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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Voilà une histoire toute simple, psychologiquement complexe, qui nous vient de Colombie.
Damaris, femme noire et pauvre, la quarantaine vit avec Rogelio sur la côte. Lui est pêcheur, elle travaille comme domestique. Ils ne peuvent avoir d'enfants.
Damaris "à l'âge où les femmes se dessèchent " tombe sur une petite chienne à laquelle elle s'attache comme à un enfant..... mais Damaris traîne un passé douloureux
comme l'écrivaine et sa stérilité ( ou celle de son compagnon), elle le porte comme une plaie.
Dans le décor d'une nature sauvage, celle de la jungle, face à l'océan Pacifique ,
-d' énormes averses, de terribles tempêtes "avec un vent de ceux qui font s'envoler les tuiles et des tonnerres qui font trembler la terre"-, dans sa cabane ou l'eau se glisse entre les fissures et coule à l'intérieur, Damaris pleure son âme, et nous avec....

Un court roman profond et fascinant, qui me rappelle la plume du grand écrivain argentin Eduardo Mallea.

Un grand merci aux éditions Calmann-Lévy et NetGalleyFrance pour l'envoie de ce merveilleux livre.
#LaChienne #NetGalleyFrance
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Subsistant de leurs maigres revenus de femme de ménage et de pêcheur, Damaris et son mari Rogelio habitent un logement de fortune accroché à la montagne colombienne, entre mer et jungle. Désespérée à la quarantaine de n'être jamais tombée enceinte, Damaris adopte un jour un chiot, qui ne tarde pas à occuper une place centrale dans sa vie. Son univers s'écroule lorsque la chienne disparaît…


A mi-chemin de la nouvelle et du roman, le récit nous emmène dans un coin de Colombie, où quelques villages, perchés en lisière de jungle sur une côte escarpée battue par la mer, tentent de repousser les assauts d'une nature qui semble n'avoir de cesse que de les effacer. Entre marées et vagues traîtresses, pluies diluviennes et touffeur permanente, végétation envahissante et faune dévoreuse en tout genre, subsister est une lutte quotidienne d'autant plus usante qu'elle se déroule dans la pauvreté et des conditions de vie particulièrement rudimentaires.


Pourtant, le plus terrible pour Damaris reste son désir d'enfant inassouvi qui, au fil des ans, l'a encore bien plus minée qu'elle ne l'imagine. Comme un bois secrètement rongé de l'intérieur et sur le point de s'effondrer, cette femme n'est plus qu'une enveloppe vide prête à se déchirer au prochain accroc. Envahie par un amour dévorant et possessif que les fugues de la chienne finissent par muer en haine, elle se retrouve face à ses failles les plus intimes et les plus anciennes, dévastée par une culpabilité qui la ramène au drame vécu dans son enfance.


Au fil d'une narration sobre et implacable où l'amour s'avère aussi asphyxiant que la jungle qui enserre le village, Pilar Quintana incarne une histoire âprement tragique de désir d'enfant, dans un complexe portrait de femme d'une irréprochable justesse.

Lien : https://leslecturesdecanneti..
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Le désir maternel vu sous un angle complètement atypique, féroce et touchant.

Depuis quelques temps, je suis interpellée par les avis partagés sur ce petit livre qui nous vient de Colombie, j'ai donc eu la curiosité de m'en faire ma propre idée, d'autant plus qu'il s'agit d'un court roman à mi-chemin entre la nouvelle et le roman. Bien m'en a pris, j'ai beaucoup aimé me plonger dans cet univers très dépaysant, chaud et si humide « qu'un poisson aurait pu survivre hors de l'eau », sur la côte pacifique colombienne, entre océan déchainé et jungle menaçante, chaleur étouffante et pluie diluvienne. J'ai trouvé que Pilar Quintana a réussi à traiter le thème classique du désir maternel de façon à la fois originale, crue, violente et bouleversante.

Damaris et son mari pêcheur vivent dans un cabanon de fortune à la lisière de la jungle. La femme n'a jamais réussi à tomber enceinte malgré de multiples remèdes, décoctions d'herbes médicinales ou même recours à un chamane qui leur soutire les économies de toute une année. En vain. Cela est source d'une grande souffrance, d'une certaine mélancolie et d'une distance au sein du couple. A présent, Damaris a quarante ans, « l'âge auquel les femmes se dessèchent », selon les paroles ô combien pleines de sagesse de son oncle.

Lorsqu'elle décide, sur un coup de tête, d'adopter un chiot, l'animal devient une source exclusive d'amour. Elle va le choyer sans relâche, ne cessant de le caresser, de lui parler, de bien le nourrir, de veiller sur lui. Malgré toutes ces attentions, un jour la petite chienne disparait plongeant la femme dans un grand désarroi. Quelques semaines plus tard, le retour inattendu de l'animal qui ne cesse désormais de vouloir prendre son indépendance malgré les tentatives de sa maitresse de lui apprendre à ne pas s'enfuir ainsi va transformer le comportement de la femme, jusqu'au tragique.

