La dernière allumette

Aurélie Resch, écrivaine torontoise, excelle à créer l'environnement et l'ambiance qui entourent une personne en crise. Que ce soit un soldat sur un champ de bataille, une femme, plus toute jeune, qui s'apprête à vivre une nuit d'amour, un condamné à mort qui attend son dernier repas ou un jeune immigrant dans une salle de classe canadienne, Aurélie Resch peint avec une précision remarquable la scène dans laquelle le drame se déroulera.

Marguerite Andersen, Virages, n° 56, été 2011, p. 80-81

[...] que d'efficacité et d'efficience dans cette écriture limpide, précise et belle : 12 personnages ébauchés avec brio nous font voir, sentir, comprendre et partager quelques moments de vie extrêmes. C'est plus qu'en certains romans épais comme des annuaires et lourds comme des pavés. Bravo !

Gilles Latour, Liaison, n° 152, été 2011, p.60

Écrit dans une langue journalistique ardente et concise, chaque récit parvient à fasciner et à évoquer la fragilité de la vie humaine.

Guillaume Moffet, Voir Ottawa-Gatineau, 7 avril 2011