Va falloir faire le ménage ! On va leur mettre notre phare dans le fondement et en faire des rouleaux de printemps !
la suite valait son montant de moutarde de Meaux.
Ça commence comme j'aime, une histoire humaine, un personnage attachant, des dialogues en béton et puis...et puis je sais pas pourquoi, ça part en vrille...hyper déçue au final pourtant je l'aime bien cet auteur et je continuerai de l'apprécier mais là, je vais me refaire la petite écuyère.
- Tu sais à quoi je pense ? Quand il pleut des omelettes, le diable enlève les assiettes… Je crois que c’est un proverbe irlandais, ou finlandais, je ne sais plus…
En tant que « responsable produits frais », j’avais des contacts avec toutes les épiceries solidaires de la région, et tous ces petits agriculteurs, poussant comme des champignons à l’automne, qui cultivaient naturel, bio, perso, les reins en compote, en désamour avec les pesticides et les engrais chimiques, attention, hein, pas des fondus qui, le matin, parlaient aux légumes pour qu’ils poussent mieux, ou leur chantaient du Bob Dylan pour les faire rougir, non, mais des types qui se souvenaient tout simplement des méthodes de pépé et mémé.
Les voitures noires sont comme des coins de mort enfoncés dans la chair des villes.
Quand, dans nos vies, tout devient sombre, nous faut-il absolument de la lumière ? C'est vrai, quand on y pense, la tendance, pour les cercueils, c'est le sapin clair. Quelquefois peint en blanc.
Je sais qu'il est sujet à caution de définir des parents rêvés, parce que les miens étaient déjà des parents de rêve. Mais, quitte à choisir, j'aurais bien aimé aussi faire partie de la famille Addams.
J'étais sûr à présent que c'était l'animal qui avait mis en scène, à l'inverse, le théâtre complexe et idiot de l'anthropomorphisme. Mais les bêtes doivent faire attention : à force de croire que les humains leur ressemblent, elles risquent de perdre leur joyeuse innocence.
Et des gens qui disent tout le temps : "En fait". (...) J'ai beau me formater pour entendre, à chaque fois, "en fête", ça ne marche pas. (...) Ça passera, comme est passé le tout aussi envahissant : "C'est clair" et le toujours prépondérant: "Tu vois". En fait, si, un jour, j'entends : "En fait, tu vois, c'est clair...", en fait, j'explose tout ce qui bouge autour de moi.