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sur 1429 notes
C'est la troisième série de Pierre Pevel que je découvre avec le Paris des merveilles. Nous découvrons Paris au début du XXème siècle, avec sa tour Eiffel, ses immeubles modernes mais aussi ses fées, ses mages, ses enchanteresses et autres créatures qui cohabitent avec les hommes.
Parmi eux, Louis Griffont se retrouve mêlé à une histoire d'objets magiques volés. Il doit aussi composer avec la baronne de St-Gil qui semble mêlée à cette affaire. Mais, sous ce qui semble une simple enquête pour vol, se cache une histoire bien plus complexe...
C'est sans aucun doute le roman le plus léger que j'ai lu de Pierre Pevel jusqu'ici. J'ai aimé le mélange entre le Paris du début du siècle très bien décrit et les éléments magiques: l'outremonde d'Ambremer et l'Onirie. Les éléments magiques sont bien présents et les créatures extraordinaires aussi. J'ai notamment bien aimé le chat ailé british Azincort.
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Ce qui est assez cocasse, c'est que Les Enchantements d'Ambremer est le troisième roman que je lis qui se déroule durant cette période, et dans chacun de ces trois romans, le récit est celui d'une enquête. Je ne sais pas ce que cette période ajoute aux récits policiers, mais il doit bien y avoir un lien… L'absence de technologie est peut-être une des raisons pour lesquelles écrire un récit policier est plus simple, mais c'est quand même étrange que les auteurs privilégient la période de la fin du XIXe siècle et du début du XXe pour cela. Par conséquent, j'ai trouvé la structure de l'intrigue assez banale, j'avais déjà lu quelque chose de similaire. Néanmoins, ce n'est pas tant l'intrigue qui m'a intéressée mais davantage le style d'écriture et l'univers.

Le récit débute avec un propriétaire de casino qui demande à Louis Griffont d'enquêter sur un joueur qu'il suspecte de tricher. L'enquête emmène le mage à découvrir un trafic d'objets enchantés, puis à côtoyer des personnages plus sombres, jusqu'aux voleurs et meurtriers. Cependant, l'origine de l'intrigue, à savoir le trafic d'objets enchantés, est très vite écartée. Les protagonistes se retrouvent embarqués dans des histoires qui les dépassent tous à un moment ou à un autre, et ils oublient bien vite pourquoi ils en sont arrivés là. C'est dommage car cela montre qu'il n'y a pas une réelle unité dans l'intrigue. Ce manque de cohérence peut ne pas se remarquer pour certains mais peut également beaucoup gêner d'autres.

Les Enchantements d'Ambremer est une intrigue aux multiples péripéties et rebondissements que Pierre Pevel maîtrise totalement. Je n'ai cependant pas accroché à toutes les péripéties. Je me suis sentie comme spectatrice de certaines, notamment lorsque les personnages connaissent quelque chose qu'ignore le lecteur. En général, je me sens portée par l'intrigue dans ces moments-là, et je suis curieuse de voir ce que les personnages ont compris que moi je n'ai pas encore eu l'occasion d'apprendre, mais dans ce cas, je me suis sentie sur le banc de touche un certain nombre de fois, jusqu'à oublier momentanément l'action tellement je me concentrais davantage sur les personnages.

Comme le titre du roman l'indique, l'intrigue se déroule à Paris. Mais pas seulement. Il y a deux autres lieux dans lesquels les personnages vont : Ambremer et l'Onirie, le Troisième monde qui est aussi nommé le domaine des rêves et des cauchemars. Paris est évidemment le lieu le plus développé, mais j'attends des deux prochains tomes d'en savoir plus sur Ambremer (dont nous ne savons pas grand-chose, contrairement à Paris qui est une référence dans le monde réel) et d'avoir quelques explications sur l'Onirie (notamment parce que je trouve qu'il est arrivé dans le récit et reparti bien trop vite).

Le lieu qui est le plus intéressant du point de vue de la fantasy est évidemment Ambremer. C'est une sorte de monde parallèle où toutes les espèces surnaturelles vivent en peuples distincts. Nous y trouvons le peuple des fées, celui des dragons et celui des licornes, puis d'autres espèces dont nous ne savons presque rien comme les gnomes ou les elfes. Les péripéties prenant place à Ambremer et les descriptions sont vite expédiées ce qui est vraiment dommage. D'un autre côté, j'ai un peu peur pour la suite car j'ai l'impression que les forces sont bien trop déséquilibrées entre les sorts des mages, l'immortalité des fées et les propriétés des artefacts magiques contre la simplicité des humains. Même si tout cela fait rêver, il ne faut pas écarter la cohérence et je suis sûre qu'en cherchant je pourrais trouver des failles dans la construction de l'univers. J'attends néanmoins de voir si davantage d'éléments nous sont donnés dans les deux prochains tomes.

