La vie commence à 20h10

Sophie a 30 ans, elle termine une thèse et essaie de faire publier son premier roman. Suite à un courrier très critique qu'elle a écrit pour son compagnon à la production d'une série télévisée, elle se voit proposée, par Joyce Verneuil Productrice de renom, de travailler un an pour la série "La vie la vraie" , en échange elle fera publier son roman.
Sous le prétexte de finir sa thèse, elle quitte Bordeaux et Marc son compagnon pour s'installer à Paris et travailler pour La vie la vraie en cachette de son entourage.
Les personnages sont attachants mais ce roman nous permet surtout de découvrir les coulisses des mini-séries télé. J'ai trouvé cela très intéressant.

Mon ressenti : un livre qui met de la bonne humeur dans le coeur, quel humour ! J'adore !

On s'attache au personnage principal et on passe un très bon moment

Extraits :

Et si les choses s'étaient passées autrement? Et si j'avais été différente ? Tout ça, on s'en fout. C'est vrai, à quoi ça sert de se poser des questions si les réponses n'existent pas ? La seule question qui compte, c'est : voilà qui je suis, maintenant j'en fais quoi ?

Un rêve vaut bien quelques mensonges !

Après hypokhâgne, khâgne, une licence, un master et bientôt un doctorat, je me sentais à l'aise dans ma mission de résumer cinq épisodes de "La vie la Vraie" pour Télé 7 Jours.

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A peine ouvert, à peine terminé?
Non quand même pas mais sans les nécessités de la vie quotidienne, j'aurais bien lu ce roman d'une seule traite tellement son histoire est entraînante, drôle, enlevée, dans le vent.
C'est ce qui caractérise la chick-lit?
Sans doute et je ne prétends pas que ce roman soit un chef d'oeuvre, loin de là mais un livre à lire entre deux occupations très sérieuses, deux pavés qu'on aime mais qu'on ne peut savourer qu'à petites doses. C'est parfois nécessaire et de toute façon bien agréable: un bon divertissement.
de quoi s'agit-il donc? Pourquoi la vie devrait-elle commencer à cet instant précis?
Parce que le feuilleton «La vie la Vraie» commence à cette heure-là et que c'est lui qui est au coeur de l'histoire. C'est pour Joyce Verneuil, la productrice que travaille Sophie, l'héroïne, devenue coordinatrice d'écriture en cachette des siens qui la croient toujours étudiante travaillant à sa thèse de future prof de français. C'est donc une double vie qu'elle mène, partagée entre Paris et les studios de production et Bordeaux où vit son compagnon, Marc, avec ses neveux orphelins qu'ils élèvent ensemble. A lui aussi elle ment car, brillant intellectuel, il méprise ces milieux de la télé. Elle n'a d'ailleurs accepté ce travail si compromettant à ses yeux qu'en échange de la promesse de voir édité son premier roman.
Pendant les trois quarts du récit on assiste à sa réussite et à son ascension tant financière que sociale mais une série de péripéties, trop longues à raconter, remet tout en cause et de nouveaux choix vont s'imposer qui n'ont pas été à mon goût si bien que la fin m'a un peu déçue. Je l'ai trouvée trop gentillette, ce qui n'enlève d'ailleurs rien à mon impression finale que ce livre reste une lecture heureuse et divertissante.
Bien sûr, je n'ai pu m'empêcher de repenser aux livres lus précédemment et dont il semble s'inspirer comme «Le Diable s'habille en Prada» de Lauren Weisberger et «Saga» de Tonino Benacquista. Quant au feuilleton évoqué, on pense tout de suite à PBLV, même si je n'ai jamais pu regarder un seul épisode en entier.
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Si vous avez aimé le diable s'habille en Prada, vous aimerez alors La vie commence à 20h10. On se délecte de la vie riche en rebondissement de Sophie entre ces aller/retour Bordeaux/Paris. Attention cependant certains rebondissements vers la fin perdent en saveur et ne sont plus que des petits sauts de puce malade.
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Addict assumé de la série télévisée "Demain nous appartient", j'ai dévoré ce roman qui nous fait pénétrer dans les arcanes de la fabrication des feuilletons quotodiens à succès populaire, en vogue actuellement.

Impossible de lire ce scénario sans s'imaginer devant son écran.
Impossible de regarder, par la suite, son feuilleton sans chronométrer les séquences, ni compter le nombre de répliques !

D'accord, ce n'est pas de la grande littérature, mais les personnages sont attachants, et les rebondissements nombreux. Mais est-ce suffisant pour lire, dans la foulée, la saison 2 des aventures de Marc et Sophie (tiens les prénoms me rappellent une série des années 80's) ?

Je suis un peu déçue par ce roman. Je l'ai trouvé très long, des passages parfois ennuyeux. Néanmoins, certains moments m'ont empêché de décoller les yeux de la lecture. Donc je reste mitigée. En fait, je m'attendais à plus d'action mais au final, tout tourne autour de cette série et des personnes qui travaillent pour.

Même si j'ai aimé le petit monde de Sophie, son cocon avec son chéri Marc et Annie et Julien leurs "enfants adoptifs", aimé aussi les dilemmes de Sophie entre sa thèse et sa mère insupportable, son envie d'être publiée et sa folle aventure de télé vécue à Paris dans le mensonge, j'ai carrément été ennuyée par le style d'écriture qui a beaucoup de longueur. En effet, on nous assomme trop de termes techniques et de jargon tout au long des pages, du coup, j'ai bien cru que j'allais abandonné en route!

"Le diable s'habille en Prada" version "Plus belle la vie"! On est vite happé par la double vie de Sophie et les aléas de la production à flux tendu des épisodes de la série télévisée. le personnage de Sophie lui-même et ses tiraillements est bien construit. Une lecture divertissante, mais sans plus!

Livre découvert grâce à l'opération 1 livre offert pour 2 livres achetés. Et pour une fois, je n'ai pas été trop déçue.

Sophie, trentenaire est installée avec son compagnon Marc en Province. Elle lutte pour terminer sa thèse et perd toute motivation quand elle apprend que sa mère a confié un sujet de thèse similaire à une autre étudiante. En parallèle, Sophie s'est lancée dans l'écriture d'un roman et tente de le faire publier. Hélas, elle n'essuie que des refus.
Suite à un concours de circonstances, elle va donner son roman à Joyce Verneuil une productrice de télévision très puissante. Celle-ci lui promet de la mettre en relation avec un éditeur qui ne peut rien lui refuser, sous entendant qu'il n'y aurait pas de problème pour éditer le livre de Sophie. Toutefois, une condition à cette faveur : travailler pendant 1 an au service de la série La Vie La Vraie, une sorte de Plus belle la vie !

Démotivée par sa thèse et accrochée à l'espoir de voir un jour son livre en librairie Sophie accepte le deal. Par peur de décevoir son compagnon et aussi sa mère, elle ne leur révélera rien et prétendra s'exiler à Paris pour profiter de la bibliothèque et finir sa thèse.

Roman léger, ça se lit plutôt bien. A mon sens trop de passages consacrés aux scénarios de la série. Cela n'apporte pas grand-chose et provoque quelques longueurs.
Niveau émotion, c'est plutôt faible mais ça passe pour une lecture d'été à la plage.

Un premier tiers du livre, bien trop long, campe les personnages. J'ai trouvé la suite intéressante d'un point de vue documentaire sur le milieu des séries télévisées. L'histoire devient passionnante dans le dernier tiers du livre.
Par contre, je ne pense pas que ce soit une copie du "diable s'habille en Prada". La seule ressemblance est que cet univers est aussi impitoyable que celui de la mode.