Le temps n'apportait pas le talent, c'était le talent qui demandait du temps.
Il te fallait ton petit harem pour te rassurer ? Oui Vita est aimée, oui Vita séduit toujours, oui Vita est adulée. Voulais-tu assister au spectacle de tes amantes se détestant et triompher de leur déchirement ?
Elle était heureuse, et ressentait chaque joie comme une victoire sur elle-même.
. . . la reine Mary continue d’inaugurer les hospices, elle se rend même, dit-on, dans les mines de charbon et affronte les mineurs en grève couverte de bijoux des pieds à la tête, et à ceux que cela offusque, elle aurait répondu : « Ils veulent voir la reine ! »
Je t’ai trouvée snob et prétentieuse. En fait, je n’attendais qu’un geste de toi pour t’adorer.
Elle m’a dit qu’il fallait choisir son camp et qu’être bien avec tous les deux était la meilleure façon de me fâcher avec chacun.
Oh ! je te déteste, tu n’écoutes que ton corps, et moi, comme une pauvre idiote, je t’adore.
(Tu as trompé Harold que tu aimes tant. Alors moi, que tu aimes certainement moins que lui, pourquoi ne me tromperais-tu pas ?) Pourtant, si tu es séduite par ta voisine ça n’est pas lui que tu trahis, mais moi.
Tu possèdes la curiosité et la joie en toi, c’est la plus précieuse de tes richesses
. . . je suis ma pire ennemie tandis que tu es ta meilleure amie. C’est toute la différence entre nous.