Les premiers mots du résumé de la quatrième de couverture nous fournissent également la temporalité de l'intrigue : le début du XXe siècle et plus précisément en 1909. La première guerre mondiale n'est pas loin et elle est même évoquée par le narrateur. Mais c'est aussi une période où Paris est une des plus grandes puissances mondiales. Tout le monde envie les français pour leur capitale et la Tour Eiffel est son emblème depuis une vingtaine d'années. Malheureusement, comme je l'ai déjà mentionné lorsque j'ai parlé de l'intrigue, j'ai déjà lu des romans similaires dans leur cadre spatio-temporel, à Paris au XXe siècle, alors pour moi, cette temporalité perd tristement de son charme.

Dès le début, l'humour des personnages est très présent. Griffont est décrit comme un mage très respectable, avec une belle demeure et un domestique fidèle, mais d'un autre côté, il est également très espiègle. Nous retrouvons la même chose chez Isabel de Saint-Gil, la deuxième protagoniste du roman. Ainsi, les personnages principaux se retrouvent entre humour et sérieux pour mon plus grand plaisir. J'ai toujours de l'admiration pour les auteurs qui parviennent à faire vivre leurs personnages en les rendant drôles. Mais malgré ça, les autres personnages sont assez fades. Que ce soit les serviteurs de de Saint-Gil, de Griffont, ou le policier qui mène l'enquête, ils ont tous une personnalité similaire : obéir aux ordres en fermant les yeux, avoir de bonnes idées au bon moment et faire des actions au service des deux protagonistes. Nous ne pouvons pas nous identifier à eux dans la mesure où ils semblent presque passifs durant toute l'histoire. Tout paraît trop facile et même si j'ai beaucoup apprécié les personnages principaux, il n'en reste pas moins que les autres sont très peu réalistes.

La Reine Noire en revanche, l'antagoniste, n'est pas convaincante. Elle n'est physiquement présente dans le roman que pendant quelques pages, et n'est sinon qu'évoquée. Elle est complètement mise au second plan, et sa personnalité n'a pas le temps d'être développée. À part être présentée comme une méchante caractéristique, elle n'apporte pas grand chose au roman. Ses sbires ou même d'autres antagonistes humains sont bien plus intéressants et présents dans le roman. C'est la raison pour laquelle je trouve le récit assez déséquilibré au niveau des personnages, avec des protagonistes forts et des antagonistes presque inexistants.

Le roman s'ouvre sur une préface qui donne le ton sarcastique du récit avec le narrateur qui s'adresse directement au lecteur et lui présente l'univers du Paris des Merveilles. Cela lui fait gagner du temps pour l'intrigue car en deux pages de préface, il nous présente l'univers dans sa globalité. Ça peut sembler bâclé, mais en réalité, c'est très finement fait et nous nous retrouvons happés dès ces premières pages dans un univers uchronique. Plus généralement dans le roman, le narrateur est très présent, il ne s'efface pas au maximum comme dans la majorité des récits écrits à la troisième personne. Je ne sais pas si ce roman est une exception ou une généralité parmi la bibliographie de Pierre Pevel, mais je lui ai trouvé un style d'écriture dans la continuité De Stendhal ou Zola, que j'apprécie particulièrement. Cela se ressent notamment lorsque le narrateur donne son avis plus ou moins sarcastique sur les personnages. Pierre Pevel a également tendance à utiliser une focalisation externe, qui est très peu employée dans les romans de fantasy. J'aime beaucoup moins cette utilisation car j'ai l'impression d'être mise de côté en tant que lectrice, d'être simplement spectatrice d'une pièce de théâtre.

Cependant, nous ne pouvons pas enlever les grandes qualités de l'écriture, notamment avec la plume tout en légèreté, en facilité, avec laquelle Pierre Pevel nous embarque dans son monde. Tout semble facile et couler de source. de belles descriptions du monde, des lieux et des personnages nous sont fournies et j'aime particulièrement lorsque l'auteur prend le temps de nous expliquer comment il a pensé son monde. Néanmoins, bien que certaines descriptions (notamment des personnages) soient clichés, voire sexistes avec les femmes qui se doivent d'avoir des tailles fines et des formes là où il faut, je n'ai pas trouvé cela dérangeant. Sans vouloir dire que je cautionne que les femmes soient enfermées dans des canons de beauté, j'ai plutôt trouvé que ça collait plutôt bien avec le regard que la société avait sur les femmes à cette époque.

Ce qui peut également frapper est la longueur des scènes et des péripéties. Celles-ci sont très courtes, à l'instar des plans au cinéma. Chaque chapitre (également très court, moins de dix pages chacun) est donc composé de deux à plusieurs scènes. Il y a donc beaucoup d'actions dans ce roman, mais toutes ces péripéties sont distillées en plus petites péripéties, parfois racontées du point de vue d'un personnage puis d'un autre. le rythme donné au récit donne toujours envie de tourner les pages pour savoir la suite, sans pour autant être addictif.