C'est tout d'abord le dépaysement que m'a procuré ce livre qui m'a enchantée. La forêt qui entoure le cabanon est luxuriante, foisonnante et dangereuse, l'océan en contrebas cerné de rochers glissants de mousse et de vagues écumeuses menaçantes. le tout immergé dans un climat tropical étouffant. Cette nature, enveloppante, et est un peu à l'image de l'amour déployé par Damaris, à savoir âpre, étouffant, mystérieux, changeant.

« Elle ne voyait rien, juste ce qu'elle parvenait à éclairer plus ou moins avec la lanterne, des fragments, la pointe d'une immense feuille, la tige d'un arbre tapissé de mousse, le bout d'un énorme papillon qui avait des ailes comme remplies de mille yeux, et qui, surpris par la lumière, s'envola et s'agita, effrayé, autour de sa tête. Ses bottes s'accrochaient aux racines, elle s'enfonçait dans la boue, trébuchait, glissait, et pour se tenir debout, elle s'appuyait sur des surfaces dures, mouillées ou fibreuses. Elle était frôlée par des choses rugueuses, poilues ou épineuses et elle sursautait en pensant que c'était une araignée, l'un de ces serpents qui vivaient dans les arbres ou une chauve-souris suceuse de sang, mais rien de la mordit, il n'y avait que les moustiques qui la piquaient, elle s'en moquait… ».

Par ailleurs, le désir maternel est traité de façon singulière, à travers cet attachement à ce chiot, amour qui va connaitre un revirement soudain. Par ailleurs, sa jalousie de femelle vis-à-vis du chiot devenu chienne, va révéler ses failles intimes ; son manque de patience, de stabilité, va la ramener au drame vécu alors qu'elle était enfant. Sans doute, ce traumatisme passé explique sa stérilité et son incapacité à avoir un enfant.

Reporter son désir d'enfant sur la chienne, ne fait que révéler avec plus d'acuité la racine du mal qui ronge cette femme et ne comble pas le manque, incurable. Réussir à se mettre dans la peau d'une mère c'est juste souligner avec plus d'acuité son impossibilité et sa culpabilité liée au traumatisme passé.

« La pluie était toujours si fraîche et propre qu'elle semblait purifier le monde, mais en réalité, c'était à cause d'elle que tout était recouvert d'une couche de moisissure : les branches des arbres, les colonnes de béton du quai, les lampadaires, les mieux des maisons en bois, les murs en planches et les toits de zinc et d'amiante… ».

Un petit livre certes, mais un grand voyage, dépaysant et touchant, une analyse plus subtile qu'il ne parait de prime abord, une belle écriture simple mais travaillée, j'ai passé un excellent moment de lecture !

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Ce petit livre de 153 pages a été lu avec plaisir et rapidité. Nous sommes presque dans le format d'une nouvelle.

J'ai accroché tout de suite à cette histoire qui nous parle du désir d'enfant, des liens d'attachement entre un animal et un humain, tout ça au coeur d'une nature sauvage et dure.

C'est Damaris le personnage principal de cette histoire et pour elle la vie n'a jamais été vraiment facile. La nature ne l'a jamais gâtée. Des épisodes douloureux dans son enfance vont la marquer à jamais et son désir de mère, une fois adulte, ne sera jamais combler.

Ce n'est pourtant pas faute d'avoir essayer et d'avoir mis toutes les chances de son côté avec son mari Rogelio. Un homme qui nous parait rustre au départ mais qui ne l'est pas vraiment.
Alors l'arrivée de cette chienne dans la vie de Damaris va révéler en elle, la mère qu'elle n'a pas été. le prénom donné à la chienne est celui qu'elle aurait donné à une fille: Chirli.

On voit alors Damaris devenir mère, on la voit nourrir, langer, nettoyer, chérir la petite chienne. On va aussi très vite la voir s'inquiéter aussi quand la chienne va disparaitre une première fois.
Puis, la chienne va devenir adulte et elle va alors devenir fugueuse et mère à son tour.... Ce qui va profondément bouleverser Damaris...
Ce livre est une petite pépite d'émotions où dans un court espace Pila Quintana nous parle de maternité, de mal de vivre, d'amour, tout ceci dans le décor sauvage et rugissant de la côte océanique Colombienne. Il va résonner longtemps en moi ce petit livre et je vous invite à le découvrir et ainsi mieux connaitre Damaris et la chienne.
Une pépite qui se dévore comme l'océan dévore les falaises de la côte bolivienne.

