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EAN : 9782754831949
90 pages
Futuropolis (23/08/2023)
3.53/5   171 notes
Résumé :
Que faire quand on apprend que l’on a plus que 3 mois à vivre ?
Martin Henri veut aller voir les baleines au Canada. Un rêve sans cesse repoussé qu’il doit accomplir, mais le voyage ne va pas se passer du tout comme prévu.

Quiproquos improbables, timing impeccable, clins d’œil aux maîtres de la comédie visuelle, d’Hergé à Tati…
La probabilité que l’on passe un bon moment est très élevée !
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Critiques, Analyses et Avis (24) Voir plus Ajouter une critique
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Les erreurs médicales suite à l'inversion de dossier à cause d'homonymie sont choses assez courantes dans la profession. Ainsi, un patient Martin Henry se voit annoncer une maladie du coeur en phase terminale alors qu'il se porte bien.

Ce dernier va en profiter pour faire un dernier voyage au Canada en compagnie de son épouse à qui il épargne la mauvaise nouvelle. Il a envie de voir les baleines qu'on montre aux touristes. Voilà les dés sont jetés pour une question de loi des probabilités. 

Evidemment, le périple ne sera pas sans imprévue qui gâche parfois un peu la vie. Pour autant, nos personnages vont essayer d'évoluer dans la joie et la bonne humeur. C'est une BD comédie qui respire le feel-good presque dégoulinant mais avec ce qu'il faut de retenue.

Une loi de probabilité décrit le comportement aléatoire d'un phénomène dépendant du hasard. C'est vrai que le hasard fait parfois bien les choses. On ne peut pas toujours tenir compte de cette loi car les variables sont toujours aléatoires. Il faut aller au-delà des théories mathématiques et se laisser bercer par les aléas de la vie. C'est ce qu'il convient de retenir de cette lecture de BD.
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On a souvent des projets, des envies, mais on repousse…
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Ce tome contient une histoire complète indépendante de toute autre. Son édition originale date de 2023. Il a été écrit par Pascal Rabaté, dessiné et mis en couleurs par François Ravard. Il comprend quatre-vingt-quatre pages de bande dessinée. Ces deux créateurs avaient précédemment réalisé ensemble Didier, la 5e roue du tracteur (2018)

Monsieur Martin Henry, un quadragénaire, peut-être quinquagénaire, attend paisiblement dans la salle d'attente du docteur Guarot, en lisant une revue, pendant qu'une femme pianote sur son portable et qu'un enfant dessine sur une table basse. Il relève un instant la tête, marquant une pause dans sa lecture, et sourit discrètement en voyant un oiseau sur une branche, à côté de son nid, de l'autre côté de la fenêtre. le médecin ouvre la porte de son cabinet et appelle le prochain à passer : Monsieur Martin Henry. Ce dernier se lève en indiquant qu'il est en avance, ce que le médecin réfute. le médecin s'assoit à son bureau et consulte la fiche de son patient sur l'écran de son ordinateur. Il se met une main devant le nez en fermant les yeux. Puis il annonce directement les nouvelles, sans en atténuer la brutalité : les résultats des examens sont arrivés et monsieur Henry en a pour trois mois au plus. le patient ne comprend pas : trois mois de quoi ? le docteur précise : trois mois à vivre, et il est large. Henry reprend : c'était un examen de routine, juste un contrôle. le médecin rentre dans les détails : le coeur est totalement usé, l'aorte est foutue et une greffe est impossible. Il raccompagne le patient à la porte, et le laisse aux bons soins de la secrétaire. Celle-ci indique que ça fera soixante-dix euros par chèque, ils ne prennent pas la carte bleue car la machine a rendu l'âme. Les machines sont programmées pour claquer dans les pattes des humains. On parle d'évolution, mais est-ce vraiment un progrès ?

