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3,57

sur 163 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
« Les grandes personnes sont difficiles à comprendre »
« Elles sont parfois gentilles, et parfois non. Elles sont faites de tas de petits morceaux que je n'arrive pas à relier les uns aux autres. »
Il n'a que neuf ans, mais il a déjà la réflexion d'une grande personne qui a gardé sa fraicheur d'enfant. Simon est un bambin comme les autres il aime jouer avec sa console Nintendo, a un papa, une maman, une grand-mère fantasque qui s'adresse aux esprits, ne manque de rien….enfin presque rien. S'il est proche de son papa, écrivain, sa maman en revanche est plus préoccupée par sa vie professionnelle au pays des kangourous
« Je vois si peu maman. Avenue Paul –Doumer, elle fait à peine attention à moi. Jamais de caresse sur la tête comme papa. Elle m'embrasse toujours sur ses doigts. Quand vient l'heure du coucher, c'est ce qu'elle m'adresse. Un baiser sur ses doigts, et elle souffle dessus pour qu'il s'envole vers moi. Mais le vent est toujours mauvais avec maman, et son baiser disparait avant de m'atteindre. »
Son père l'aime et le cajole autant que sa mère est distante. Simon constate, explique, décrit, mais jamais ne juge sa mère. Au contraire, il cherche au fur et à mesure d'en savoir un peu plus sur son enfance pour comprendre cette maman qui vit loin, qui l'aime sans aucun doute, à sa façon, mais ne semble pas très démonstrative.
C'est avec Paul qu'il construit sa sensibilité. C'est avec son père qu'il fait l'apprentissage de la maladie, et du courage. Avec ses mots à lui il va poser des images sur les évènements.
Avec ses rêves, Simon grandit, et se rapproche de la vérité.
Simon, c'est le gamin qu'on a envie de cajoler ; c'est le gamin à qui l'on ne peut pas raconter d'histoire : il voit tout. Je me suis amusée quand il fait remarquer à Lola, non sans malice, en voyant ses deux brosses à dents, qu'on n'utilise pas deux brosses en même temps !!! La vérité sort de la bouche des enfants…
Et puis un jour, son petit monde bascule. Il est choyé et protégé par Lola, aimé par Lily…..ah cette petite Lily, la petite fée.
Voilà un ouvrage qui est à la fois émouvant, drôle, triste et optimiste, tendre, plein de bon sens. Un livre avec lequel on s'interroge : Quand doit-on dire la vérité aux enfants ? Que faire de son chagrin ? le partager au risque de s'enfoncer, ou, le garder pour soi pour protéger l'autre ?
Un grand merci à Vincent des agents littéraire pour cette lecture douce, tendre, et profonde à la fois , et, que j'ai dégustée avec beaucoup de plaisir.


Lien : http://leblogdemimipinson.bl..
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Pas facile de parler de ce livre tant il y aurait de choses à dire? Simon,un petit garçon de neuf ans, vit à Paris avec ses parents. Sa maman est souvent absente pour raisons professionnelles. Elle travaille pour Danone et se rend régulièrement en voyage pour des durées de plus en plus longues .Au pays des kangourous, . C'est le papa, Paul, écrivain, qui s'occupe de tout à la maison. le ménage n'a pas de secrets pour lui, ni la cuisine, les courses . C'est lui qui fait faire les devoirs de son fils, qui joue avec lui et ils font de longues siestes devant des films les dimanches. Et lorsque sa femme rentre, il est aux petits soins pour elle. Il y a également la grand-mère Mona, femme haute en couleurs et un brin fantasque qui n'apprécie guère sa belle fille

