Thriller psychologique- paranoïa- amitié.
Cass revient d'une soirée sous l'orage par la forêt, elle croise une voiture à l'arrêt mais la personne qui est à l'intérieur ne lui fait aucun signe, pas de demande d'aide.
Le lendemain, elle apprend que la femme qui était dans la voiture est morte assassinée.
Elle commence à prendre peur, et si l'assassin l'avait vue, elle se sent menacée surtout qu'elle reçoit des coups de téléphone anonyme.
Heureusement que son mari Matthew est très présent et prend soin d'elle ainsi que son amie d'enfance, Rachel.
Une intrigue alléchante qui montre comment la paranoïa peut vite être présente; on ne se lasse pas malgré quelques longueurs mais les pages se tournent vite pour connaitre la fin de l'intrigue.
Un bon moment.
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Ce qui me plait avec cette autrice, c'est que lorsqu'on débute les premières lignes de l'un de ses romans, nous savons pertinemment que nous ne pourrons plus le lâcher. Et ce, même si, au final, l'histoire est assez simple. Ici, nous suivons une femme qui ne s'arrête pas sur le trajet lorsqu'elle voit une voiture sur le bord du chemin. Il est tard, il pleut… et le lendemain, elle apprend que la femme qui se trouvait à bord a été tuée. Et il commence à se produire des choses étranges autour d'elle ; appels anonymes, impression d'être observé, etc. Et si, le meurtrier la menaçait par crainte de s'être fait identifier ? Les pages défilent, et mette en lumière un jeu de piste et de manipulation perverse. Même si la fin est prévisible, et que j'ai trouvé quelques longueurs, il n'en reste pas moins que j'ai passé un très bon moment de lecture. Juste assez d'intrigue pour nous donner envie de toujours en lire un peu plus… pour se rendre rapidement au bout des quelques 400 pages.
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Comme j'avais beaucoup aimé « Derrière les portes » de B.A.Paris , j'ai acheté « Défaillances » dès sa parution en poche .
Ce qu'il y a de bien avec cette auteure , c'est qu'on est plongé dans l'intrigue dès les premières pages ! Les personnages sont connus dès le début et l'action rapidement installée sans description inutile .
Comme elle n'est pas venue en aide à une automobiliste arrêtée en pleine nuit dans la forêt et que cette femme est assassinée peu après , Cassandra se sent coupable . Ce sentiment de culpabilité , des coups de téléphone muets répétés , la peur , ainsi que des pertes de mémoire transforment son quotidien en sombres journées .
Qui la harcèle et est entré chez elle à plusieurs reprises ?
Est-elle victime, comme sa mère , de démence précoce ou cherche-t-on à la rendre folle ?
Très vite , on ressent un climat d'angoisse qui ne fait qu'aller crescendo . B.A. Paris réussit parfaitement à nous faire ressentir la dépression et l'abîme dans lesquels s'enfonce l'héroïne un peu plus chaque jour .
Pas de sang ni de poursuites ou d'enquêtes à rebondissements , mais un climat oppressant bien installé . Aucune longueur dans cette histoire dont le titre aurait pu être « Machiavélisme » . On fait rapidement défiler les chapitres ( même si dès la moitié , on pressent la vérité ) ! A quand le troisième livre de B. A. Paris ?
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Voici une intrigue captivante. Une jeune femme qui bascule petit à petit dans la folie, entre culpabilité et trouble de mémoire. Elle ne sait plus ce qu'elle a fait, ce qu'elle a vécu... Elle a tellement peur d'être atteinte par la maladie de sa mère (démence précoce). Ce livre traite de la maladie, de la mémoire, de la culpabilité, une excellent thriller psychologique.
Malgré que je me doutais d'une partie de l'énigme, j'étais bluffée par le final.
On lit ce livre en imaginant parfaitement les personnages, les lieux comme dans un film !
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Avec ce roman, j'ai retrouvé la plume complètement addictive de BA Paris. Quand on a tourné les premières pages, on a plus envie de s'arrêter. C'est totalement prenant. le sentiment est renforcé par des chapitres cours et une plume incisive.
Dans ce roman, on découvre Cass qui mène une vie paisible. Mais un soir, pressé par le temps et contre toute attente, elle choisit pour rentrer chez elle, un chemin qu'elle emprunte peu car jugé trop dangereux.
Lorsqu'elle croise une voiture arrêté, elle décide de ne pas s'arrêter ayant trop peur de l'orage en cours. le lendemain elle apprend que la conductrice de cette voiture a été retrouvé assassinée.
A partir de là, Cass n'éprouve plus que culpabilité et l'angoisse s'intensifie car elle a peur que l'assassin l'est vu sur cette route. Des coups de téléphones anonymes commencent et le cercle vicieux de la torture mentale commence.
Plus les chapitres avancent, plus on ressent l'agonie du personnage de Cass qui est coincé entre réalité et imagination.
A découvrir !
Elise.
Instagram : etliselesmots
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