Monsieur Henry règle son dû, et sort calmement, les mains dans les poches de son blouson. Il croise un monsieur qui arrive en courant, essoufflé. Ce dernier s'excuse auprès de la secrétaire : il est en retard, mais en même temps on n'a pas idée d'installer un cabinet de cardiologie au quatrième sans ascenseur. Il donne son nom : Henri Martin. La secrétaire relève la proximité avec le nom du client précédent. Ce dernier prend un instant sur le palier pour retrouver son calme, et il descend. Dans le cabinet, monsieur Martin s'excuse : il était prématuré de trois semaines, et c'est la seule fois où il n'est pas arrivé en retard. Il demande s'il doit se mettre torse nu. le docteur consulte sa fiche sur l'écran de son ordinateur. Il prend conscience de sa bévue et se lève soudainement. Il ouvre la porte et interpelle sa secrétaire en lui demandant si le patient d'avant est parti : il lui demande de l'appeler sur son portable et de se dépêcher. Elle s'exécute, mais elle tombe sur sa messagerie. le médecin décide de lui courir après pour le rattraper. La secrétaire s'enquiert du patient dans le cabinet : il répond de le faire patienter, de toute façon il est condamné.

Une histoire simple et linéaire se résumant en très peu de mots : une erreur de diagnostic incite un homme un peu empâté et débonnaire à faire le voyage au Québec avec son épouse, maintes fois remis à plus tard, pour aller voir les baleines. Ils croisent à plusieurs reprises un autre touriste français, importun mais pas méchant, et ils doivent composer avec une série de désagréments d'une banalité affligeante, sans importance. La narration visuelle participe de cette bonhomie tranquille : factuelle et dépourvue d'agressivité ou de sensationnel, avec une forme de légère simplification qui rend les dessins immédiatement lisibles, mais sans sacrifier aux détails. le parti pris pour la mise en couleurs renforce encore l'impression d'ordinaire, presque sans relief, avec des teintes de bleu délavées, charrette, fumée, gris de lin, pervenche, pastel. Voilà une narration visuelle pleine d'humilité, se mettant comme en retrait, pour ne pas se faire remarquer, humble et effacée. Un récit réalisé par deux artisans qui ne payent pas de mine, qui ne font pas de vague, mais qui ne s'excusent pas non plus.

Il reste au plus trois mois à vivre à Martin Henry, et celui-ci ne semble pas plus affecté que ça par cette annonce. Il ne s'emporte pas, il prend l'information avec calme. le lecteur le regarde attentivement dans son fauteuil avec son écharpe de laine, purement utilitaire, dépourvue de tout signe remarquable. le personnage se laisse tenter par un moment de déni, juste le temps de trois cases, avec deux gestes de la main, très mesurés, sans hausser la voix. Et c'est tout : pas de colère, pas de marchandage, pas de dépression, tout au plus un ou deux moments d'abattement. C'est comme s'il passait immédiatement à l'acceptation. le lecteur observe juste ce moment de pause sur le palier après avoir refermé la porte du cabinet du médecin. Ah si, il arbore un air maussade le temps de trois cases en pages quatorze et quinze. En fonction de sa relation avec la maladie d'une manière générale, avec le cancer éventuellement, le lecteur peut éprouver des difficultés à retenir une réaction irrépressible face à cette injustice de la vie, face au manque total d'empathie du docteur absolument dépourvu de tact et de prévenance, la froideur toute professionnelle de la secrétaire qui demande le paiement, sans une pensée pour l'éventuelle souffrance de ce patient. Il pourrait avoir envie de secouer Martin, quasi léthargique, ou exiger le minimum humain de compassion chez ces professionnels du soin. Il se rassérène un tantinet en voyant la sollicitude d'un collègue de travail qui l'invite à venir voir le match au bar du coin après le boulot, mais qui ne peut pas deviner la terrible nouvelle qui a frappé Martin.

