La lecture de
Proust m'est de plus en plus difficile, j'ai en effet l'impression de tourner en rond, de retrouver toujours les mêmes personnages, les mêmes situations, les mêmes questions. A croire que l'auteur les ressasse sans cesse sans jamais trouver de réponses. Où se trouve la belle poésie novatrice des débuts? Je ne comprends pas bien les liens qui l'unissent à Albertine, tantôt de l'amour plutôt froid, tantôt de la jalousie, cette jalousie que je trouve si stupide... Arriverai-je à bout de cette "recherche du temps perdu" sans trop gâcher le mien et mon plaisir de lire?