Straits est la passe difficile de Tijuana pour les surfeurs. Où la vague géante et mythique, la Mystic Peak, est sollicitée par les connaisseurs. Il y a une autre observation qui s'impose, plus en profondeur, dans les terres cette fois-ci. La passe difficile pourrait être cette barrière, traçant la frontière entre le Mexique et l'Amérique. En tout les cas, le titre à une double interprétation qui siéent parfaitement à l'histoire.

D'amblée l'auteur présente un gros dossier. Très précise, la première partie l'est un peu trop. le côté technique du surf amène à croire qu'on va tomber dans un « Respire » de Tim Winton (où la majeure partie de l'ouvrage ne parlait que de cela étouffant ainsi la profondeur humaine et la trame de l'histoire). La culture des vers présentait le même défaut de lourdeur pour l'abondance de détails. Ajoutez à cela l'ampleur du dossier juridique monté par Magdalena. En gros, vous aurez un premier tiers dense.

Kem Nunn sort ses meilleures cartes dès le départ et le lecteur sentira que ce sera du solide et du percutant. Il plante un décor bien pollué, déprimant et violent des deux côtés et enfin des personnages bouffés de l'intérieur. Et puis que restera-t-il ? Après avoir tous envoyé au départ, vous croirez entrer dans un montage voisin d'une intrigue judiciaire à la John Grisham avec un super procès médiatisé, avec des pressions de toute part, avec un peu de PANG ! PANG ! Par-ci, par-là…

Et non ! Mais que restera-t-il alors ? L'atout.

Les confrontations entre les personnages et l'éclaircissement des choses, en partie (surf et culture des vers entre autres) réexpliquez plus simplement à travers les dialogues. Ce qui captera l'attention, rassurera et enivrera. Là, c'est bingo. Ensemble réussi. Un thriller avec chasse à l'homme, meurtres multiples. Mais pas que, il y aura de la chaleur humaine, de la nostalgie, de la remise en question, un soupçon d'optimisme. Au final, c'est un beau mélange qui marquera le lecteur amateur de romans noirs et de thriller. Puisqu'il y a un peu des deux.

Les conditions de vie des personnages sont proches de celles du Moyen Âge. Sauf qu'ici, ce n'est pas l'inquisition promulguée par l'église catholique qui engendra la peur, la pauvreté, aux conséquences atroces sur l'hygiène de vie. Cette fois, ce sont les capitaux étrangers, les accords de libre-échange, qui ont pris la relève et qui imposent le chemin de croix. C'est hallucinant, car cela se passe aux environs de 2004. Et c'est encore le cas… « Tijuana, la deuxième ville la plus violente du monde depuis 2008 ». Autre record et triste contraste. L'homme d'affaires mexicain, Carl Slim, est la 2e plus grosse fortune mondiale avec la rondelette somme de « 71,4 milliards de dollars »…

Ces individus errant aux abords de la barrière sont tous des naufragés qui tentent de se reconstruire une vie avec des restes éparpillés ça et là dans une zone marécageuse. La difficulté vient du fait qu'il y a plus de naufragés que de résidus. le sol facilite le partage en aspirant celui qui fait un mauvais pas. Qu'il soit gentil ou non.
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Un magnifique roman d'humanité. La trame du roman policier nous entraine dans un tourbillon. On dévore le livre pour savoir qui veut tuer Magdalena. L'auteur sait nous embrouiller pour mieux nous révéler la vérité.
Pourtant la force de ce livre n'est pas là. Elle est dans la puissance des personnages, dans la précision de leurs caractères, dans la justesse de leurs sentiments, dans l'implacable réalité des parias vivant des deux côtés de la frontière mexicano-américaine, oubliés de tous, touchants dans leur impuissance, dans leur désir de rester des hommes portés par leurs espoirs, si infimes soient-ils.
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Les Tijuana Straits, ce sont ces courants violents qui naissent dans la baie de Tijuana, à l'embouchure de la rivière du même nom. Ils modèlent les bancs de sable auxquels la houle vient se heurter pour former les vagues que les surfeurs les plus courageux peuvent venir chevaucher. Les plus courageux, parce que l'eau ici est polluée à tel point qu'elle peut en venir à tuer. C'est là que passe la frontière entre les États-Unis et le Mexique. Et c'est là aussi, dans la Tijuana river, que viennent échouer les produits chimiques des maquiladoras qui tuent les ouvriers mexicains avant de tuer la terre aux États-Unis et de pourrir enfin l'océan. Ce sont aussi ces courants qui tuent chaque année des dizaines ou des centaines de candidats à l'émigration qui tentent leur chance pour rejoindre l'american dream. Ce sont enfin ces courants qui vont amener sur le rivage californien, côté USA, après qu'on a tenté de l'assassiner, Magdalena, jeune assistante d'une avocate qui s'attaque aux trusts américains qui dirigent les usines mexicaines.

Sam Fahey, ancienne gloire locale pour avoir surfé le Mystic Peak, la vague légendaire qui apparaît parfois dans la baie, vit reclus dans une ferme semi abandonnée dans laquelle il élève des vers de terre. Sa chute a été lente mais inexorable : après l'époque bénie où la vallée était un petit paradis et où il surfait et sauvait des vies en tant que sauveteur aux côtés de Hoddy Younger, Sam a basculé dans la drogue, le trafic, la prison, l'exclusion, la dépression. C'est lui qui va recueillir Magdalena. Ce sera l'occasion pour cet homme brisé de retrouver sa dignité, de lever la tête et d'expier ses fautes et celles de son père.

le dernier livre de Kem Nunn, le Sabot du Diable, a été publié en France en 2004. C'est peu dire donc, que l'on attendait le suivant avec impatience. Il est vrai aussi que s'il est un écrivain rare, Kem Nunn tient au moins toutes ses promesses. Il nous offre là un roman au souffle incomparable, à la noirceur profonde, à la beauté vénéneuse. Une fois encore les descriptions sont splendides, y compris celles des pires cloaques, et les personnages, principaux comme secondaires, sont inoubliables et viennent vous hanter longtemps après la lecture.

Un roman noir donc, et encore un nouveau chef-d'oeuvre de Kem Nunn, mêlant nature sauvage et dénonciation d'un système qui broie. Les hommes, la terre, la mer. Et transforme peu à peu, inéluctablement, le paradis en enfer et les hommes en démons.


Lien : http://encoredunoir.over-blo..
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Tijuana, la tristement célèbre à la frontière de la Californie et du Mexique. Sam est un anti héros, ancien surfeur repris de justice, solitaire, un peu camé qui vivote de la vermiculture dans son exploitation paumée. Il rencontre recueille, une jeune mexicaine qu'on a essayé d'assassiner près de chez lui. Magdalena est persuadée que cette tentative est liée à son activisme anti pollution de l'autre côté de la frontière. C'est un monde d'exploitation de la main d'oeuvre mexicaine dans des industries archi polluantes aux mains de nord-américains sans scrupules, de traffic de drogue, de passeurs, de misère écologique et sociale. Elle va entrainer Sam à la recherche de ses agresseurs et le projeter dans une aventure qui le poussera à se dépasser,
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Kem Nunn sait nous émouvoir avec une écriture puissante et poétique. Il nous parle de rédemption parmi la folie des hommes qui tuent d'autres hommes et qui tuent la terre. Et la terre se venge en engloutissant les fous avec l'aide de la mer et des hommes de la mer.
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