Ce second opus, toujours assez mal découpé, se base sur un fait réel : la mort accidentelle de Ferdinand-Philippe d'Orléans pour laquelle de Rémusat écrivit : « Je ne suis point fataliste et ne veux pas dire qu'à dater du 13 juillet 1842, la monarchie fut irrévocablement condamnée, mais je dis que sans ce jour fatal, elle n'aurait point péri. »
Notre scénariste y a trouvé prétexte à conspiration, malédiction séculaire et templière.
D'Alchimie dans tout cela ?
Absolument rien ou en tout cas rien qui se rattache au noble art royal des philosophes de nature.
Reste, là-encore, la très exacte reproduction des lieux, costumes et engins de l'époque.
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Vraie déception que ces 2 tomes Alchimie. Autant Sherlock Holmes et les vampires de Londres ou Sherlock Holmes et le Necronomicon m'ont donné un bon moment de lecture, autant l'histoire ici est compliquée, sans vraie raison. le thème est plus que classique (le complot a priori d'une société secrète contre la monarchie) et le références à la magie noires assez floues ,
Les dessins ne relèvent pas le sujet.
Dommage
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Une fin de diptyque qui ne s'écarte pas trop d'une certaine convention mais qui demeure, de par sa structure et sa mixité de genres, très plaisant à suivre.
Lire la critique sur le site : Sceneario