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4,05

sur 179 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
L'héritage de John Huffam est le premier tome de la pentalogie de Charles Palliser, le Quinconce. Je n'avais jamais entendu parler de ces romans et pourtant, j'ai eu une grande phase Charles Dickens adolescente. J'avais enchainé Olivier Twist, David Copperfield, Les grandes espérances… J'ai donc été enchantée quand j'ai vu ce titre, de pouvoir replonger le temps de quelques jours dans l'époque victorienne, comme quand j'étais enfant.
Les sujets abordés dans ce premier tome sont plus complexes que ceux évoqués dans les romans de Charles Dickens, du moins, de ce que je me rappelle. Une veuve et son enfant, Johnnie, vivent à l'écart du monde, dans la campagne anglaise. Johnnie est le narrateur principal du roman, l'histoire débute alors qu'il est encore jeune enfant (environ 5 ans). Il commence à découvrir le monde qui l'entoure et à se poser des questions.
J'ai été un peu étonnée que la mère se décrit comme pauvre alors qu'elle possède trois personnes à son service ainsi que plusieurs objets de valeur dans sa maison. Mais peut-être que je compare trop à Dickens ? J'ai toutefois aimé les descriptions de la nature et des environs, l'auteur s'applique à retranscrire fidèlement l'ambiance de l'époque. J'ai moins apprécié les discussions autour des transactions financières mais aussi la mère qui n'est jamais sûre d'elle et demande souvent l'avis de son fils.
Quel tome symbolise le volet central dans cette représentation en quinconce ? Moins abordable qu'un Dickens mais le Quinconce m'a plus qu'intéressée. J'espère que ce premier tome est compliqué parce que c'est celui qui introduit les différents éléments de cette série. Les relations entre les familles et leurs différents patronymes ne sont pas faciles à appréhender, j'aurais sans doute du prendre quelques notes. Je lirai bien entendu la suite pour découvrir quel est le secret de cette famille et éclaircir quelques mystères ! En lisant une biographie de Charles Dickens sur le net, je viens de voir qu'il avait comme noms, entre autres, John Huffam (nom du père et du parrain), est-ce un clin d'oeil ?
Merci aux éditions Libretto (et à Masse Critique !) pour cette réédition, ça m'a permis de découvrir cette oeuvre !
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J'ai découvert ce livre grâce à Babelio qui me l'a envoyé dans le cadre de l'opération masse critique. Je dois avouer que les premières pages m'ont semblé longues. C'est que Charles Palliser, écrivain américain contemporain, publiait en 1989 un roman s'inspirant, jusqu'au mimétisme, des auteurs anglais du XIXe. Ma première réaction a été l'agacement; à quoi pouvait-il bien rimer de singer ainsi Dickens, Thackeray ou Wilkie Collins? La langue, pleine d'expressions désuètes ou oubliées, parsemée d'argot et de tours familiers, souvent complètement disparus, m'indisposait tout autant que le parti consistant à faire du faux vieux, sans distance ni réinterprétation.

Et pourtant. Après à peine cinquante pages, je n'ai plus pu lâcher le bouquin. Ce roman est d'une efficacité redoutable. Il y a là un souffle qui m'a replongé dans les lectures de jeunesse, les Fenimore Cooper et autres Jules Vernes. C'est enlevé, c'est picaresque, c'est le genre de livre dont on veut à tout prix connaître la suite. Un feuilleton historique, remarquablement documenté, avec des rebondissements, des méchants vraiment odieux, une intrigue dont les éléments sont distillés petit à petit et des personnages qui ont une vraie épaisseur romanesque.