Points positifs :
– l'utilisation du narrateur
– la fertilité de l'univers
– la relation entre Griffont et de Saint-Gil
– les belles descriptions

Points négatifs :
– la fin bâclée

Lien : https://comptoir-des-connais..
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Cela fait un moment que cette jolie édition du "Paris des Merveilles" attend patiemment dans ma bibliothèque. J'en avais entendu beaucoup de jien et en la découvrant en librairie, je n'avais pu résister. Qu'en est-il donc de ce 1er tome ?

L'univers décrit par Pierre Pevel est sublime. Un Paris des années 20 fantasmé, où le féerique de mêle au réel. Tout y est très bien construit, imaginé et intégré. On imagine parfaitement les mages et leurs "Club", les gnomes et elfes au milieu des parisiens guindés, le royaumes "fantasy" d'Ambremer.

Les personnages sont tous très sympathiques. On s'attache rapidement au jovial Griffont, l'aventureuse Isabel, et a tous les (nombreux !!!) autres personnages mais il y a quand même quelques défauts.
Déjà, il y a beaucoup de personnages présentés d'un coup (ce qui consolidé l'univers mais nous perd parfois), mais je n'ai pas non plus été tenu en haleine par l'histoire. Elle est très chouette mais je ne me suis pas suffisamment senti impliqué, trop disdolu pour être retourné par les révélations.

Pour autant, "L'enchantement d'Ambremer" était une lecture plaisante. J'espère que le tome 2 sera plus immersif.
Lien : https://www.instagram.com/p/..
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Merveilleux!
L'auteur a créé un Paris dans lequel il y a des arbres qui parlent, des chats volants dotés de pouvoirs fascinants, une tour Eiffel en bois blanc luminescent... Et dans cette ville des merveilles vivent des mages, des magiciennes, des fées, des licornes, des dragons...
Le royaume des fées est accessible par une ligne de métro, tout simplement!
Isabel vit de vols et de trafics illicites; le mage Griffont est sollicité pour confondre un tricheur dans les parties de cartes.
Leur chemin va se croiser et, ensemble, ils mèneront l'enquête.
Je recommande vivement ce roman; d'ailleurs je lirai la suite.
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Pas besoin de subir un enchantement par Isabel de Saint Gil pour être envouté par ce roman qui allie astucieusement le Paris du début 1900 avec un monde parallèle peuplé de dragons, gnomes, fées, ogres, chats volants et autres créatures fantastiques. Même les cauchemars se matérialisent pour dévorer leurs proies.;

Les parisiennes équipées d'ombrelles et bottillons à lacets et coiffées de chapeaux à plumes ou à fleurs. Les hauts de forme ou melons pour les hommes affichant de belles bacchantes en vogue à l'époque, les fiacres dans Paris, l'arrivée des premières automobiles pétaradantes dans les rues, la création des brigades du Tigre par Clemenceau. Ces belles descriptions qui nous plonge dans le Paris de la Belle Époque.

Des passerelles permettent de passer d'un monde à l'autre et bien que peu d'humains se rendent dans le monde magique, les êtres fantastiques, quant à eux, sont parfaitement intégrés dans le monde des humains.

L'intrigue mélange avec bonheur le roman d'espionnage, d'enquête et d'aventures avec légèreté et humour. Les personnages principaux, le mage Hippolyte Griffont et la belle Isabel de Saint Gil, forment un duo très réussi. Ici pas de temps mort, l'action est omniprésente et rend la lecture très agréable et prenante.

Un petit bémol toutefois, la bataille finale contre l'impitoyable reine noire est un peu bâclée mais nul doute que c'est pour mieux la retrouver dans les tomes suivants.

Une très bonne lecture ado qui ravira également tous les adultes qui ont gardé un âme d'enfant.
Un grand merci à @Phoenicia pour cette heureuse pioche dans ma PAL.
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Prenez Paris dans le début du 20eme siècle, implantez y quelques elfe, troll, gobelin et magicien, un soupçon de chat ailé, plantez quelques arbres savant et finissez par une tour Eiffel en bois blanc, vous voici dans la Paris des merveilles.

Un peu déroutant au début, une fois que tout est mis en place on ne lâche plus le livre.
Monsieur Pevel arrive à nous transporter dans cet univers, nous remplissant la tête d'images, de suspense et de mystères.

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Je suis passée totalement à côté de cette lecture tout du long, je lis très peu de lecture fantasy mais je voulais justement tentée, ce n'était peut-être pas l'ouvrage à prendre mais j'ai craqué sur la couverture que je trouve magnifique. Je crois que j'ai commencé à accrocher dans les dix dernières pages.