Un matin, en se levant, Simon trouve son papa recroquevillé dans le lave -vaisselle. ses beaux yeux verts doux ont laissé la place à un regard gris et vide. le verdict tombe: papa ne va pas bien et doit partir se reposer quelques temps ..
Comme vous l'aurez sûrement compris, la maladie dont souffre Paul est la dépression. Une maladie souvent mal-jugée et vécue parfois comme honteuse par ceux qui en souffrent, car assimilée souvent à la faiblesse.
Le petit Simon au début ne comprend pas. Il en veut à sa maman qui ne rentre pas , sa grand-mère n'ayant pas jugé bon de l'avertir, et sa maman appelle à chaque fois alors qu'il n'est pas disponible. Ses rêves le troublent et les monstres y sont de plus en plus nombreux. Heureusement qu'il y a sa grand-mère prête à tout pour le protéger et ses copines un peu bizarres qui font des séances de spiritisme..

Simon se rend à la maison de repos où se trouve son papa . Dans lescoulirs, il va rencontrer Lily, une petite fille aux yeux violets et à l'air grave . Lily joue avec les interrupteurs. Jour Nuit.Jour. Nuit. Lily vérifie que rien ne change , c'est rassurant, . mais elle comprend si bien la souffrance des autres. C'est elle qui explique à Simon ce mal qui ronge son papa et qui l'aide à mettre des mots sur les non-dits. Lily est une enfant autiste. Une sorte de petite fée clochette qui va devenir la meilleure amie de Simon ( on se demande parfois si cette petite Lily est bien réelle).

Paul va guérir,, délivré de ses démons par la vérité. .. ..

J'ai été particulièrement touchée par cette lecture.Il est très rare qu'une histoire m'émeuve au point de me faire pleurer . Ce fut le cas avec celle-ci. Non pas que ce livre soit finalement triste, non, il est plein d'espoir et très drôle .Mais l'émotion est omniprésente. Une émotion pure, naïve, sans pathos, celle de cet enfant de neuf ans, avec ses joies et ses peines, ses peurs et ses questionnements. Et tout ça sonne tellement juste !!!! Gilles Paris mêle avec

Voilà, désolée d'en dire si peu mais les mots ont tendance à me manquer. C'est un énorme coup de coeur. Un livre à la fois léger et profond. Un petit bijou. Et je ne rajouterai qu'une chose : lisez-le!!!
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J'ai beaucoup aimé ce livre, très tendre, qui nous raconte la dépression vu par le regard d'un enfant. Attention ! N'allez pas croire que ce roman soit mièvre ou didactique. Rien n'est plus déplaisant que ces auteurs qui singent l'enfance et la font bien plus niaise qu'elle ne l'est. Les enfants comprennent des choses, même s'il leur manque les mots pour le dire, ce sont les adultes qui ne veulent pas s'en apercevoir. J'irai même jusqu'à dire que ce sont eux qui veulent se protéger, et j'en dévoile déjà beaucoup en disant cela. Il est pour moi deux âges horribles dans la vie : celui où l'on vous trouve trop jeune pour affronter certains faits, et celui où l'on vous trouve trop âgé pour vous apprendre certaines nouvelles (en croisant les doigts pour que la sus-dite personne âgée meure avant de découvrir la vérité). Cynique de ma part ? Oui, un peu, j'avais néanmoins envie de le dire.
Simon, lui, essaie simplement de vivre sa vie d'enfants, entre son père et sa mère, qui ne sont plus un couple depuis longtemps. Pas même une dispute, non, ce temps-là est révolu, et Simon le regrette confusément, car ses parents avaient encore des choses à se dire alors, même sur ce mode de communication violente. Il aime aussi sa grand-mère,Lola, qui a élevé son fils seul, mais sans aigreur aucune, lui prouvant même à l'âge qu'il a, qu'il est la plus belle chose qui lui soit arrivé. L'autre point que j'ai trouvé très important est que Simon ne juge jamais ses parents, même si son père est interné à cause de sa dépression, même si sa mère ne sait pas lui montrer qu'elle l'aime.
Si vous ne connaissez pas ce livre, je ne peux que chaudement vous en recommander la lecture.
Lien : http://deslivresetsharon.wor..
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Papa nous fait un coup de calgon!