A peine terminé, j'ai posé le livre sur ma table et je suis allé acheter le volume deux. La saga continue...
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Pour les amateurs de littérature anglaise ! Ce livre publié en 1990 m'a surprise par son style, on se croirait en compagnie de Dickens, son rythme , ses énigmes et mystères. Je viens de refermer le premier tome relatant l'enfance de John dans la campagne anglaise. Suite dans les quatre prochains tomes...
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L'action se passe dans un petit village anglais, quasiment coupé du monde. Rien d'étonnant : nous sommes au début du XIXe siècle, la révolution industrielle n'a pas encore commencé, et seule le passage de la diligence sur la grand route vient troubler le calme de ce village. Parfois, des étrangers traversent le village, il ne manque pas d'être repérés, puis chassés : ces chemineaux n'ont rien à faire ici.
Attardons nous dans cette belle maison, justement, là où ce chemineau vient de se faire rembarrer de la belle manière. Y vivent une femme seule, et son fils John, le narrateur de cet histoire, tout jeune garçon dont le lecteur suivra la croissance. Ils sont entourés par la nourrice, la cuisinière, une jeune servante, un jardinier aussi, occasionnellement. La jeune femme pourrait respirer la tranquillité – pas du tout. Les ordres sont stricts, son fils ne doit parler à aucun étranger (cette consigne n'est pas si différente de celles que donnent les parents contemporains à leur progéniture), son fils n'a pas le droit de s'aventurer dans telle ou telle partie du village. Il ne peut non plus poser des questions sur son père, ou sur le père de Sukey , la jeune domestique superstitieuse. Ses interdits lui pèsent-ils ? Il est un enfant, un enfant solitaire, qui n'a pour compagnon de jeu que sa mère, les lectures qu'elle ou sa nourrice lui font. Aussi transgresse-t-il parfois, les interdits, se questionne-t-il sur tout ce qui l'entoure, attentif aux symboles et aux objets.
Le quatrième de couverture compare ce roman à Dickens, et je ne puis qu'être d'accord. Il montre la misère noire qui sévissait jusque dans les villages les plus paisibles, la difficulté à simplement vivre – et je ne parle même pas « vivre décemment » pour les domestiques trop âgés pour servir, ou pour les jeunes domestiques en charge de leurq nombreux frères et soeurs. J'ai surtout pensé aux Contes des deux villes, pour les procédés narratifs (ah ! ce narrateur omniscient qui s'introduit jusque dans les logis les plus secrets de la capitale anglaise, qui suit pas à pas des êtres qui pourraient être des disciples de Fagin) et à David Copperfield, pour les descriptions particulièrement évocatrices, qui s'intègrent parfaitement au récit et pour le destin contrarié de John. Sa mère a la douceur de celle de David, la naïveté aussi, sans pour autant être tombée dans les griffes d'un nouveau mari. Ses adversaires n'en sont pas moins redoutables, et elle semble terriblement démunie, terriblement seule aussi – et les paroles de Bissett sonnent comme autant d'inquiétantes anticipations.
Ce tome 1 du Quinconce est terriblement prenant. Quelles nouvelles épreuves attendent la mère et son fils dans les tomes suivants ?
Lien : https://deslivresetsharon.wo..
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Dans l'Angleterre du début du XIXème siècle, le petit John Huffam vit dans un village perdu dans la campagne en compagnie de sa mère, d'une nurse et d'une servante. Chaque fois que l'enfant demande qui est son père, sa mère élude la question. Il semble qu'il soit d'origine aristocratique, mais qu'il vit sous un nom d'emprunt. Dans le passé, sa famille aurait subi de graves tribulations et se serait retrouvée dépossédée de ses biens et de ses propriétés foncières. La mère essaie d'assurer un minimum de bien-être à l'enfant, mais des placements d'argent aventurés proposés par des financiers malhonnêtes achèvent de la ruiner. Et pour ne rien arranger, de mystérieux anciens « ennemis » réapparaissent, risquant de mettre toute la famille en danger...
Ce premier tome des cinq que comporte la saga « Le Quinconce » place le lecteur face au mystère des origines de John. Tout est énigmatique dans cette histoire qui démarre en ressemblant à un imbroglio tout à fait impénétrable. Il se doute que le petit héros va aller de tribulations en tribulations, mais dans ce premier opus, tout reste encore assez soft. le départ précipité vers Londres en fin d'ouvrage laisse augurer une aggravation de la situation de ce petit frère huppé de David Copperfield ou d'Olivier Twist. le style de Palliser, plutôt classique, pointilliste et descriptif, n'impulse pas un grand rythme d'autant plus qu'il est alourdi par toutes les tournures patoisantes ou argotiques des serviteurs et autres servantes. L'ambiance à la Dickens est relativement bien rendue, mais pour l'instant pas de quoi crier au chef d'oeuvre avec The New-Yorker qui ose parler d'une « merveille de bout en bout », ce qui semble un compliment vraiment outrancier.

