Livre qui aura été une relecture. Si le quatrième de couverture, qui relatait la mort d'une artiste et les soupçons du commissaire Ambrosiano sur un des proches dans cette maison plus que bourgeoise, ne m'avait rien dit, dès la première page, j'ai reconnu l'atmosphère pesante et étouffante dans laquelle avait été confinée cette artiste, seconde épouse du fils de bonne famille, mal vue, car trop excentrique, par toute sa belle-famille. Tous vivaient à l'italienne, c'est-à-dire sous le même toit et l'on comprend vite que l'air était irrespirable.
Un bon divertissement, comme à chaque fois. Plaisir de lecture simple, une bonne intrigue qui connaît des soubresauts jusqu'à la fin.
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