Je remercie sincèrement Babelio et les Editions J'ai Lu pour ce partenariat lors d'une masse critique Littérature (Masse critique qui a lieu à 7 heure du matin ce qui me convient tout à fait).


Lien : https://imagimots.blogspot.c..
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Un véritable roman sud-américain !

Un roman sud-américain par ses ellipses, à la Miguel Bonnefoy et à la Garcia Marquez.

Un roman sud-américain par ses hyperboles, cette chienne qui se comporte comme un enfant gâté et trop longtemps désiré, cette mer et cette jungle qui rivalisent de pièges et de séduction pour engloutir l'innocence.

Un roman sud-américain, par son réalisme et son atmosphère, c'est d'ailleurs peut-être le personnage principal du roman, avec ses gosses enguenillés qui jouent dans les immondices sur la plage, ses dialogues truculents et ses balles perdues lors des règlements de compte entre petits caïds.

Un roman sud-américain, par son symbolisme, entre une mer imprévisible, impétueuse, qui ne rejette que des cadavres et une jungle envahissante, oppressante, menaçante, …

Un roman sud-américain, ou en tout cas l'idée conforme à l'idée que je me fais de la littérature sud-américaine …
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Damaris et son mari n'ont jamais réussi à avoir un enfant bien qu'ils aient fait appel à tous les breuvages,à tous les saints et les chamanes possibles. Pour Damaris cela reste une souffrance sous-jacente. Lorsque le hasard l'amène à adopter une petite chienne,elle lui donne le prénom qu'elle aurait donné à sa fille, Chirli,et se sent prête à tout pour la protéger même si pour cela elle devait tuer son mari pas toujours tendre avec les chiens.
Au cours du temps cet amour se transforme pourtant et le comportement de la chienne déclenche des émotions imprévisibles chez Damaris.
D'une histoire banale en apparence, on sent la tragédie gonfler comme une tornade. Car,derrière ce désir de maternité jamais comblé,se cache un autre drame plus ancien qui continue à ronger cette femme. La culpabilité est si forte qu'aucune punition ne sera jamais suffisante pour l'étouffer. Alors, si Chirli prend tout d'abord la place de l'enfant tant désiré, elle devient ensuite l'alter ego de Damaris qui projette inconsciemment sur elle tout ce qu'elle ne supporte pas d'elle même.
La tension croissante est accentuée par la forêt colombiene, son climat étouffant et ses orages terribles.
J'ai crains à tout moment que Damaris ne bascule dans le vide...
C'est un roman bien plus noir qu'il ne le laisse prévoir.
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Une claque ! Un roman dépaysant aux confins du monde qui abrite une nature sauvage aussi dangereuse qu'envoûtante.
Je n'aurais pas pu apprécier cette oeuvre de fiction sans avoir pris connaissance de la biographie de l'auteure Pilar Quintana, victime de violences conjugales, qui a eu le courage de quitter sa terre natale, son mari et ce qui la rattachait à son identité.

Ce court roman nous entraîne au coeur du Pacifique, en Colombie, où les éléments se déchaînent parfois avec violence : l'eau personnifiée en vagues ou en pluies diluviennes occupent une part fondamentale dans l'écriture. La jungle est aussi une facette de cette nature mystérieuse, belle et menaçante.
Damaris a la quarantaine, est mariée depuis de nombreuses années à un pêcheur et son grand drame est de ne pas avoir eu d'enfant. Après un long chemin auprès de guérisseurs, Damaris finit par accepter l'idée qu'elle ne connaîtra pas la maternité tout en s'éloignant de son mari, rompant le dialogue petit à petit.
Lorsqu'elle adopte un chiot, Damaris se sent responsable de ce petit être et va le chérir, jusqu'à ce que l'indépendance de sa chienne, qui la quitte parfois plusieurs jours, la plonge dans une mélancolie existentielle qui va se transformer en rage au fur et à mesure du récit.
Ce roman doit être lu comme un exutoire, celui de l'auteure qui transpose dans la violence de Damaris la violence de sa propre histoire, son ressenti et le processus engagé pour se relever.
C'est une exploration de soi, du passé, des remords, de la complexité de l'âme humaine et un récit de cette terre lointaine qui nous fait voyager le temps de la lecture.
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A mi-chemin entre la nouvelle et le roman, La Chienne, première traduction en français de la colombienne Pilar Quintana, séduit par son style simple mais très travaillé et son rythme tropical qui nous transportent sur la côte Pacifique de la Colombie, loin du tumulte urbain de Medellin ou de Bogota. le livre dessine le portrait d'une femme d'une quarantaine d'années, en mal d'enfant, qui transfère son affection sur une chienne qui la fera passer par tous les sentiments. Malgré sa relative brièveté, La Chienne recèle une grande profondeur dans l'analyse psychologique de son héroïne dont on perçoit, au-delà des mots, les failles, la solitude et ce désir d'amour inextinguible. Remarquable aussi, et poétique, est la description d'une nature sauvage, entre océan et jungle, à la beauté traîtresse. La principale qualité du roman est sa précision dans les détails et, en même temps la latitude laissée au lecteur de visualiser l'histoire selon sa propre sensibilité. Comme un tableau d'un peintre qui montre une situation bien identifiée tout en nous laissant imaginer tout ce qu'elle implique de souffrance et de frustration jusqu'au dérèglement de la raison. Reste maintenant à espérer que d'autres oeuvres de Pilar Quintana bénéficieront à leur tour d'une traduction en français (celle de Laurence Debril, pour La Chienne, est magnifique).

