65. Une fois la nature passée à une condition plus divine, l'homme prend la forme que lui donnent ses traits moraux, sans que son essence soit différente de son apparence, mais il est connu tel qu'il est : tempérant, juste, doux, pur, aimant, pieux.
28. et nous ne ferions pas volontairement l'expérience du mal, si la réalité n'était pas teintée d'une représentation mensongère du bien.
41-42. L’âme (...) est (...) immatérielle, invisible, intelligible et incorporelle.
48. Ici-bas l’âme est l’esclave d’un jugement extérieur sur l’idée supposée du bien.
40. Dirigeons donc notre regard vers ce qui est invisible (Héb. 11,27) en nous, et croyons que notre être véritable est ce qui échappe à la perception sensible.