Quand Simon, 9 ans, trouve son père Paul dans le lave-vaisselle, il se sent complètement démuni. Sa mère, si peu présente même quand elle est là, s'est encore absentée pour son travail au pays des kangourous. Il fait donc appel à sa grand mère, Lola, qui ne pourra que constater la gravité de l'état d'abattement de son fils. Simon, assiste alors, jour après jour, impuissant, à la descente aux enfers de son papa dont les yeux verts ont laissé place à un regard gris et vide, un regard dans lequel il ne trouve plus trace d'aucune émotion si ce n'est la tristesse. Petit à petit, Simon va livrer avec ses mots le désarroi dans lequel l'affliction de son père le plonge, la colère qu'il ressent par rapport à cette mère qui ne se décide pas à rentrer et dont il doute de l'amour. Il va enfin nous dire ses peurs, ses rêves dans lesquels il se réfugie et toutes ces questions qu'il ressasse en son for intérieur et qui trouveront réponses grâce à Lily, la petite fille aux yeux violets.

Gilles Paris comme dans Autobiographie d'une courgette, donne dans Au pays des kangourous la parole a un enfant pour parler d'un sujet grave, tabou paraît-il : la dépression jusqu'à l'internement.
Le lecteur pour peu qu'il se laisse emporter par les mots de l'enfant plonge autant que lui dans le désarroi de la situation. Il se sent comme Simon impuissant, triste, chamboulé par l'image de ce père qui, renfermé dans sa douleur, ne peut plus s'occuper de son petit garçon. Ce fils avec qui pourtant il entretenait jusque-là devine-t-on, au fur et à mesure que Simon parle de lui, une relation fusionnelle et privilégiée. Un père qui, surtout, jusque-là comblait par sa présence continue, ses câlins, son amour et autant de moments partagés l'absence d'une mère carriériste tombée amoureuse de ce pays où elle travaille. Une mère dont Simon nous fait comprendre encore une fois avec des mots sans demi-mesure, et bien après avoir compris la raison de son non retour, à quel point elle est passée à côté de son rôle de maman.
"-Elle m'aime aussi.
-Bien sûr, Simon, que ta maman t'aime, me dit Lola un peu gênée. Toutes les mamans aiment leurs enfants.
Comment dire à Lola que maman ne m'a jamais dit "je t'aime"?"[...]
Suite de l'avis sur le blog, merci :)
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« le dimanche… on lit au lit ».

Le pitch vous donnera déjà une bonne approche de ce livre qui sort dans quelques jours : « Ce matin, j'ai trouvé papa dans le lave-vaisselle. En entrant dans la cuisine, j'ai vu le panier en plastique sur le sol, avec le reste de la vaisselle d'hier soir. J'ai ouvert le lave-vaisselle, papa était dedans. Il m'a regardé comme le chien de la voisine du dessous quand il fait pipi dans les escaliers. Il était tout replié sur lui-même. Et je ne sais pas comment il a pu rentrer dedans : il est grand mon papa. » Simon, neuf ans, vit avec son père Paul et sa mère Carole dans un vaste appartement parisien. En fait, le couple n'en est plus un depuis longtemps, la faute au métier de Carole, qui l'accapare. Paul est écrivain, il écrit pour les autres. Carole est une femme d'affaires, elle passe sa vie en Australie, loin d'un mari qu'elle n'admire plus et d'un enfant qu'elle ne sait pas aimer. le jour où Paul est interné pour dépression, Simon voit son quotidien bouleversé. L'enfant sans mère est recueilli par Lola, grand-mère fantasque et jamais mariée, adepte des séances de spiritisme avec ses amies « les sorcières », et prête à tout pour le protéger. Mais il rencontre aussi l'évanescente Lily, enfant autiste aux yeux violets, que les couloirs trop blancs de l'hôpital font paraître irréelle et qui semble pourtant résolue à lui offrir son aide. Porté par l'amour de Lily, perdu dans un univers dont le sens lui résiste, Simon va tâcher, au travers des songes qu'il s'invente en fermant les yeux, de mettre des mots sur la maladie de son père, jusqu'à toucher du doigt une vérité que l'on croyait indicible.

