Le Magasin des jouets cassés

Encore une fois Julien a su me convaincre par ses mots,ses personnages, par sa subtilité à nous compter son histoire.
Une histoire de famille dans un immeuble parisien,ou évidement tout le monde se connait, et connait les histoires de chacun.
Dans cette immeuble arrive Lola et Léon ,cette arrivée est mal vue par Martine qui voit d'un mauvais oeil cette arrivée.
Puis il a aussi Paul Henri qui est sans doute le personnage qui m'a le plus bouleversée par son historie et son passé.
Paul Henri qui se prend pour un bibliothécaire et adore transmettre sa passion pour les livres aux autres et il tient même une page Instagram.
Une histoire d'amour,de famille,de secret,de passion.
C'est avec les larmes aux yeux que j'ai finis ce roman et refermée la porte de cet immeuble assez particulier.
Une plume dont je ne me lasserai jamais.
Merci Julien de nous faire passer par des émotions et merci de nous transmettre à chaque fois des moments forts.

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Quel excellent moment passé avec ce roman de Julien.

Un roman touchant, émouvant du début à la fin. Un roman qui nous parle d'amour, des difficultés de la vie, de rencontres qui font la famille.

La plume de l'auteur est tellement poétique, vraie, douce. Il sait mettre a nu l'âme de ses personnages.
Des personnages bouleversants de sincérité. Vous ne pouvez pas rester indifférent face à cette histoire, à leur histoire.

En bref, un roman où vous vous sentez comme à la maison que je vous recommande les yeux fermés.

Julien Rampin est un petit nouveau dans ma bibliothèque. Il me fait penser à Aurélie Valognes et Agnès Ledig dans ses personnages malmenés par la vie à la recherche de cet éternel amour que l'on manque de peu parfois. Lola vient d'être quitté par son mari et s'installe avec son jeune fils dans l'appartement de son inconnu de père. Elle y fait la connaissance de Paul-Henry et de son épouse Martine, deux âmes brisées par une histoire d'amour inachevée. Leurs solitudes partagées, leurs amitiés sera source de résilience. Un roman bienveillant et agréable à lire.

Une jolie couverture, une possible jolie histoire.
Très peu de personnages, ce qui est mieux dans un roman aussi court.
Un immeuble parisien, un vieux magasin de jouets démodés.
Des histoires passées, un présent et un futur lointain.

Tout était réuni pour une lecture agréable.
Oui mais voilà, parfois la mayonnaise ne prend pas.

Ces personnages sont beaucoup trop effleurés, sans réelle consistance, trop superficiellement exploités.
Leur histoire, trop peu creusée pour qu'on puisse réellement les comprendre ou s'attacher à eux.
Martine semble être une vraie méchante bien désagréable et puis plus rien.
Lola est d'une transparence désastreuse, triste sans que l'on comprenne vraiment pourquoi, limite déprimante.
Le jeune Léon est trop peu exploité.
Seul Paul-Henry a droit a un peu plus de consistance mais cela ne sauve pas le reste.

Un roman insipide.
Si j'étais une prof, je dirais : "Sujet à retravailler".

Nous avons ici un roman très humain, qui nous fait autant rire que pleurer. Les personnages sont très touchants et leurs histoires poignantes.

L'amour n'a ni frontière, ni couleur, ni sexe.
Alors pourquoi est-il parfois impossible ? L'amour est beau, c'est une des plus belles choses qui existent… alors pourquoi fait-il autant souffrir ?

Il y a de ces personnes qui vous font du bien, et il y a en a d'autres qui, volontairement ou non, font du mal aux personnes qui les approches de trop près.

Julien RAMPIN nous dépeint, grâce à sa jolie plume, les portraits de trois personnages que la vie a écorché. Des êtres humains imparfaits comme nous le sommes tous avec nos défauts, nos qualités, nos secrets…

En un mot : magnifique !
Julien a l'art de décrire avec justesse les sentiments et émotions humaines. Il nous montre l'imperceptible, ce qui se joue dans les relations, les non-dits, les subtilités. Je connais peu de plume aussi sensible et juste que celle de Julien.
Ne vous attendez pas une panoplie de rebondissement, de péripétie, non, ici c'est la vraie vie qui est conté. Tout est véritablement vrai. Lola, Léon, Martine et Paul-Henry sont des personnages qu'on pourrait côtoyer dans la vraie vie, qui pourraient être nos voisins de pallier. C'est ce qui me plaît le plus dans les histoires racontées par Julien. C'est d'avoir la sensation d'être immerger complément dans le roman, pouvoir pleinement vivre ce que je lis.

Après la lecture de « Grandir un peu » et de ce second roman, Julien rentre définitivement dans ma liste d'auteurs incontournables. Hâte de partir à la rencontre des personnages de son prochain roman !

