alors c'est une forme de décharge, on sait pas, davantage attiré par la vue un peu plus large, vaste si possible, tournante et panoramique sur le tout d'en bas où l'on est la majorité du temps à rouler de nos pots d'échappement. vue du plateau avec un peu d'horizons, un peu de lointain où poser le nez, avec aussi ces poutrelles métalliques relayant les câbles à haute tension tel des géants moulins campés là immobiles éoliennes dans le paysage vallonné, riant.
revenu, deux semaines de pousses et un résultat en chemin difficile, à travers orties et autres herbes grimpantes jusqu’au sureau, dévalant jusqu’aux tours levées dont la fixité verticale peut émouvoir, parpaings blancs totémiques, à la lisière, entourées momentanément des végétaux. d’où on est que l’on aperçoit leur regard si regard ils avaient. se dévoile Londeau en petites masses légères, sylvestres, qui se pointent sans encore s’imposer, s’alourdir.