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EAN : 9782265045224
Fleuve Editions (01/06/1991)
3.8/5   5 notes
Résumé :
roman de 1980

Le mal dont souffre Didier? L'amour fou, une passion à fleur de peau sous le brûlant soleil du Midi.
Et voilà qu'un beau jour cette passion prend l'aspect terrible du meurtre. Et d'un piège inextricable.

Un e histoire d'amour et de mort menée de main de maître.
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Critiques, Analyses et Avis (2) Ajouter une critique
Partir en camping-car en vacances avec ses vieux, quand on a seize ans ce n'est pas forcement jour de fêtes.
Cependant, quand une jeune femme autour de la trentaine se charge de faire votre éducation sexuelle les journées paraissent moins longues...et les nuits trop courtes.
Mais dans ce tableau idyllique, viennent s'inviter quelques cadavres. A seize ans ce n'est pas tous les jours facile d'être un assassin même si c'est pour la bonne cause.
Un Spécial-Police des éditions du Fleuve noir particulièrement réussis. L'auteur a trouvé le ton juste pour faire parler son jeune personnage, l'intrigue est bien construite avec quelques rebondissements qui stimulent le lecteur.
Un bon roman policier Made in France que pourrait s'approprier un enfant de Claude Miller...
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Un vrai régal !
L'action se passe à Saint Tropez, Ramatuelle...il y a la plage, les vignes, le soleil...et il y a Didier, en vacances en camping-car avec ses parents, il a 16 ans et il va être mêlé, malgré lui, à une affaire criminelle...et il va aussi découvrir l'amour.
J'ai adoré, l'action, l'écriture, le lieu, l'ensemble.
Un extraordinaire moment de lecture.
Top !
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Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
Le silence, ça m'a flanqué un coup, j'ai cru qu'elle m'avait repéré derrière la fenêtre, je me suis ratatiné sur mes talons, je les avais à zéro. Mais non, rien. Je l'ai entendue qui marchait dans la pièce, elle se souciait de moi comme d'une guigne. Alors, tout doucement, tout doucement, je me suis redressé...Et qu'est-ce que je vois ? La voilà qui retire son jean. Une jambe puis l'autre, pas pressée. D'un seul coup, ma gorge est devenue comme un buvard. Est-ce qu'elle allait se mettre nue ? Pour de bon ?
J'ai seize ans et je dois avouer que je suis pas très avancé pour mon âge. La seule aventure que j'ai eue, c'était avec Jeanine l'été dernier. Et encore ! je l'ai jamais vu déshabillée, Jeanine. Elle avait quatorze ans et elle portait des culottes Petit Bateau, mes mains n'ont jamais franchi leurs élastiques. On se contentait de s'embrasser sur la bouche avec la sensation de faire un vache de péché. Alors, autant vous dire que mon expérience des femmes...bon.
[.....................]
La femme, elle, tranquille comme Baptiste. En petite culotte - vraiment petite, alors, et transparente que ses fesses étaient pour ainsi dire à l'air libre - elle s'est mise à déborder la couverture du lit à baldaquin. Elle avait de longues jambes, bien bronzées, pas maigres comme celles de Jeanine, non, bien en chair au contraire, lisses comme de l'ivoire. Il me semblait qu'en tendant les mains, j'aurais pu les toucher, mais j'avais bien trop peur d'être découvert pour faire le moindre geste. Et puis j'avais conscience que j'en étais encore qu'au prélude, j'allais pas tout gâcher.
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4ème de couverture du Spécial-Police de 1980 :
La campagne était toute noire, j'y voyais rien quand je suis sorti, je me suis assis sur une grosse pierre et j'ai allumé ne Gauloise. Au bout d'un moment, j'ai commencé à distinguer des trucs dans l'obscurité, un palmier, des cyprès, une maison dans les vignes...Il n'y avait pas de lune, mais le ciel était...comment dit-on déjà ? luminescent. Et puis, tout à coup, une des fenêtres de la maison s'est éclairée, ça a fait un grand carré jaune dans la nuit et j'ai plus vu que lui.
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- Sacrée putain de chiotte ! il a dit en donnant un méchant coup de pied dans un pneu.
M'man a haussé les épaules.
- C'est pas ça qui la fera avancer !
- Ah, je t'en prie, épargne-moi tes commentaires !
- Mais c'est vrai, à la fin ! Tu t'énerves, tu t'énerves...On partira demain, voilà tout !
- Qu'est-ce que je fais ? j'ai demandé. Je remonte la tente ?
Papa m'a lancé un regard à m'étendre net sur le carreau.
- Toi, si j'ai un conseil à te donner, c'est de te faire oublier...
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- T'en fais pas, je lui ai dit en la quittant, tout va s'arranger, tu verras...
C'était pas de l'optimisme - juste la méthode Coué.
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Vu qu'il était déjà tard et qu'on mourait de faim, on a mangé vite fait des œufs au plat et des saucisses de Francfort. Les œufs sentaient la paille, la poule qui les avait pondus elle se rappelait plus quand. Et pour finir, confiture d'abricots.
J'en ai ras-le-bol de la confiture d'abricots, m'man l'achète par boîte de cinq kilos, c'est plus économique elle dit. Quand on arrive au fond du récipient, on a la pénicilline en prime.
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Vidéo de Brice Pelman
Hommage au romancier français Brice Pelman (dit aussi Pierre Darcis).
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