Et le ton est donné, pour un ouvrage touchant mais parfois drôle qui, à travers le regard d'un gamin de neuf ans perdu dans des soucis d'adultes, va se voir catapulté dans un monde dont il ignorait tout.

Difficile d'en dire plus sans trop éroder le mystère de l'histoire, mais j'ai adoré ce livre qui, petit à petit, permet d'approcher tout ce qui rend parfois la vie si difficile : le désamour, la solitude, la maladie, la mort… sans oublier tout ce qui l'embellit, fort heureusement : la fantaisie, l'amour, l'amitié, le rêve.

Un très joli livre à mettre entre toutes les mains.
Lien : http://www.le-celibat-ne-pas..
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Un livre sincère sur un sujet délicat, abordé depuis le regard d'un enfant de 9 ans. Ce qui permet de dédramatiser (un tant soit peu) le roman tout en illustrant le thème grave de la dépression : l'enfant raconte parfois naïvement et d'autres fois avec tant de lucidité ses impressions et sentiments, faits de surprise et d'incompréhension face à l'état de son père.
C'est une maladie ça ?? Ce regard vide et gris ("Sous ses yeux, il a des vilaines poches comme des petits sacs à soucis") ? cette absence ? ce manque d'intérêt ?... Eh oui, comme l'explique sa petite amie Lily, cela s'appelle la dépression, et c'est grave. D'ailleurs, le papa perdra bientôt goût à tout et tentera une "grosse bêtise".

Le roman magnifie la complicité d'un père avec son fils. le dimanche, ils "font légume" ensemble à regarder des DVD dans le grand lit, avec un plateau à grignoter. Ils écoutent et dansent ensemble sur les Black Eyed Peas. "Faire légume le dimanche".
La mère, quant à elle, se distancie des deux pour se donner pleinement à sa carrière de responsable de la zone Australie chez Danone. Une maman à distance qui envoie quelques cartes sommaires du Pays des kangourous...

En effet, ce roman aborde aussi l'effritement d'un couple, que la présence d'un enfant ne parvient même plus à souder.
n joli roman sur un thème grave, que l'auteur met en mots avec beaucoup de justesse.
Lien : http://coquelicoquillages.bl..
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Je n'avais même pas terminé « L'été des lucioles » que, déjà, j'avais réservé « Au pays des kangourous » à la bibliothèque. Je l'ai donc attendu patiemment et il est arrivé pour moi.
Quand je l'ai eu entre les mains, je n'ai pas pu m'empêcher de mettre ma lecture en cours en pause car j'avais trop hâte de le commencer.

Encore une fois, je ressors de cet ouvrage complètement conquise par l'écriture de Gilles Paris et j'ai l'impression que, comme pour « Autobiographie d'une courgette », les mots ne vont pas être assez forts pour exprimer mon ressenti.

Ce roman commence très fort et quand on lit la première phrase : « Ce matin, j'ai trouvé papa dans le lave-vaisselle », on ne peut s'empêcher d'avoir envie de continuer pour en savoir plus.
L'auteur aborde plusieurs thèmes de notre société qui sont assez triste mais, comme toujours, il a réussi à dédramatiser avec beaucoup de talent.

Je me suis immédiatement attachée à Simon, notre narrateur de neuf ans. J'ai eu un gros coup de coeur pour ce personnage qui a réussi à me faire retomber en enfance le temps d'une lecture. le fait que l'histoire soit racontée de son point de vue nous permet de ressentir ses émotions et de nous poser les questions avec lui. On a envie de le consoler et de l'aider. La relation qu'il a avec son père est magnifique et j'ai été très touchée par cet attachement père/fils.