Dans le même temps, le récit exhale une saveur bien à lui, rendant impossible toute risque d'insipidité. La gentillesse du regard de Martin Henry le rend immédiatement sympathique et agréable. L'absence de colère le rend facile à vivre : il ne s'en prend pas au médecin, encore moins à la secrétaire. Il prend sur lui et épargne cette charge à son épouse. le lecteur envie la profonde tendresse qui existe entre elle et lui : une affection née de nombreuses années d'intimité, sans éclat, sans l'intensité de la passion, mais avec la solidité confortable et inestimable de nombreuses années vécues ensemble à s'épauler l'un l'autre, sans compétition ou confrontation, dans la compréhension et le réconfort mutuel. Les gestes affectueux prévenants attestent de cette connivence apaisée et constructive. Une fois acclimaté au caractère placide Martin Henry, le lecteur sait détecter ses réactions, il lit mieux les expressions de son visage. de petits changements qui pouvaient sembler presque insignifiants deviennent très parlants quant à son état d'esprit : un sourire en regardant l'affiche derrière son poste de travail (la queue d'une baleine sortant de l'eau, avec le mot Québec en dessous), le haussement du sourcil gauche en serrant la main de Séraphin Lanterne (un importun d'une rare ingénuité), les commissures des lèvres un tout petit peu affaissées (signe d'une contrariété qui le touche), le regard dans le vague (signe de son esprit qui vagabonde certainement en pensant à sa fin), etc. Il peut aussi s'agir d'une posture corporelle comme les bras croisés, en signe de protection ou de refus de réellement s'impliquer dans une conversation. Etc.

S'il est d'un calme remarquable en toute circonstance, Martin Henry n'est pas mort intérieurement sur le plan émotionnel. Il paraît globalement imperturbable malgré l'annonce de sa mort très proche, pour autant il y réagit en agissant. Il ne se lamente pas, ni ne nie l'évidence : il se décide à faire ce qu'il a toujours repoussé en pensant qu'il en aurait le temps plus tard. Là encore, la narration visuelle semble sans relief, et pourtant quand il prend un instant de recul, le lecteur se rend compte qu'elle l'emmène dans des endroits divers et variés : un cabinet de docteur, des cubicules de bureau sur un plateau ouvert, dans un avion à côté d'un ronfleur impénitent, devant le tapis pour attendre des bagages qui ne viennent pas, sur des trottoirs verglacés, dans un voyage en car, sur une terrasse improbable jouxtant un cours de golf, dans l'embouchure du Saint Laurent, en forêt avec même le passage de deux orignaux. le scénariste contribue également à la couleur locale avec des termes et des expressions canadiens : papillon (circulaire), par le saint calice, votre blonde (votre épouse), se prendre une brosse (se prendre une cuite), niaiser (tergiverser, languir). Ils font usage de deux références culturelles : La ballade des gens heureux (1975), de Gérard Lenormand (1975-), et plus inattendu un hommage à un personnage de Georges Rémi. À l'aéroport, Martin Henry, accompagné par son épouse, se fait percuter par Séraphin Lanterne, au point qu'ils tombent tous les deux par terre le second sur le premier. L'hommage est transparent : Séraphin Lampion (créé en 1956), appelé Monsieur Lanterne par Bianca Castafiore, dans les aventures de Tintin. le lecteur perçoit un second clin d'oeil alors les époux Henry regardent un Derby Demolition, évoquant la dernière épreuve du rallye automobile organisé par Lampion, président du Volant Club, dont la dernière épreuve se tient au château de Moulinsart (mis à part le cochon qui vole). Par comparaison, le lecteur en vient à considérer Martin Henry comme un homme sage, mesuré, capable de prendre le recul nécessaire en toute situation, toujours animé par une pulsion de vie qu'il a appris à canaliser. La dernière scène dans l'hôpital apporte un éclairage différent sur Séraphin Lanterne, amenant le lecteur à reconsidérer son comportement, peut-être une forme de sagesse au regard des aléas de sa vie.

Une bande dessinée faite pour être vite lue, sans prétention, avec des auteurs d'une grande humilité. Mais aussi un personnage principal qui reste longtemps à l'esprit, son apparente apathie apparaissant comme être de surface, de nombreux éléments visuels et comportementaux, amenant à y voir une forme de sagesse paisible remarquable, une acceptation des difficultés de la vie, et une capacité remarquable à s'y adapter. Un modèle.
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Que feriez-vous si vous appreniez qu'il ne vous reste que 3 mois à vivre ?
C'est ce qui va arriver au personnage principal, qui venait juste faire une visite médicale de contrôle.
Choisiriez-vous de tout envoyer balader, de vous libérer d'un quotidien pas toujours fantastique et de vivre quelque chose de fabuleux avant qu'il ne soit trop tard ou renonceriez-vous tout de suite au reste de votre vie car à quoi bon ?
Cette bande dessinée est assez drôle, car rien de va se passer comme prévu pour notre pauvre héros...mais c'est aussi ça la vie, des imprévus, des galères, des accidents, des coïncidences...et au final ça donne une bande dessinée caustique et optimiste.
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Quelle était la probabilité que je tombe sur ce livre dans les rayonnages si bien fournis de la Bibliothèque de la Cité des Sciences?

