Harry Kemelman
Lazare Rabineau (Traducteur)/5 18 notes
Lazare Rabineau (Traducteur)/5 18 notes
Résumé :
Vendredi on soupçonne le rabbin.
Samedi le rabbin se met sa table.
Dimanche le rabbin s'est envolé pour Israël.
Mardi le rabbin a vu rouge.
Mercredi le rabbin a plongé.
Samedi le rabbin se met sa table.
Dimanche le rabbin s'est envolé pour Israël.
Mardi le rabbin a vu rouge.
Mercredi le rabbin a plongé.
étiquettes
Ajouter des étiquettes
Que lire après Jeudi le rabbin est sortiVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (2)
Ajouter une critique
Voici ici de nouveau les aventures du jeune rabbin américain et de son épouse, ses démêlés avec les administrateurs de la communauté et ses relations sociales, ses réflexions toutes imprégnées de la plus traditionnelle pensée juive.
Digne héritier de Miss Marple et du Père Brown, le rabbin David Small n'a pas son pareil pour débrouiller une énigme. Il mène ses enquêtes au sein de la petite communauté de Barnard's Crossing, près de Boston, et ses méthodes d'investigation directement inspirées du Talmud laissent pantois - quoique ravis - tous les inspecteurs de la brigade de la localité, et en particulier leur chef, le commissaire Lanigan.
Le rabbin David Small n'est pas un "grand détective" comme les autres. Sa force, il la trouve dans ses petites cellules grises et, comme l'a écrit un excellent critique, "on prend un plaisir intense à suivre ce chef religieux d'une petite communauté juive des environs de Boston qui, contraint et forcé par les événements, met son bon sens, le "pilpul" et la sagesse des Ecritures saintes au service de la justice".
Ce septième opus de la série la semaine du Rabbin est vraiment réussi. Si vous ne connaissez pas David Small alors vite découvrez le ! Et si vous avez comment moi lu les sept enquêtes de la semaine du Rabin alors passez au » jour où le rabbin… ». Vous y retrouverez avec grand plaisir la dialectique talmudique de David , son bon sens , ses raisonnement pointilleux, mais aussi la sagesse de la Bible qu'il met au service de la justice
Lien : https://collectifpolar.com/
Digne héritier de Miss Marple et du Père Brown, le rabbin David Small n'a pas son pareil pour débrouiller une énigme. Il mène ses enquêtes au sein de la petite communauté de Barnard's Crossing, près de Boston, et ses méthodes d'investigation directement inspirées du Talmud laissent pantois - quoique ravis - tous les inspecteurs de la brigade de la localité, et en particulier leur chef, le commissaire Lanigan.
Le rabbin David Small n'est pas un "grand détective" comme les autres. Sa force, il la trouve dans ses petites cellules grises et, comme l'a écrit un excellent critique, "on prend un plaisir intense à suivre ce chef religieux d'une petite communauté juive des environs de Boston qui, contraint et forcé par les événements, met son bon sens, le "pilpul" et la sagesse des Ecritures saintes au service de la justice".
Ce septième opus de la série la semaine du Rabbin est vraiment réussi. Si vous ne connaissez pas David Small alors vite découvrez le ! Et si vous avez comment moi lu les sept enquêtes de la semaine du Rabin alors passez au » jour où le rabbin… ». Vous y retrouverez avec grand plaisir la dialectique talmudique de David , son bon sens , ses raisonnement pointilleux, mais aussi la sagesse de la Bible qu'il met au service de la justice
Lien : https://collectifpolar.com/
Que voulez-vous que je vous dise, Grands détectives c'est vraiment une magnifique collection. Tous ces enquêteurs saugrenus qui nous emmènent dans des mondes et des problématiques inconnus sont bien sympas. Là, on part à Boston où un rabbin détective plutôt conservateur intervient à peine dans la marche des événements. Prétexte à nous raconter les hauts et les bas de cette société que sans cette collection, je n'aurais pas rencontrée, les conservateurs de tout bord n'étant pas vraiment ma tasse de thé.
Citations et extraits (5)
Ajouter une citation
- Qu’y-a-il de particulier dans cette affaire ? demanda Jennings par un réflexe de défense, comme si Mc Lure, l’homme de la grande ville, répandait des calomnies sur un produit local.
De toute façon, la question était formelle car il n’était nullement intéressé par la réponse, quelle qu’elle soit, que lui donnerait Mc Lure. Ils étaient assis ensemble avec Lanigan autour de la table de la salle à manger dans la maison. Les trois hommes étaient vidés davantage que relaxés, sentant un relâchement après les tensions et le travail intensif qui avaient marqués la journée.
De toute façon, la question était formelle car il n’était nullement intéressé par la réponse, quelle qu’elle soit, que lui donnerait Mc Lure. Ils étaient assis ensemble avec Lanigan autour de la table de la salle à manger dans la maison. Les trois hommes étaient vidés davantage que relaxés, sentant un relâchement après les tensions et le travail intensif qui avaient marqués la journée.
- Vous y croyez à son histoire du garçon enfermé à clé dans sa chmabre ? demanda Jennings. Croyez-vous que ce Jordon ait pu enfermer un adolescent de dix-huit ans dans sa chambre comme un instituteur envoie un petit gosse au piquet ?
Lanigan secoua les épaules comme s’il ne voulait pas s’engager.
- Quoiqu’il sût que le garçon sortirait par la fenêtre ?
- C’est juste assez farfelu pour être vrai, jugea Lanigan. Il se peut que Gore sache quelque chose à ce sujet. Posez-lui la question quand Mc Lure en aura terminé avec lui.
- Tout semble farfelu dans cette affaire, Hugh.
Lanigan secoua les épaules comme s’il ne voulait pas s’engager.
- Quoiqu’il sût que le garçon sortirait par la fenêtre ?
- C’est juste assez farfelu pour être vrai, jugea Lanigan. Il se peut que Gore sache quelque chose à ce sujet. Posez-lui la question quand Mc Lure en aura terminé avec lui.
- Tout semble farfelu dans cette affaire, Hugh.
Tandis que les hommes travaillaient au salon, à photographier, mesurer, relever des empreintes digitales, l’inspecteur de police d’Etat Mc Lure, accompagné d’un adjoint sténographe, se trouvait à la cuisine où il y avait une table sur laquelle on pouvait écrire et y interrogeait Gore. Le commissaire Lanigan et son lieutenant, Eban Jennings, avaient établi leur poste de commandement à la salle à manger, où ils pouvaient émettre des ordres et recevoir des rapports de leurs subordonnés.
- J’ai horreur de ce genre d’affaires, stipula le détective d’Etat, le sergent Mc Lure. Cela peut traîner des mois sans que nous arrivions à l’élucider. Ou alors nous pouvons être sûrs à cent pour cent d’avoir découvert le coupable et le procureur estimera qu’il n’y a pas assez de présomptions pour l’inculper.
Venant de terminer l’interrogatoire de Martha Peterson, entièrement sous le choc, les yeux pleins de larmes, ils l’avaient renvoyée chez elle.
Les plus populaires : Polar et thriller
Voir plus
Les Dernières Actualités
Voir plus
Autres livres de Harry Kemelman (14)
Voir plus
Quiz
Voir plus
Retrouvez le bon adjectif dans le titre - (6 - polars et thrillers )
Roger-Jon Ellory : " **** le silence"
seul
profond
terrible
intense
20 questions
2868 lecteurs ont répondu
Thèmes :
littérature
, thriller
, romans policiers et polarsCréer un quiz sur ce livre2868 lecteurs ont répondu