Lien : http://www.etpourquoidonc.fr/
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L'auteur a su attiser ma curiosité avec ce premier volet de son histoire publiée en cinq volumes. Information peut-être anecdotique pour certains, mais utile à mon sens, le chiffre cinq n'est pas seulement visible dans le titre avec l'utilisation du mot Quinconce, nous le retrouvons également dans tous les découpages du roman.
Charles Palliser nous transporte au XIXe siècle, dans un univers très proche de celui de Charles Dickens, alors qu'ils ne sont pas contemporains. Charles Palliser a effectivement publié ce livre en 1989, mais il a su s'approprier les codes des écrivains de l'époque, tant dans les descriptions que dans l'utilisation du langage de l'époque, le tout faisant parfaitement illusion.
Le personnage principal de ce premier tome est le petit John Huffman, jeune garçon vivant avec sa mère. Ce dernier commence à poser des questions sur son père qu'il ne connait pas, et les réponses élusives de sa mère commencent à l'intriguer. Cette dernière en effet, ne souhaite pas s'étendre sur le sujet, laissant le petit John dans la plus grande confusion. Cependant, au détour de rencontres et de discussions avec des personnages aux intentions douteuses, l'anonymat de ce père finira par être la source des problèmes de cette famille pauvre a priori sans histoire, nous laissant à la fin de ce roman à un moment charnière de l'histoire de John et de sa mère.
Malgré le caractère sinistre de son histoire, on ne peut que se réjouir de retrouver ce petit garçon en quête de vérité dans chacun des cinq volets de cette histoire unique en son genre. Car il faut dire qu'on ne peut qu'être empathique, cherchant parfois à le préserver de ce qu'il pourrait découvrir.
Ce premier tome est une introduction à ce qu'il semble être un fresque initiatique en cinq volets. La recherche de ses origines par le petit John, sa volonté de mieux comprendre d'où il vient, lui permettra alors de mieux affronter son destin.
Quinconce est une représentation parfaite de la saga familiale, sur fond de secret, étroitement liée aux inégalités inhérentes aux classes sociales de l'époque.
Une lecture singulière très accrocheuse. Je remercie les éditions Libretto et Babelio pour m'avoir permis de découvrir ce livre.
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Reçu à l'occasion de sa réédition début 2015 aux éditions Libretto, « L'Héritage de John Huffam » n'est en réalité que le premier volet d'une oeuvre ambitieuse puisant son inspiration dans la littérature anglaise du XIXème siècle. Entièrement imaginé et conçu selon une structure en quinconce, le roman est ainsi découpé en cinq livres, eux-mêmes divisés en cinq parties comportant chacune cinq chapitres. Toute l'oeuvre repose donc sur cette structure mathématique centrée autour du chiffre cinq. Comme le lecteur le découvrira par la suite, l'histoire s'articule autour de cinq familles connectées les unes aux autres sur une période de cinq générations.

