Qui n'a jamais écouté le Boléro de Ravel ne saurait comprendre ce que pareille musique, si elle avait une quelconque onction sacrée, aurait eu comme grâce divine. Cela ne saurait étonner quand on sait que ce rythme ensorcelant, car accentué et ternaire, est d'origine espagnole, soit à racine arabe.
Or, aujourd'hui, en cette exception Tunisie qui redécouvre son être à la faveur de son coup du peuple, un air divin commence à se danser enchantant la vue et l'ouï...
>Voir plus