Ce deuxième tome se lit tout aussi agréablement que le premier, même s'il aurait peut-être mérité d'être plus condensé : quelques longueurs et détours inutiles pour un final prévisible (quoique fort sympathique).
Le personnage du chevalier de la Tour est malheureusement un peu trop caricatural, et le récit aurait grandement gagné à ce qu'il soit dépeint avec plus de nuances et de subtilités (Nikolas, qui lui ressemble en un sens, a au moins l'excuse d'être la caution comique de ce manga, et on lui pardonne donc d'être trop tranché dans ses propos et réactions).
Malgré tout, une lecture fluide, qui donne assurément envie de découvrir d'autres oeuvres de cette mangaka encore trop méconnue en France.
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La suite nous propose des intrigues politiques, des retournements de situations, Jemal essayant de tirer son épingle du jeu tout en récupérant son "jouet"
Une bonne suite (et fin) du premier tome.
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(Jemal) Je sais... c'est un chevalier lui aussi, n'est-ce pas?
Mais il est avant tout mon prisonnier.
Et mon esclave personnel.
C'est à moi de m'occuper de lui, et personne d'autre.
Le premier
qui osera le toucher sans mon autorisation
devra répondre de ses actes personnellement.