AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

Michel Gourdon (Illustrateur)2.5/5   1 notes
Résumé :
Tuer sa femme quand on ne l'aime plus, ce n'est peut-être pas la meilleure solution pour atteindre à la félicité.
Revêtir la défroque d'un mort, cela peut être payant si le mort est riche, mais il faut tout prendre, tout assumer, la fortune... et le reste.
Revenir narguer les siens quand on est officiellement passé de vie à trépas, c'est une façon de mesurer le chemin parcouru, mais c'est aussi bougrement dangereux.
Tout évolue si vite dans la ... >Voir plus
Acheter ce livre sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten
Que lire après Les mues et les mortsVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
Je suis furieux d'avoir consacré du temps à la lecture de ce livre. Monter toute une intrigue en faisant semblant de croire que la police ne sait pas ce que sont les empreintes digitales il faut l'oser ! C'est un pur foutage de gueule. C'est bien dommage que Brice Pelman, qui par ailleurs sait captiver le lecteur, utilise ses qualités de conteur pour nous servir tant de sornettes.
De plus dans ce roman le hasard fait trop bien les choses. Jusqu'à l'écoeurement.
Ce n'est pas digne d'un auteur qui se respecte. Après quatre lectures voilà son plus mauvais roman.
Avis aux amateurs !
Commenter  J’apprécie          242

Citations et extraits (10) Voir plus Ajouter une citation
Mon état ne s'améliora pas, mais je ne revis jamais mon médecin car j'étais arrivé à la conclusion que mes maux, loin d'être d'origine nerveuse, avaient une cause organique certaine. J'en fus convaincu le jour où, profitant d'une absence de Monique, je découvris dans le placard de la cuisine une petite boîte rectangulaire, à peine plus grande qu'un paquet de cigarettes, renfermant un désherbant actif à base d'arsenic. J'étais bien placé pour savoir qu'aucune mauvaise herbe ne poussait dans notre appartement et j'eus tôt fait de comprendre que je venais de mettre la main sur la véritable origine de ma "contrariété". En deux mots comme en un. Monique m'empoisonnait.
Commenter  J’apprécie          80
L'atmosphère du Turlupin s'était sérieusement échauffée et j'avais moi-même puisé dans deux Himbeergeist un tonus de bon aloi quand je vis se profiler dans l'escalier une paire de jambes, gaînées de nylon, qui me parurent tout à fait prometteuses. Avant même de voir le visage de la femme, je compris que c'était Yvonne.
C'était elle, en effet. Je ne prétends pas l'avoir reconnue à la photo qu'elle m'avait envoyée dans sa première lettre "pour me faire prendre patience", car cette photo-là, si elle me montrait Yvonne dans le plus simple appareil, ne laissait pas une grande place au visage. Je reconnus Yvonne à son attitude. Elle était seule et paraissait égarée. En outre, elle avait un type français prononcé. C'était une jolie femme brune, taille mannequin, mais, à la regarder de près, je lui trouvais mauvais genre. Elle n'avait pas dû faire ses études au couvent des Oiseaux. Son manteau de pluie rouge était nettement trop voyant, son visage trop peint, sa poitrine trop provocante. Elle aurait pu faire une bonne barmaid, peu pointilleuse sur les heures supplémentaires.
Commenter  J’apprécie          40
- Je ne vois rien là d'extraordinaire.
- Non ? Eh bien ! il est temps que je vous dise qui est Camille.
C'est une grenouille ! Oui ! parfaitement, une grenouille verte que j'avais apprivoisée dans ma baignoire. Robert tenait essentiellement à la marier et passait le plus clair de ses loisirs à lui trouver un mâle.
Commenter  J’apprécie          152
Le lendemain matin, nos adieux furent simplifiés à l'extrême du fait que Monique ne se réveilla pas pour me voir partir. Le jour s'était levé sur un ciel étincelant. Par la fenêtre, je jetai un dernier coup d'œil sur les monuments funéraires du Père-Lachaise, puis, bouclant allègrement mon bagage à main, je quittai mon domicile comme un oiseau, sa cage.
Commenter  J’apprécie          110
Quand j'entrai, je ne remarquai aucune femme. La moitié des tables étaient occupées par des hommes au teint fleuri, au verbe haut, qui n'attendaient pas d'avoir fini leur chope de bière pour commander la suivante. La plupart se faisait servir en même temps un petit verre d'Himbeergeist (1). Les plaisanteries étaient un peu grasses, mais l'ambiance, tout compte fait, assez bon enfant. Je m'installai à la table la plus proche du bar, d'où j'avais vue sur le bas de l'escalier., afin d'être bien sûr de ne pas manquer Yvonne.
Commenter  J’apprécie          51

Video de Brice Pelman (1) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Brice Pelman
Hommage au romancier français Brice Pelman (dit aussi Pierre Darcis).
autres livres classés : chirurgie esthétiqueVoir plus
Acheter ce livre sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten


Lecteurs (1) Voir plus



Quiz Voir plus

Jeu du vrai ou faux [44. Onomatopées animales]

1. Le son caractéristique des congénères réels de Woody Woodpecker est «pic! pic! pic!».

VRAI
FAUX

10 questions
54 lecteurs ont répondu
Thèmes : animaux , onomatopées , sons , bruitCréer un quiz sur ce livre

{* *}