Et quelle est la probabilité que messieurs Henri Martin et Martin Henry aient des rendez-vous l'un à la suite de l'autre dans un cabinet de cardiologie ?
Voici le point de départ de toute cette histoire. En raison d'une inversion de dossier, ce brave monsieur Martin Henry va voir sa vie bouleversée. Sa petite vie bien tranquille, bien sage peut-elle continuer indéfiniment comme ça, enfin indéfiniment...3 mois tout au plus.

Et vous, si il vous restait 3 mois à vivre, que feriez-vous ? Vous attendriez tranquillement dans votre canapé ou vous vous lanceriez dans la réalisation de votre plus grand rêve ?

Dans ce très beau roman graphique, Pascal Rabaté et François Ravard nous offre un beau moment de lecture au côté de ce bon Martin et de sa femme.
J'ai apprécié le scénario, qui en partant d'un sujet difficile, la mort, nous emmène dans une comédie pleine de tendresse.
La couleur et le dessin sont également une belle réussite selon moi et pour beaucoup dans la réussite de l'ouvrage.

Et le clin d'oeil à Hergé avec ce personnage de Séraphin, assureur gentil mais maladroit et un peu collant est une belle trouvaille.
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Quelle est la probabilité que votre médecin se trompe de dossier et vous annonce le diagnostique d'un autre patient ? Proche de zéro pour ne pas dire nulle sauf si vous portez un patronyme très répandu comme Durant, Dupont ou Martin.

C'est ce qui arrive à Monsieur Martin à qui on annonce, sans ménagement, qu'il n'en a plus que pour quelques mois à vivre. Mais c'est une erreur de patient que le médecin, surchargé, n'a pas vu venir. Mais comme tout peut s'arranger, le médecin s'aperçoit de son erreur et tente de rattraper M. Martin mais dans sa course poursuite, il se retrouve à chevaucher un piano et prend un autre patient (le M. Martin qui a le mauvais pronostic et qui lu celui-ci sur l'ordinateur du médecin ) sur la tête, ce qui le plonge dans le coma. Les probabilités s'acharnent sur le premier M. Martin...

Se croyant perdu, il va chercher à réaliser un de ses vieux rêves : voir les baleines au Canada. Il l'annonce à sa femme, professeur de mathématiques.

Quelles sont les probabilités pour que le voyage se passe bien, sans mauvaise surprise ? Théoriquement nulles. Ce ne sera pas le cas pour M. Martin et une série de quiproquo va s'en suivre, exaspérant ce pauvre M. Martin. Un sympathique canadien va s'immiscer dans leur vie et dans ce que M. Martin prend pour son dernier voyage.

Quelle est la probabilité pour que cette histoire se termine bien ? Quel sera l'élément déclencheur pour que M. Martin apprenne la vérité ?

L'histoire est agréable à lire, on suit avec plaisir et émotion la famille Martin dans son voyage. On se doute qu'il y aura un revirement de situation, du moins la probabilité est non négligeable mais dans un scénario BD , on ne sait jamais.

Le graphisme est simple. J'ai trouvé judicieux le fait de n'avoir qu'une couleur déclinée tout au long du récit, le choix du bleu donne une ambiance assez éthérée. J'ai beaucoup aimé le visage lunaire de M. Martin, en contraste avec celui épanoui du troublion canadien.

J'ai beaucoup aimé cet humour décalé et le fait de traiter sur le ton de l'humour une situation qui serait tragique pour le moindre d'entre nous.