J'ai également adoré le personnage de Lily, cette petite fille très mystérieuse. J'ai adoré sa maturité et son esprit très ouvert ainsi que tout le mystère qui tourne autour de cette fillette.
Quant à Lola, la grand-mère, j'ai aimé la fraîcheur et la bonne humeur qu'elle apporte au roman avec son groupe de « sorcières ».

Bravo Gilles pour avoir réussi à me toucher, m'émouvoir et me faire rire. J'ai hâte de lire « Papa et maman sont morts » qui est en réservation à la bibliothèque en attendant de pouvoir rejoindre la mienne.
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J'aime la couverture toute simple, épurée. Beau livre, merci aux Editions Don Quichotte, très agréable à lire de part son format ni trop grand, ni trop petit. Pas de fautes de frappe (si si y a des livres où c'est le cas).

Merci à Gilles Paris - Un grand merci - pour m'avoir permis de lire son roman en me l'offrant, je l'ai donc lu pas longtemps après avoir dévoré "Autobiographie d'une courgette" :)

Simon est un petit garçon qui a une maman quasiment absente de sa vie, elle vit loin, en Australie, au pays des kangourous... Son travail l'a menée loin d'eux. Simon aimerait que sa maman lui dise qu'elle l'aime, qu'elle l'embrasse, qu'elle joue avec lui... mais non, sa maman fait les boutiques, voit ses copines, fait du sport lorsqu'elle vient les voir à Paris... et elle se dispute beaucoup avec son papa.

Son papa Paul est un écrivain bohème qui écrit des livres pour les autres, il est là pour Simon jusqu'au jour où tout bascule... Lola sa grand mère s'occupe alors de lui, il quitte son univers familier pour s'installer chez elle. sa maman lui manque, son papa lui manque... Simon rencontre alors Lily, une petite fille qui sait le rassurer, un ange gardien en quelque sorte.

Il va alors peu à peu comprendre ce qui se passe, il va grandir, découvrir les secrets de Lola, la maladie de son papa, l'absence de sa maman...

Simon n'est jamais seul, rêveur, il ferme les yeux et... il réinvente ce qui devrait être, ou pas.

Vous avez compris, j'ai beaucoup aimée cette lecture, l'histoire est racontée par les yeux d'enfant de Simon, avec la naïveté de l'enfance, les interrogations, les peurs, les espoirs... En le refermant je me suis dit qu'écrire une chronique qui ne dit pas tout me seras difficile, car il ne faut pas tout en dire, il y a des surprises... Je vous laisse les découvrir.
Lien : https://influensmans.com/au-..
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Conquise! Et comment ne pas l'être par le ton de ce livre, par l'univers créé...Comment ne pas fondre pour ce petit garçon au regard rafraîchissant, qui nous emmène dans son monde magique et doux...
le thème de la dépression est abordé avec tellement de distance que ce qui pourrait sembler lourd devient magie, merveilleux, innocence...Au pays des kangourous, c'est pour moi comment dire "le pire" avec le meilleur...du grand art.
Lien : http://cecil-a-lu.webnode.fr
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Du rire aux larmes et inversement ! Excellent !
Gilles Paris, l'auteur de Autobiographie d'une courgette, donne cette fois-ci la parole à Simon, neuf ans. Un matin, ce dernier retrouve son père complétement coincé dans... le lave-vaisselle. On peut croire au départ à un très mauvais burlesque mais le lecteur saisit au fur et mesure de la découverte de la vie de Simon que sa grand-mère Lola fait tourner les tables, que sa mère est au pays des kangourous et qu'il fait la connaissance d'une évanescente Alicia. Et dans tout cela, Simon évolue entre rires et larmes et fait son apprentissage de la vie !
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