Que dire ? Par où commencer ?
Je me souviens avoir assailli mon compte privé de citations et de passages du roman le 22 juillet dernier. J'étais dans le train, je rentrais du sud, le soleil et les plages, la chaleur étourdissante mais tellement revigorante d'Antibes.
Sans le savoir, j'entamais un des plus beaux livres de ma PAL d'été. Les quelques heures me ramenant à Paris sont passées à une vitesse folle. Sans que je prenne conscience de ce qui se tramait autour de moi, j'étais arrivée, et mes yeux étaient embués. « La vie est un poème » fil rouge de cet ouvrage qui rend hommage à la littérature par le personnage de Paul-Henry qui incarne le passeur de mots. Un homme généreux, lumineux et toujours souriant. Face à lui, Martine, une dame âgée et froide qui passe son temps à épier ses voisins sans jamais leur manifester la moindre marque d'affection.
Enfin, Lola qui débarque dans cet appartement parisien avec son fils attendrissant Léon.
Tous deux vont se lier d'amitié avec Paul Henry et de fil en aiguilles, débusquer des secrets qui vont faire s'envoler toutes leurs certitudes.
Je peux vous l'écrire, après avoir lu la chanteuse de bal, je ne m'attendais pas à découvrir un roman encore plus lumineux ! Il s'agit d'un bijou littéraire qui est à double temporalité et nous amène à découvrir toute l'histoire de ce magasin à la spécifité étrange, de récolter tous les jouets cassés afin d'en faire de nouveaux jouets, de leur donner une nouvelle vie.
J'y ai vu une visée plus vaste, une métaphore des êtres humains et de leurs fêlures, de leurs blessures qui s'entassent, qu'on oublie, qui font si mal qu'on préfère les ranger dans un tiroir au lieu de s'y confronter.
Tous ces êtres brisés, cassés qui rencontrent d'autres âmes aussi cassées et parviennent à se retrouver en elles, et ensemble, se reconstruire par le biais de l'amour sous toutes ses formes.
Voilà ce que nous apprend Julien Rampin, que l'amour blesse, casse, érafle mais que par dessus-tout, il guérit, il sauve. Une ôde à l'amour, à la bienveillance, aux souvenirs, à ses racines, à la résilience.
En bref, un véritable coup de coeur ❤️
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Une belle histoire.

Quand Lola s'installe dans son nouveau appartement, après une séparation douloureuse, elle ne sait pas qu'elle va bouleverser sa vie et celle de son fils Léon.

La rencontre avec les voisins va être source de changements extérieurs comme intérieurs.

Une histoire émouvante, intergénérationelle. Comme quoi l'amour et les difficultés sont intemporels...

J'ai aimé cette écriture et, alors que je ne connais pas personnellement l'auteur, j'ai eu le sentiment de l'écouter raconter sa vie. Peut être pas sur le fond mais sur les sujets qui lui sont chers (les livres, la famille, le fait d'être auteur, d'être influenceur, d'être un Homme,...).

Un beau condensé de vie et de portraits touchants.

PS : un bel hommage aux livres 🥰

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La vie est un poème,
C'est ainsi qu'on l'aime,

Ici les solitudes,
Les âmes tristes, déboussolées,
Ne se projettent que dans le passé,
Mais malgré les incertitudes,

Ensemble, en se retrouvant,
Ils arrivent à briller,
Ils arrivent enfin à vivre, à accepter,
Alors ils reprennent vie en se pardonnant,

Ce roman est de ceux qui bousculent,
De ceux qui nous chamboulent,
Qui nous bouleversent,
De ceux qui en cas d'averses,

Nous rappel l'important,
Car ce roman c'est la reconstruction,
Mais surtout l'acceptation,
Que notre vie vaut tant,

Paul-Henry, est une poésie,
Sa bienveillance est infinie,
Madeleine, n'est plus elle même,
Elle vit dans l'ombre du "je t'aime ",

Lola, elle n'est plus épanouie,
Comme si le bonheur s'était évanoui,
Mais Léon est là pour le réanimer,

Il est là pour l'aider,

Ces solitudes me bouleversent,
Car elles apprennent à s'aider,
Mais aussi à s'aimer,
Ils ne traversent plus seuls ces averses,

Un roman qui parle de nos maux,
Tels qu'ils soient, chagrin, tristesse, peur,
L'auteur les soigne avec ses mots,
Et enfin apparaît l'arc-en-ciel du bonheur,

En se rencontrant ses étoiles nommées Madeleine, Lola, Paul-Henry et Léon ont créé la plus belle Voie lactée,

Celle de la renaissance.

J'avais très envie de lire ce roman dont j'avais lu beaucoup de belles chroniques. Après l'avoir réservé à la médiathèque, je l'ai lu en prévision du prochain Festival du livre de Colmar où l'auteur sera présent. Et je ne passerai pas par quatre chemins : c'est un coup de coeur !

Après avoir démarré l'histoire dans le présent, l'auteur nous entraîne dans le passé de l'immeuble et de ses habitants : Paul-Henry, un amoureux de la littérature et Martine qui tient le magasin de vieux jouets de la rue. Deux solitudes, voire même trois si l'on ajoute Lola qui entre dans cet immeuble en 2019 et y bouscule les secrets que Martine et Paul-Henry pensaient avoir ensevelis. Plus tard, l'auteur nous entraîne même dans le futur où l'histoire trouve une très belle conclusion.

S'il ne fallait retenir qu'un mot pour ce roman, ce serait amour : l'amour des livres et des mots (pour Paul-Henry et Léon), l'amour de soi, l'amour des autres et pour les autres…

Je découvre la plume de l'auteur pour la première fois avec son second roman (qui me donne très envie de connaître le premier) et je la trouve très empathique : j'ai été émue aux larmes par les sentiments qu'il réussit à nous transmettre avec ses mots.

Je finirai en soulignant l'originalité des titres des chapitres qui ont le goût de l'enfance et nous transmet un peu de nostalgie.
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