Je ne remets pas en question l'auteur ou le livre mais pour ma part je suis restée complétement hermétique à celle-ci.
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Imaginez Paris au début du 20e siècle. Non, pas celui que vous avez vu dans les films ou série, enfin pas tout à fait. Un Paris au confluent de trois mondes : celui des humains, l'Outremonde, royaume des fées, enchanteresses et magiciens, et l'Onirie, le monde des rêves et des cauchemars. Imaginez que ces trois mondes ne sont pas étanches, qu'il est possible (pas pour tout le monde) de passer de l'un à l'autre. Et vous voilà dans le Paris des Merveilles.

Dans ce premier opus Pierre Pevel nous emmène dans une enquête policière, en compagnie d'un mage puissant, Louis Denizart Hyppolyte Griffon, gentilhomme sympathiquement bougon et téméraire, et d'une belle ensorceleuse rayonnante et fraîche comme un soleil de printemps, Isabel de Saint Gil. Leurs retrouvailles et leur complicité les aideront à mettre en échec la Fée noire, aussi vénéneuse que la Maléfique de la Belle au bois dormant, et ses acolytes. Tout ceci avec le concours d'un enquêteur subtil et des célèbres Brigades du Tigre (description de Pujol et Valentin plus vraie que nature), sans parler de barbouzes russes, de trafiquants d'objets magiques, de mages plus ou moins honnêtes, bref, tout une galerie de personnages ou de créatures.

Il y a du « Harry Potter » mais en moins noir dans cette série : un complot, les forces du bien contre les forces du mal, les liens entre le monde des humains et le monde de la magie. La plume de Pierre Pevel est plus légère et envoûtante, les personnages charmants, le style frais, le récit bon enfant, et l'humour très présent. L'auteur installe rapidement le contexte, l'intrigue, les personnages.

L'ambiance est plutôt drôle et désinvolte, malgré les combats, les pièges, les gargouilles tueuses, car ce sont les chats volants à l'humour très british, les lézards papillonnants ou les arbres philosophes qui donnent le ton. le style de l'auteur parvient sans problème à faire naître dans notre imagination des images claires de ce Paris merveilleux.

On plonge avec délice dans cette histoire si bien racontée, et on a hâte de se lancer dans les suites des aventures de nos si agréables héros.
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Je ne vous narrerai pas le résumé car le nombre de critiques sur ce roman est impressionnant, je vous dirai simplement que je ressors enchantée de ma première lecture de Pierre Pevel et que je vais de ce pas découvrir le tome 2 et me replonger avec délice dans ce Paris féerique, merveilleux, un peu angoissant également (merci les gargouilles). Griffont et Isabel forment un duo explosif et piquant dont j'ai hâte de lire les brillantes réparties.
J'ai été impressionnée par la rapidité avec laquelle j'ai adhéré à ce monde, brillamment présenté par l'auteur en avant-propos, quelques pages pour planter le décor.
J'ai trouvé que l'enquête n'était pas le plus important finalement, plutôt un prétexte pour nous faire voyager entre les mondes.
Merci
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Je vais commencer par ce que je n'ai pas aimé dans ce livre (plus rapide car il y a peu de choses!):
l'intrigue (elle ne m'a pas intéressée, trop naïve à mon goût) et le (trop grand) nombre de personnages (dont certains ont vraiment des rôles très mineurs) et qui à mon goût n'apportait pas grand chose, à part me perdre dans les liens qui les reliaient les uns aux autres.

Ce qui m'a enchantée dans ce livre:
L'univers "semi-fantastique" (comment le qualifier?) de cette histoire. L'histoire se déroule dans un Paris du début du XXe siècle, mais un Paris où se mêlent l'Homme et les créatures imaginaires (mages, fées, licornes, gobelins, arbres et chats qui parlent et j'en passe). J'ai adoré ce mélange de fantastique et de réel. J'ai aimé ce Paris dans lequel, par une rail du métro, nos personnages peuvent atteindre le royaume des fées.

J'ai aimé les personnages, tellement hauts en couleur, du mage Griffont et d'Isabel. Coup de coeur pour Azincourt, la chat ailé compagnon de Griffont qui, pour se donner un genre, parle avec un accent anglais. Qui s'endort sur le courrier privé de Griffont pour en prendre connaissance (et oui, ça se passe comme ça pour les chats aillés, ce qui en fait des créatures très cultivées).

J'ai aimé, pour terminer, l'humour très présent.

Pour résumer, un livre que je ne recommande pas forcément à qui cherche une bonne intrigue (et encore, ça n'engage vraiment que moi), mais que je recommande à quiconque souhaite s'évader dans un univers merveilleux où l'humour est bien présent.

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