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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Une quatrième de couverture qui vous parle de Hergé et Jacques Tati. Avec deux cases tout en hommage.
Quelle probabilité de vouloir lire ce livre après tout ça? Forte je dirais même si le thème, vivre à fond quand il vous reste trois mois, n'est pas des plus réjouissant.
Et de fait, on navigue beaucoup plus entre les gags, les couacs comme si Fortuna prenait de looooongues vacances, que dans le nostalgique-tragique. Un peu trop convenu et facile ai-je trouvé (mais absolument pas plombant). Au final on se demande juste, à lire l'ouvrage, ce que nous ferions s'il nous restait 3 mois.
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Henri Martin est victime d'une erreur médicale pour cause d'homonymie : son médecin lui annonce qu'il lui reste que 3 mois à vivre, alors que pas du tout ! Henri va alors prendre des décisions pour réaliser peut-être un rêve.
Une BD qui se aisse lire avec plaisir. Il y a un peu d'humour avec des situations cocasses, de la réflexion autour des questions "Que ferais-je si je n'avais que 3 mois à vivre?", "le dirais-je à mon conjoint?", "que valent ses 3 mois sur toute une vie?".
Le dessin est simple et expressif, sans être exceptionnel. Sauf la couverture que je trouve assez incroyable, mais en décalage avec le contenu en terme de finition. le choix du bleu comme unique couleur me laisse une impression de froid dont j'ai du mal à me départir. Alors ça colle bien au côté mélancolique de l'atmosphère, à l'ambiance avec cette "mort" qui plane, mais c'était un peu trop pour ma part.
Bref, une bonne lecture, avec du sens, mais qui ne me laissera pas un souvenir éternel.
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Quelle situation cocasse entre Henri Martin et Martin Henri. le médecin a deux patients avec des homonymies. L'erreur se comprend. Mais voilà qu'il annonce au mauvais patient qu'il lui reste 3 mois à vivre. Par conséquent, il part en ayant un objectif en tête : réaliser son rêve. Il a toujours voulu voir des baleines. Avec son épouse, ils partent au Canada. L'aventure ne se fait sans heurts. Sur le chemin, Martin Henri rencontre un grand maladroit qui lui fait râter les belles choses. Il a du rester trois semaines à l'hôpital car il ne pouvait plus marcher. Sur le bateau devant lui, l'homme imposant lui gâche la vue. Rien ne se passe comme prévu. Par chance, l'épouse échange avec le médecin qui l'a rassure. Tout va bien, la vie va continuer.

Quand on voit la couverture, on s'attend à une série de rebondissements plus incroyables et onirique les uns des autres. Au final, on est avec quelque chose d'assez gentillets et sympathique. Rien de très sexy et palpitant. On lit tranquillement, sans angoisse l'histoire d'un couple plein de tendresse et d'attachement. Une petite pointe d'humour nous prête à sourire simplement. Un brin d'humanisme parfois fait du bien à lire. le dessin de François Ravard est arrondi, réaliste et très chaleureux. le choix de la monochromie bleu apporte beaucoup de douceur et de délicatesse. La bd n'est pas mémorable. Néanmoins, elle offre une bulle de gentillesse et de tendresse. Parfois, c'est assez pour justifier un petit voyage dans le 9e art.
Lien : https://22h05ruedesdames.com..
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Ce récit part sur une erreur terrible d'un médecin qui confond deux de ses patients : deux Henri Martin, l'un condamné à mourir dans les 3 mois d'un problème cardiaque et l'autre en bonne santé. Malheureusement c'est le second qui se voit annoncer sa mort inéluctable.
Ce dernier décide alors de tout plaquer pour aller au Canada avec sa femme voir les baleines… comme un dernier adieu à la vie.
Un récit plutôt sympathique et loin d'être un récit dramatique (malgré le sujet) ; l'histoire est d'ailleurs parsemée de petits traits d'humour, d'un homme un peu balourd et d'un Henri Martin très malchanceux.
Le récit n'est pas trépidant, les personnages sont plutôt banals mais l'histoire se lit avec intérêt en se demandant que va-t-il advenir de ce pauvre Henri Martin ?… et pour finir, le dessin est à l'image du récit. Un trait simple, une colorisation minimaliste (mais qui va très bien avec le récit) et donc un ensemble agréable. Bref, un livre simple et sans fioriture, pas très marquant mais sans ennuie.
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Voilà une histoire sous fond bleu qui commence comme bien d'autres, bien que cela reste un concept très intéressant, et qui va défier la vie.
Le titre et la couverture savent se montrer aussi attirant qu'intrigant. Martin Henri a toujours rêvé d'aller voir les baleines au Canada, sauf qu'il est dans sa routine, que c'est toujours
pareil, on remet au lendemain, et finalement on ne fait jamais ce voyage / projet tant rêvé. Sauf que suite à un évènement, il décide d'y aller sur un coup de tête. Nous passons d'un
extrême à un autre vu qu'il part sans aucune préparation.
Il va demander à sa femme de l'accompagner, alors qu'elle est la probabilité qu'elle dise oui ?
Toute la bande dessiné est en monochrome bleu, on y joue avec les nuances de bleu, ainsi que le noir et le blanc. le graphisme est plutôt agréable, l'histoire est fluide à lire.
Le lecteur se demandera à chaque fois ce qu'il va encore advenir.
Dans ce one-shot sorti aux éditions Futuropolis, le lecteur devrait passer un bon moment, assez insolite. Nous retrouvons Pascal Rabaté au scénario et François Ravard niveau dessin
et couleur.
Le moins que l'on puisse dire c'est que rien ne se passe comme prévu du début à la fin, y compris lors du voyage, et que nous pourrions nous questionner sur la probabilité que de telles
choses arrivent ainsi que leurs conséquences.
Mais c'est moins drôle, surprenant, aventureux si je vous en parle, alors à vous de vous plonger dans cet album.
Nous ferons une mention spéciale à ce voyage au Canada, le nom de l'hôtel, des chambres, les conditions climatiques, et quel régal de voir certains animaux. Y compris les baleines bien entendues.
De même, certains paysages nous régalent les yeux.
Va-t-il vivre son rêve ? Que retire-t-il de son voyage ?
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J'ai adoré la couverture, les dessins sont attrayants, doux. le monochrome bleu nous transmet le froid du Canada, nous sommes plongés dans l'histoire. Celle-ci est empli de douceur et d'amour, cependant elle m'a semblé un peu simple, rapide parfois et prévisible. Tout ceci aurait pu être oublié s'il y avait eu un véritable message, une sorte de morale. C'était donc pour moi une lecture agréable mais qui ne restera pas dans mes meilleurs souvenirs
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Poussée par le titre, j'avais hâte de découvrir cette "loi des probabilités". Au final, il y a belles images, un scénario rapide et facile à lire, mais quelle déception vis à vis du titre... Je m'attendais à un côté un peu plus scientifique, et au final, quelqu'un qui voudrait plus de science sera certainement déçu, autant que quelqu'un qui n'ouvrira peut-être pas la BD à cause du titre, alors qu'il n'y a finalement rien de scientifique dedans.
Quand j'ai commencé, j'ai failli refermer le livre car le début est très déprimant, mais finalement, après un premier rebondissement, on se laisse porter par l'histoire, l'émotion, et le côté humoristique.
Pour ceux qui aiment la nature, il y a une petite histoire en lien avec la baleine (dont l'oeil apparaît sur la couverture). Mais pour le reste, ça se lit bien mais sans plus.
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