Un grand merci aux éditions Calmann-Lévy et à NetGalleyFrance.
Lien : https://cin-phile-m-----tait..
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Bref roman colombien d'une intensité folle, La chienne nous conte l'histoire d'une femme, Damaris, qui adopte une chienne de quelques semaines, espérant ainsi transférer son désir d'enfant déçu depuis des années, et retrouver par la même occasion une certaine forme de bonheur dans l'élevage d'une boule de poils en besoin d'affection, comme elle. Parce que Damaris, outre son désir d'enfant inassouvi, est bien seule, moralement parlant s'entend, et ses émotions et sentiments vont s'en trouver plus encore exacerbés au contact de la chienne qui, en grandissant, va s'éloigner d'elle, au grand dam de notre personnage.

Nous entrons de plein fouet, brièveté oblige, dans la vie de Damaris, et très vite ses désirs et états d'âme nous sont parfaitement retranscrits, présentés dans les moindres détails, nous permettant de comprendre son comportement vis-à-vis de cette petite chienne qu'elle a choisi d'adopter. Est alors mis en lumière, avec beaucoup d'acuité, de délicatesse, mais aussi de mordant – le dénouement du récit parle de lui-même – le désir maternel féminin, entre impératif biologique et contrainte sociale, entre besoin impérieux et souci de se conformer à un moule sociétal. A travers lui, c'est aussi le regard porté par les autres sur ce désir, sur cette difficulté à combler ce désir lorsque l'on ne parvient pas à l'assouvir par la naissance d'un enfant, qui est mis brillamment en avant. Et c'est justement la brièveté choisie pour raconter ce moment de la vie de Damaris qui permet à mon sens de pointer avec encore plus de force ce paradoxe violent auquel est soumis la femme depuis des temps immémoriaux.

Je remercie les éditions Calmann-Lévy et NetGalley de m'avoir permis de découvrir ce roman, que j'ai franchement apprécié.
Lien : https://lartetletreblog.com/..
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Colombie. Damaris, bientôt quarante ans et mariée à Rogelio, est en mal d'enfant. La maternité se refuse à elle et elle doit se faire une raison, elle ne réussira pas à tomber enceinte. C'est alors qu'elle décide d'adopter une chienne. Pourtant, la blessure de Damaris ne cesse de croître.

C'est un très court roman que propose ici Pilar Quintana, puisque l'on peut aisément le qualifier de nouvelle. Pourtant, en peu de pages, l'auteure a su créer une grande dimension psychologique et au travers d'un personnage feminin incroyablement profond, elle déroule une histoire tragique et malsaine.

Bien évidemment, j'ai été profondément touchée par le mal-être de Damaris et cette envie de maternité qui se refuse sans cesse à elle. Si au début j'ai trouvé touchante la relation qu'elle va établir avec son animal, j'ai vite compris que le drame couvait. Peu à peu, le roman monte en intensité jusqu'au dénouement tragique et laissant peu d'espoir.

Pilar a su créer une atmosphère pesante et j'ai été en totale immersion dans ce village colombien où les tempêtes et les fortes pluies font rage. Damaris porte l'histoire à elle-seule, et la voir perdre totalement pied est bouleversant. Beaucoup d'événements terribles sont présents dans ce court récit. Je ne peux en dire davantage sous peine de vous spoiler les événements mais l'auteure a réussi son pari.

La plume de l'auteure est sobre, fluide et entraînante. Il n'y pas forcément de longues descriptions et les états d'âme de Damaris sont davantage suggérés. Pourtant, le lecteur saura appréhender à quel point la jeune femme a finalement besoin d'aide. Sous un style franc, le lecteur suivra le quotidien d'une femme totalement déboussolée.

Un roman qui a toutes les allures de conte cruel, auprès d'une protagoniste en plein mal-être. Ce court récit est percutant et en peu de lignes, l'auteure déroule une intrigue bouleversante.
Lien : https://mavoixauchapitre.hom..
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