Quelle est la probabilité de passer un bon moment avec cette lecture ? À vous de voir...
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critiques presse (5)
LeJournaldeQuebec
16 octobre 2023
Un album onctueux et réconfortant se déguste lentement, comme un chocolat chaud en saison hivernale.
Lire la critique sur le site : LeJournaldeQuebec
ActuaBD
01 septembre 2023
On sourit, on s’émeut, on réfléchit et au final, on applaudit ce théâtre des gens simples, mais si authentiques.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
LigneClaire
30 août 2023
Un très bel album à lire et relire.
Lire la critique sur le site : LigneClaire
BDZoom
29 août 2023
De l’humour, Pascal Rabaté en a revendre pour que l’on passe encore un excellent moment de lecture avec sa nouvelle bande dessinée !
Lire la critique sur le site : BDZoom
LeMonde
21 août 2023
Soutenu par un gris bleuté flattant la nostalgie, le dessin heureux de François Ravard pare de tendresse ce vaudeville sans amant dans le placard, mais plein de valises égarées et de pianos qui dévalent l’escalier.
Lire la critique sur le site : LeMonde
Citations et extraits (9) Voir plus Ajouter une citation
Les machines sont programmées pour vous claquer dans les pattes. On parle d'évolution, mais est-ce vraiment un progrès ?
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Je récapitule la valise 1 : de marque Vodam de plastique rouge, contient deux vestes brunes, un manteau de laine beige, cinq culottes pour femme, blanches, trois sweat-shirts, un bleu, un blanc, un rouge… Tiens, c’est drôle ça ! Une trousse de toilette, avec à l’intérieur un gant de toilette, une brosse à dents, un tube d’aspirine, une pince à épiler, une crème pour visage, un tube de rouge à lèvres. C’est drôle ces gens qui s’embarrassent de choses qu’on trouve sur place. Et je reprends : un classeur jaune contenant des rédactions.
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Comment vous dire… Les résultats de vos examens sont arrivés… ce n’est pas bon… pas bon du tout… En fait, vous en avez pour trois mois au plus. Il ne vous reste que trois à vivre. […] Le cœur est totalement usé, l’aorte est foutue et une greffe est impossible. Je suis désolé monsieur Martin. Ça va aller ? Vous voulez que l’on vous accompagne ?
Commenter  J’apprécie          70
On a souvent des projets, des envies, mais on repousse… Et les probabilités que ça se fasse deviennent de plus en plus faibles. Et au final, il est trop tard.
Commenter  J’apprécie          100
Comme je l’expliquais à votre blonde, la forêt abrite aussi une espèce que l’on appelle la mouffette, parfois appelée sconse. C’est une famille de mammifères omnivores à tendance carnivores. Elles sont connues pour leurs secrétions de liquide malodorant en cas de menace.
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Vidéo de Pascal Rabaté
Dans le 159e épisode du podcast Le bulleur, on vous présente Le souffle des choses, premier tome de la série La marche brume que l'on doit à Stéphane Fert et qui est édité chez Dargaud. Cette semaine aussi, on revient sur l’actualité de la bande dessinée et des sorties avec : - La sortie de l'album Shiki, 4 saisons au Japon que l'on doit à Rosalie Stroesser et aux éditions Virages graphiques - La sortie de l'album La loi des probabilités, titre que l'on doit au scénario de Pascal Rabaté, au dessin de François Ravard et c'est édité chez Futuropolis - La sortie de l'album Tous ensemble !, album que l'on doit au scénario de Kris, au dessin conjoint d'Arnaud Michalak et Juliette Laude ainsi qu'aux éditions Delcourt - La sortie de l'album Au nom du fils, sous-titré Dans l'enfer de la prison de San Pedro que l'on doit au scénario conjoint de Jean-Blaise et sa fille Pauline Djian, au dessin de Sébastien Corbet et c'est édité chez Rue de Sèvres - La sortie de l'album Le seul endroit que l'on doit au scénario de Séverine Vidal, au dessin Marion Cluzel et c'est édité chez Glénat - La sortie d l'album collector pour les 77 ans du journal Tintin, album collector que signent de nombreuses plumes et des dessinateurs de renom et qu'éditent Le Lombard
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