Quoi qu'originale et symbolique, la structure en quinconce du récit ne constitue néanmoins pas le seul attrait de l'oeuvre. Situant son récit dans une Angleterre victorienne des plus convaincantes, Charles Palliser reprend en outre les principales thématiques de la littérature du XIXème siècle dont il s'approprie brillamment les codes. S'inspirant sur le fond comme sur la forme des romans de cette époque, « le Quinconce » bien que publié en 1989, possède ainsi tous les attributs du roman victorien par excellence dont il reprend et exploite avec brio les codes.

Mais au-delà de l'immersion saisissante au coeur d'une Angleterre victorienne parfaitement restituée, « le Quinconce » est avant tout un roman audacieux et à la croisée des genres, à la fois récit d'aventure, roman policier, fresque familiale, et récit d'apprentissage.

Dans ce premier volet, le lecteur fait la connaissance du jeune Johnnie Huffam. le jeune garçon semble mener une vie de reclus aux côtés de sa mère inquiète et surprotectrice ainsi que de sa nourrice, l'intransigeante et antipathique Bissett. Gravitant dans cet univers essentiellement peuplé de femmes, Johnnie n'a que peu de contact avec les autres enfants de son âge dont il envie la liberté. Sa mère semble en effet déterminée (pour d'obscures raisons) à tenir le jeune garçon à l'écart du reste du monde, comme pour le protéger d'une invisible menace. Alors qu'il débute son apprentissage de la lecture, le jeune garçon ne tarde pas à découvrir avec stupéfaction l'immensité du monde qui l'entoure et à ouvrir les yeux sur les gens autour de lui. Prenant peu à peu conscience du mystère entourant son père et sa naissance, les questions ne tardent pas à se bousculer dans son esprit tandis que les évènements « étranges » se multiplient et que des personnages troubles font irruption dans sa vie. Se heurtant au silence de sa mère, Johnnie comprend qu'il devra lutter pour découvrir la vérité tout en prenant peu à peu conscience du poids des enjeux que semble impliquer le mystère autour de sa famille…

L'un des principaux enjeux soulevé par ce premier tome concerne donc l'identité réelle du jeune Johnnie et le mystère entourant sa naissance. Si au terme de cette première partie, le lecteur se trouve confronté à davantage de questions que de réponses, elle livre néanmoins quelques indices clé pour la résolution de l'énigme. On en apprend ainsi un peu plus sur l'histoire de la famille Huffam ainsi que sur un mystérieux document, lequel, de par son importance capitale, en fait un objet de convoitise pour les nombreux « ennemis » de nos deux personnages principaux. Ce codicille, que conserve précieusement la mère de Johnnie, pourrait en effet changer un jour la vie de nos deux héros, même si pour l'heure, sa détention semble au contraire les mettre en danger.

Le lecteur voit progressivement se tisser sous ses yeux les fils de multiples intrigues alambiquées, se nouant peu à peu en un réseau complexe dont il peine à saisir le sens et la portée véritable. Car dans un souci évident de tenir en haleine son lecteur jusqu'au bout, l'auteur, peu enclin aux révélations, brouille résolument les pistes tout en distillant suffisamment d'indices pour que le lecteur devine déjà les prémices d'une colossale (et machiavélique) conspiration familiale, impliquant plusieurs générations de personnages.

Si au terme de ce premier tome, le lecteur n'a donc guère avancé dans la résolution de cet opaque mystère, sa curiosité n'en demeure pas moins vivement aiguisée par les quelques éléments distillés par l'auteur et laissant présager une intrigue aussi retorse que magistralement orchestrée. En effet, la parfaite appropriation du contexte historique, tout comme la construction savamment pensé du récit et les indices distillés au compte-goutte, témoignent déjà d'une époustouflante maîtrise d'écriture et d'un remarquable sens du romanesque de la part de l'auteur. Un roman absolument incontournable pour les amoureux de la littérature victorienne!

* * *
Au-delà de l'hommage à peine voilé aux grands écrivains du XIXème siècle, tels que Dickens ou Wilkie Collins, « le Quinconce » est avant tout une oeuvre audacieuse à la structure parfaitement étudiée et au suspense savamment entretenu.
Dans ce premier tome, véritable roman-puzzle à l'intrigue sibylline, Charles Palliser met ainsi en place les rouages complexes d'une saga ambitieuse centrée sur les thèmes de prédilection des grandes oeuvres de la littérature victorienne. Si le lecteur peut parfois être tenté de se perdre dans les méandres de cette intrigue alambiquée aux ramifications multiples et aux accents argotiques quelquefois déconcertants, on se laisse finalement porté par cette intrigue sombre et retorse qui nous tient en haleine jusqu'au bout.
Plus mystérieux et énigmatique que réellement tourné vers la résolution du mystère, et laissant finalement peu de place aux révélations fracassantes, « L'héritage de John Huffam » fait davantage figure de tome introductif que de point culminant d'une saga qui laisse néanmoins déjà entrevoir tout son potentiel ! Dans ce premier épisode, Charles Palliser lève ainsi le voile sur certains enjeux du récit et instaure progressivement un climat de tension, emprisonnant ainsi peu à peu le lecteur dans les filets d'une intrigue opaque mais dont il peine à s'extraire.
Ce premier tome pose ainsi les fondations d'une gigantesque intrigue familiale, retorse à souhait, tout en plongeant avec brio le lecteur dans une Angleterre victorienne parfaitement restituée ! S'il veut percer le mystère de cette intrigue labyrinthique et connaître le fin mot de l'histoire, le lecteur devra donc, à l'image de Johnnie, s'armer de patience et se tenir sans cesse aux aguets. Pour ma part, j'ai hâte de me plonger dans la suite de cette saga s'annonçant d'ores et déjà comme très prometteuse!
Lien : https://lectriceafleurdemots..
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Un vrai roman fleuve qui fait éclater tous les codes du roman victorien et éclaire d'une lumière crus les aspects les moins reluisants de cette époques. Mais c'est surtout un roman policier qui ménage le suspense jusqu'à la dernière phrase (et u-delà) !!!
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Le Quinconce est d'abord un portrait de la société anglaise du XIXe siècle. Charles Palliser met en scène la vie quotidienne d'une petite famille relativement aisée dans un village quelque part à l'ouest de Londres. Mais on y retrouve aussi tout le panorama de la société de l'époque, de la misère la plus noire à l'aristocratie la plus haute. Et ces strates de la population se croisent, vivent l'une à côté de l'autre en se mêlant parfois, à la manière d'un roman de Charles Dickens.

Je parle du XIXe siècle, car c'est l'époque à laquelle se déroule réellement le récit. Néanmoins, l'auteur réussit à se détacher de cette époque pour créer une temporalité inhérente au récit. Celle-ci, beaucoup plus malléable, s'adapte parfaitement à l'ambiance du récit. Il propulse ainsi hors du temps cette partie de l'Angleterre qu'il nous montre comme vallonnée et peu peuplée. Les descriptions, certes succinctes, invitent à l'imagination et au vagabondage par la puissance des évocations de Charles Palliser.

Vous attendez sûrement que j'évoque l'intrigue... Celle-ci se met en place petit à petit dans l'histoire et préfigure une complexité de grande ampleur. L'auteur en dévoile juste assez pour nous permettre de comprendre les tenants et les aboutissants de l'intrigue, pour ne pas perdre le lecteur. Mais rassurez-vous, tout n'est pas déballé dans le premier tome ! Chaque pas que l'on fait dans l'intrigue épaissit en même temps le mystère qui entoure cette famille et fournit plusieurs pistes de réflexion que l'on espère voir éclaircies dans les tomes suivants.

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Lien : http://laplume-ou-lavie.blog..
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Enorme plaisir de lecture. Je me souviens encore, 20 (?) ans après de l'addiction qu'il avait provoqué.
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